il était une fois à Aldebrème

Dans un pays imaginaire, du nom d’Alde brème, régnait un chevalier vaillant appelé Mathieu de Franek

Sir Mathieu de Franek sur son fidèle destrier Jaeger aimait emplir ces journées de folles aventures. Il avait une ligne si parfaite, et une conduite si respectable, calquée sur l’ancien code que toutes les âmes de ses terres le respectaient énormément.

Digne représentant de ses ancêtres, arborant un bon mètre quatre vingt dix, il était d’un charisme à faire pâlir des générations d’orques.

L’un de ses jeux préféré, était de parcourir en long, en large et en travers le fameux labyrinthe d’Alde brème, qui avait la particularité d’être en 3D ;  « croyez moi, pour l’époque c’était original »….

Jusqu’au jour, ou ça cousine Edwige, de la ville de Bichot vint le voir catastrophée, et arborant une « petitemine ».

Ed : « Cher cousin, notre village a besoin de votre aide….. »

Ma : « Que ce passe t’il cousine, pourquoi avez-vous si petitemine, vous qui portez pourtant ci bien le sourie de vos alleux ! »

Ed : « Le seigneur Destructor, vient jouer les conquistadors sur nos terres, et ne cesse de piller nos fermes !! »

Ma : « Pardon !!!.....  En êtes-vous certaine ».

Ed : « Mais oui mes sire ».

En effet Destructor était à lui tout seul, le pire représentant des chevaliers mélancolique de mauvaise humeur, bref du genre Atrabilaire.

Mais vraiment, dans tous les sans du terme, en plus de ça mauvaise humeur, il avait des renvois de bile noir. Ce qui faisait de lui le digne représentant de son espèce.

Presque deux mètres de haut, en faite si grand que même chevauchant sont étalon, ses pieds touchaient encore le sol. Bref une armoire à glasses des côtes d’Alde brème.

(Pour référence chez nous, du genre côte Irlandaise, voir bretonne de très très loin).

Alors imaginez un peut le caractère !!!!!

Il fallait donc vraiment mettre en place un stratagème, enrichit d’un théorème, afin de pouvoir le terrasser !.....

Sir Mathieu de Franek, n’avait pas d’autre choix que de demander de l’aide à sa fidèle amie herboriste magicienne Colette.

Trouver Colette n’était pas chose facile, car elle aimait ce cacher dans le labyrinthe 3D d’Alde brème, et la seul façon de la trouver était de localiser un petit bout de bonnet rouge ce déplacent dans le labyrinthe, car n’étant pas grande, comme toutes herboristes, il fallait repérer son bonnet qui dépassait des arbustes formant le labyrinthe.

Enfin bon, au bout de plusieurs heures de recherche, il finit par la géo localiser.

Ma : « Holà, holà, la Colette herboriste, je te salut bien haut ma jolie ».

Co : « ouais, ouais, hop, hop, un peut de ci, un peut de sa, tu ne vois pas que tu me déranges !! ».

Ma : « c’est vraiment un cas de force majeur, ma cher Colette ».

Co : « Mouais, mouais, hop, hop, c’est toujours le même refrain, hic, hic… ! ».

Ma : « Ecoute, j’ai vraiment besoin de ton savoir de ton savoir ! Destructor attaque de nouveau nos villages, il pille, il pique, il crache, il est carrément  super méchant ».

Co : « Sir Mathieu de Franek, du haut de ta brillante stature, tu ne sais toujours pas que lorsqu’il est ainsi, c’est qu’il est tout simplement, en pleine crise de bile noir, et qu’il cherche tout simplement, le moyen de soulager ces crises ! ».

Co : « Alors écoute mon grand, prend ces quelques herbes de Saigue, roules les dans un peut de papier et propose lui de fumer avec toi et d’ailleurs, sa ne te ferra pas de mal non plus ». 

Chose faite, le théorème stratégique était monté, sir Mathieu ce rendit dans le village de sa cousine, trouva Destructor et lui proposa de soulager ses mots en échange d’une paix durable.

Sir Mathieu de Franek, Destructor et cousine Colette, ce retrouvèrent donc dans la ville de Bichot et partagèrent ces roulées de Saigue et les effets ne ce firent pas attendre, les problèmes atrabilair de Destructor passèrent.

Moralité de cette histoire, que tu sois grand beau vaillant et fort, ou très très grand charismatique ment flippant et méchant, toutes les guerres ne ce finissent pas forcément dans un bain de sang, mais parfois tout simplement dans les voluptés d’une fumé bleu qui soulage de vilains mots.

Cette petite histoire dont le fond est très simple et juste un petit coucou à l’ensemble de mes amis lecteurs, c’est un petit hommage dont je me suis fait plaisir à rédiger dans la mesure où le but était d’utiliser leurs pseudos à tous dans le texte.

Tout ça pour vous remercier de me faire découvrir vos coups de cœurs, et de me permettre de progresser grâce à vos précieux conseils, en théorie il devrait y avoir moins de fautes que d’habitude.

Correcteur etc.…. (Correcteur Word mais bon….)

Merci à vous tous.