Le safran d'un geste
carmen-p
Comme je ne viens pas souvent, et pour ceux qui aiment peut-être me lire, voici trois poèmes, courts, qui prennent sens, tous ensemble.
Comme je ne viens pas souvent, et pour ceux qui aiment peut-être me lire, voici trois poèmes, courts, qui prennent sens, tous ensemble.
Soyons nos propres faits Accordons-nous un violon et un archet un crayon et un papier un pinceau et une toile un ballon rond ou ovale… L'obscurit...
Un texte mis en musique par Milady Write. En écoute ici : http://tisanedethym.apln-blog.fr/2014/10/11/automne-en-friche/
Suite à un rêve où le père de ma grand-mère paternelle s'est présenté à moi pour la première fois... une empathie qui permet de mieux comprendre un...
Ils sont arrivés. Pour eux j'ai cueilli une brassée de roses et le salon, ce soir, est en livres et embaume ! Carmen P.
C'est l'été. Il fait beau. Mon recueil de nouvelles arrivera chez moi dans quelques jours... Je partage l'info avec vous et je vous envoie l'image ...
Un grondement m'interpelle. Est-il chant ? Est-il eau ? Il dévale comme un torrent sa voix cherche une berge plaisante, je ne suis qu'attentive pré...
Ta peau de parchemin tatouée je ne peux en suivre le grain Sous les pigments ne frissonne... plus le duvet sensitif et aimant Oh baby pourquo...
Un nuage comme un îlot dans l'océan du ciel, c'est bateau ! Le cœur comme un marteau lâche ses illusions et tombe, c'est la vie ! Grave est la chut...
Une des joies éphémères de l'été, c'est de traverser une rivière en sautant sur des pierres.On écarte les bras comme s'ils étaient des ailes. On ap...
L'homme est une perle dans les mains du créateur Univers en cloque Ce n'est pas par dépit que la sensibilité s'enferme comme dans une huitre. L'ê...
Nuit romantique deux arbres tricentenaires veillent sur nos songes Un lièvre — hautes pattes et grandes oreilles — prend le chemin… son univers a...
Des millénaires de vie sur Terre et toujours les bourgeons de l'arbre humanité gèlent et meurent la sève de l'amour offre son canal que la matière ...
je contemple aux lisières du non-vécu les rebords gris des vieux clichés où des mondes se sont dissous le regard est flouté qui passe par une v...
La nativité, quand le corps devenu berceau, se prête à l'éclosion de la vie, la femme, toute à la possession d'amour, entrevoit une perte, inestima...
Les mots glissent tout schuss entre mes mains et je ne sais qu'en faire, j'aime Leurs festons s'amoncellent tissent dentelles en veux-tu en voilà...
Un orage !
Par les chemins de poussière s'enfuit la tristesse d'enfance derrière — les jeunes lumières devant — l'horizon de silence Expatrié aux frontières...
Je suis celui qui année après année frappe à la porte de ta vie. Je suis le soleil… pour toi, je courbe ma lumière afin qu'elle vienne frôler les c...
Quatorze février ou la St Valentin des hérissons Le vent souffle en rafales et la pluie de saison vient grossir la rivière. L'eau, par-dessus ber...
C'était l'été de mes treize ans, je lisais encore « Mademoiselle âge tendre » et j'ignorais « Salut les copains ». Toute à mes activités estivales ...
on montre la vie à l'enfant comme des rêves dans une vitrine pareils aux bulles du monde à venir et il s'en va - et ils s'envolent nous laissant...
C'est janvier qui nous fige et pique ses banderilles dans le cuir de l'ennui L'ancien peut attendre près du feu la visite de qui ...
Le voile déchiré Elle avait déchiré le voile et elle souffrait, infiniment, ses mots griffés dans le silence d'une chambre de jeune fille troub...
Une interprétation personnelle suite à une lettre proposée lors d'un atelier d'écriture.
Noir et blanc comme une estampe d'Alechinsky
http://arbrealettres.wordpress.com/2013/07/04/syracuse-bernard-dimey/
Court texte écrit après la lecture du blog Stalker dont le dernier article parle de la filiation.
Pour Fiona
Ils sont partis vivre ailleurs Nous sommes tous gens de voyage sur cette terre. Nous nous croisons, nous décroisons... créons, recréons un foyer...
L’odeur du sang, et ce ciel rouge… Rien ne sera plus comme avant. Je me souviens mes premiers vols, telle une plume j’allais, de bas en haut, cherc...