IMAPATIENTE SOIRÉE
Philippe Larue
C'était un samedi 15 mai que cette rencontre avait eue lieu. Une amie l'avait appelé la veille car elle se désistait de l'invitation au vernissage de Chloé M., une sculptrice sur des pièces en marbre blanc et coloré.
Chloé M. avait étudiée aux Beaux-Arts de Paris et était tombée amoureuse des sculptures de Camille Claudel, son inspiratrice. Hugo s'était ainsi donc rendu ce samedi à l'Atelier Richelieu en descendant à la station Bourse. 19h était indiqué sur le carton d'invitation et à la montre d'Hugo, c'était 19h25. Quelques personnes se trouvaient à l'extérieur et parmi le brouhaha des avis, les volutes des cigarettes tourbillonnaient comme pour écouter secrètement les conversations. Après un rapide coup d'oeil des personnes présentes, Hugo était entré. Le hall accueillait une oeuvre imposante et troublante mais Hugo ne pouvait savoir ce qui l'attendait. Il avait regardé à nouveau le carton d'invitation où le thème était inscrit: "Brulantes Sensualités". Le titre intriguait Hugo. À l'intérieur, pas de personnes qu'aurait pu connaitre Hugo. Alors, il avait regardé attentivement les marbres blanc présents. Ceux-ci représentaient des nus masculins et féminins. Alors qu'Hugo observait sous tous les angles une sculpture, Chloé s'était approchée de lui.
- Bonsoir. Je crois que l'on ne se connait pas
- Oh, bonsoir. Non effectivement, c'est une amie qui m'a offert une invitation car elle ne pouvait venir.
- Ah? Et...vous aimez?
- Oui...oui beaucoup. Cependant, pourquoi vos sculptures sont chaudes lorsque l'on s'approche d'elles?
- Brulantes sensualités est le thème de l'exposition
- Vous aiguisez ma curiosité
- Attendez un instant, je reviens après avoir salué l'Ambassadeur
Chloé était partie et Hugo avait refait un tour de l'Atelier. C'était 23h35 lorsqu'Hugo s'était retrouvé seul avec Chloé.
- Excusez-moi, je vous avais promis de revenir vous expliquer
- Un peu long mais j'ai pu en apprécier encore plus la chaleur de vos marbres
- Venez, je vais vous expliquer, avait dit Chloé en prenant la main d'Hugo. Elle s'était dirigée vers une oeuvre précise.
- Touchez celle-ci
Pendant ce temps, Chloé avait observée les gestes de la main d'Hugo, comment il caressait la sculpture.
- Elle est très chaude mais pourquoi?
- C'est une technique particulière. Cette oeuvre s'appelle "Empreintes" mais ce qui est impératif pour ressentir la sensualité dégagée par la sculpture est de s'y allonger. Je vais vous montrer.
Et Chloé avait commencée à se déshabiller.
- Oh, je comprend mieux à présent
Chloé avait déboutonnée sa chemise laissant apparaitre deux seins magnifiques dont les pointes durcies révélaient le degré d'excitation. La robe n'était pas restée longtemps sur les fesses de Chloé. Hugo avait observé les formes de Chloé tandis qu'elle s'était couchée sur le ventre. Seule la culotte habillait un instant encore Chloé. Elles faisait des mouvements de va-et-vient, massant de ses seins la sculpture masculine. Les fesses de Chloé passait langoureusement sur chaque parties de l'anatomie sculptée. Lorsque qu'elle était proche du sexe en érection de la sculpture, Chloé avait regardée Hugo d'un air coquin, histoire de voir si Hugo la désirait. Elle avait d'abord frottée son sexe humide contre le phallus. Hugo semblait gêné un instant puis il avait ôté sa veste Tandis que Chloé venait de lever sa croupe au-dessus du sexe en érection. À présent, le clitoris effleurait le gland dur et blanc afin d'entrouvrir les lèvres. Puis d'un seul coup, elle s'était empalée sur la verge chaude en laissant échapper un cri de jouissance libératrice. Rapidement, elle commença à jouer à l'ascenseur avec la queue. Quelques va-et-vient plus tard et un souffle rapide, elle avait voulue s'exprimer.
- Hum...alors, cela vous plait? Vous comprenez mieux...hum...pourquoi...hum...mes sculptures sont chaudes?
- ...Oui...je dois dire que le thème de l'exposition était explicite et j'aurais eu tord d'avoir refuser l'invitation.
- ...oui...oui, c'est bon ce sexe chaud en moi
Chloé allait de plus en plus vite sur la verge. Elle se tournait et retournait montrant à Hugo son anatomie, ses courbes belles et généreuses. Puis, elle s'était levée du pénis pour changer les sensations éprouvées en se caressant les jambes grandes ouvertes devant un Hugo excité. Le majeur tournoyait sur le clitoris puis entrait et ressortait. L'autre main caressait les pointes des seins durement érigées.
- ...oh que c'est bon....Hugo, venez me lécher....faite ce que bon vous semblera....
Hugo s'était approché de Chloé allongée sur le dos et les jambes écartées de chaque côté du buste sculptural. Il avait commencé par passer ses mains sur les seins de Chloé qui s'était laissée à soupirer instantanément. Le jeu du pouce et de l'index ressemblait à des ombres chinoises avec les tétons durcis par l'excitation. Chloé n'avait cessée de se cambrer par l'envie puissante d'être pénétrée. Puis une main s'était approchée de l'origine du monde de Chloé. Le majeur descendait à gauche et remontait à droite par alternance. Puis avec délicatesse, il effleurait le clitoris rouge fuchsia, appuyant dessus et en n'en faisant le contour trois à quatre fois. Ce manège avait duré dix minutes avant que la langue ne vienne titiller le bouton. Libérée, Chloé se délectait des préliminaires.
- Mangez-moi ma gourmandise Hugo....vite...vite encore...non, stop....doucement...oui...oui
Hugo faisait très attention aux soubresauts de Chloé. Le ventre montait au rythme d'une respiration saccadée. Puis elle l'avait réclamée la queue dure d'Hugo
- Hugo, donnez-là moi votre queue. Je vais la rendre aussi dure que le marbre et y mettre le feu.
Hugo s'était retrouvé nu en un rien de temps tandis que Chloé s'était remise à califourchon sur le sexe de la sculpture avec des va-et-vient ultra rapide.
- Faites-là entrer dans l'autre trou.
La verge était rentrée assez facilement tant Chloé en était impatiente. Chloé avait regardée les yeux de la sculpture, histoire d'y voir la vie de sa création apprécier. Ce n'était qu'au bout de dix minutes qu'un bruit s'était manifesté dans l'atelier.
- Chut, ce doit être mon amie Astrid qui vient chercher son buste. Ne faites pas de bruit.
Mais Hugo ne s'était pas arrêté et Chloé n'avait pu s'empêcher de laisser échapper des petits cris. Et soudain, la porte s'était ouverte. Effectivement, c'était Astrid et après le moment de surprise d'y découvrir Chloé occupée agréablement, elle s'était approcher naturellement près du couple d'un soir.
- Hum...excusez-moi de vous déranger en ce moment, mais tu ne te rappelais pas que je venais chercher le buste?
Hugo avait accéléré le rythme et Chloé jouissait de plus belle.
- oh oui...oui....vite...euh...Astrid oui, je...oui ton buste...oui Hugo, encore
Astrid regardait envieuse son amie et avait même osée mettre ses mains sur ses seins.
- Tu...oui, oui...tu veux te joindre à nous?
- Pourquoi pas
Et Astrid s'était déshabillée rapidement.
- Viens devant moi que je m'occupe de toi.
Astrid s'était mise à califourchon et Chloé avait directement enfouie sa langue sur le sexe de son amie déjà humide d'envie.
Aussitôt, Astrid murmurait, écartant de ses mains les lèvres avides d'êtres dégustées langoureusement. Entre Hugo qui s'occupait d'alterner chaque trous de Chloé et Chloé qui promenait sa langue sur le pubis d'Astrid, les jouissances retentissaient dans l'atelier, probablement habitué à ses soirées improvisées. La queue de la sculpture ne cessait de changer de domicile, explorant l'intimité de Chloé puis celle d'Astrid. Parfois, l'une d'elle avalait goulument le sexe durci d'Hugo jouant de la langue autour du gland en feu. Chloé aimait malaxer les seins d'Astrid comme elle le faisait avec ses sculptures. Pour remercier les plaisirs éphémères, des embrassades à trois bouches. À un moment, Chloé s'était levée pour aller chercher un gode ceinture spécial. Lorsqu'Astrid l'avait aperçue, elle s'était mise à rire, se souvenant d'une soirée avec Chloé qui avait inauguré l'objet du désir sur Astrid.
Astrid s'était mise directement à quatre pattes comprenant le souhait de Chloé. De taille raisonnable mais à double queues, celui-ci s'engouffrait simultanément dans les deux trous d'Astrid. Hugo avait ri et était venu mettre sa verge dans la bouche d'Astrid.
- Dépêches-toi de finir de m'éponger le lait concentré sucré que tu as renversé Hugo. La patronne veut te voir. À mon avis, elle va te pomper la paie!
Hugo regarda son Iphone mais aucun message de Chloé ou d'Astrid. pour ce soir. L'impatience de la soirée l'avait fait renverser la bassine de préparation de lait concentré sucré. Il allait devoir subir le fantasme de sa patronne...fort voluptueuse.