Je me heurte à la fraîcheur du matin

a-laube

Des voiles de velours noir autour de mes yeux.

Mes poiles se hérissent, le parcours d'un frisson.

Des toiles aux reflèts du soleil sur tes cheveux,

Dévoiles sous le vent froid, un visage soyeux.

Une démarche aux allures victorieuse.

Soigne-moi mes brulures, douleur crieuse,

D'une Profonde blessure. A tes mots, je me suspends,

D’une affectueuse mélodie arrêtant le temps.

Je me heurte à la fraîcheur du matin

En collision avec ton réchauffant sourire.

Un réveil réparateur, un rêve main dans la main.

Ravivant l’âme, quand j’écoute ton apaisant rire.

Le soleil se cache à présent derrière un nuage

Nous chemin se quitte, j’en veux d’avantage.

  • J'aime beaucoup le titre de ce poème car je m'y retrouve .Très jolie atmosphère .

    · Il y a environ 11 ans ·
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    la-vie-en-rose

  • Je connais ça aussi sais-tu! Ne t'inquiète pas, on te garde quand même! et puis, tant que le sens est compréhensible, moi, ça ne me dérange pas!

    · Il y a environ 11 ans ·
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    Alinoë

  • Merci a vous deux :) Et Alinoë merci pour la correction, j'écris quand j'ai une idée , je le fini en 15minutes puis je le poste et je part.. Alors encore milles fois désolé pour les fautes d'orthographes et autre !

    · Il y a environ 11 ans ·
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    a-laube

  • Une belle atmosphère !

    · Il y a environ 11 ans ·
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    carmen-p

  • Très joli! Juste une question: "mes poiles s'irisent", ça ne serait pas plutôt "mes poils se hérissent"? Si non, la signification de ta phrase m'échappe...

    · Il y a environ 11 ans ·
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    Alinoë

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