KRAZFURTIGRUKFER

stockholmsyndrom

T'es remonté comme une pendule, j'vais te descendre comme mes poubelles, prends ce textes comme une interlude faisant au burlesque la part belle, j'vais t'faire tripper comme un homo dont rebrouss'raient chemin les scelles, tu vas tell'ment kiffer mon flow, tu vas transpirer des aisselles. Mets tes marmots au dodo ou au congelo, dis d'aller faire la vaisselle a ta poupée d'crécelle, puis allonge toi sur le dos et roule un gros bedo, avant de te pencher sur ma demer intemporelle. Ayé t'es fin prêt pour savourer ce tourniqué gore tout niqué, ni queue ni tête, ca git, ca pete comme une giclée corrosiv'et te d'mande pas si ya du sens, ou son contraire, dissimulé, vla mon encens, roi dans la bulle d'air de ton veau-cer liquéfié. Tous les junkies découpent mes textes pour remplir leurs pipettes de crack, toutes les groopies se les cal'raient si j'éditais sous forme de tracts, alors comme ca je manque de tact ? Va lire la def de sociopathe, autodidacte passant a l'acte, débits d'démences par cataractes, j'fais du Kung Fu avec des pieuvres, des trucs de fou avec mes œuvres, ma chambre me sert a m'dégriser, j'passe mes journées a m'faire saouler mais bat les couilles de tout l'monde donc pas vraiment une vie d'galère, j'sifflotte de la Bosa Nova sur les décombres la bite a l'air, libre, comme un mec qui a rien a perdre, tout a donner car j'ai pas d'biens, tout a envier, j'suis le mal sain, même les athées me vouent un culte, ouais j'suis so cut, j'passe faire la quête, a la conquête des codes d'adultes, file moi ton R.I.B, R.I.P causes honnêtes, vrai, j'suis pas net, faux, toutes ces galettes ne feront pas de moi un roi mais bat l'urètre tant que je peux encore effriter d'mes deux doigts, est ce que j'dois stipuler qu'ca m'fait kiffer d'ligaturer votr'subconsciant, de faire des tas de scoubidous avec  vos neurones latents, ou de mettre mon hamster dans le micro-onde quand je veux tuer le temps, le r'garder jouer a la danseuse étoile cloquée, j'trouve ca marrant, et vas y donne ton avis, j'suis comme les urnes, j'm'en bat les burnes, J'suis pas ton mec ou ton ami, sauf si t'es brune et qu't'as d'la thune, enfoiré, en soirée j'suis un château d'vodka, mais me parle pas, m'arrive parfois d'avoir l'karma d'un poisson chat, l'télé achat me fait beger  quand j'pense a toutes ces ménagères, qui font don de leur trou d'balle, a la science publicitaire, le terre a terre file des escarres aux poignes, roule un gros ter mais frere perds pas ta hargne, ca fait p'tet rire les oiseaux,  ca fait p'tet chanter le soleil,  mais la j'reviens de l'armur'rie, j'vais buter l'écureuil d'la caisse d'épargne , ya plus d'saisons, 14 printemps et elles s'effeuillent comme des trainées, ya des dealers de pilules au fond d'la 4eme B, ton p'tit frère attends pas l'Automne pour qu'tombent les feuilles pour les rouler, et ca leur fait ni chaud ni froid, comme un Decembre en plein été, j'vous la mets ou ? j'écris sans thème, j'ai d'l'uranium sous l'épiderme, pas d'eau de rose, des blâmes, pas d'blemes, voici ma pisse de chrysanthèmes, je compatie d'ton apathie, meme si t'es l'esclave d'Attali, le fils de Jean Luc Apathie ou meme le boul d'Chimene Badi, c'est badant la vie, vas y assieds toi, prends un quart d'heure et du formol, l'argent du beurre et un Warhol, La bush d'ta sœur en Glory Hole, un coup d'taser dans tes bourses molles et adule moi, j'fais des envieux, j'fais jaser les trous d'balle, morveux, ton projet n'est pas d'taille, t'en veux dans ta gamelle d'hatay, bah graille, Gargamelle te souhaite une occlusion intestinale, banzai, j'viens vous réanimer, pied d'biche dans ta TV, tu sors de la traumatisé comme du Bambi de Walt Disney, bambino, j'suis ni parmigiano, gorgonzola et loin d'etre Gandhi mais j'me reincarnerais bien en soutif d'Monica Bellucci, enfin j'dis ca, j'crois plus en rien, enfin j'crois, fin j'en sais rien, et j'arrive  meme plus a souffrir, savez pas comment j'vous envi, j'fouette mes tétons avec du cuir, ca fait quoi d'se sentir en vie ? les psychologues sont déroutés, j'bouffe des fœtus au p'tit déjeuner, j'Moon Walke sur les passages cloutés, j'fais des croches pattes a mémé et j'regarde même plus la télé, j'la laisse aux gros porcs boursouflés, un trop plein d'merde, ca relancerais toutes les entreprises de TP s'il fallait racler la fiente entassée dans vos cervelets atrophiés, j'suis pas d'ses mecs en soutane qui tannent, chauds comme des frangipanes, j'fais des siestes sur la ligne du tram puis j'suis indifférent devant les drames donc vas y cane que j'ricane, va faire la poussière chez Strauss Khan, fais toi dépouiller par les femmes, éteints pas l'gaz puis clope et flâne,  rien a foutre, j'suis pas crédule, j'divague et j'note de mes viscères, ce qu'il en sort, ouais j'sais c'est gore la version trash d'Aimé Cesaire, passe la pilule, racle toi la gorge, pousse la avec un pichet d'morve, laisse fermenter et tu chieras des lingots d'or et du carat, et j'pense a rien le vla l'Eden, ponce pilonner ma boite crânienne, pense a panser vos césariennes  avant de voir le bout d'un zen,  des fois j'allume une blonde, j'la fume, j'en fais des ronds dans l'air, j'expérimente la fusion entre le cancer et l'cancer, mon avenir coule par un robinet qui fuit et j'suis déconcertant, des que j'me concerte, qu'on se le dise, faut etre Cousteau pour comprendre mes dissert, j'suis subversif comme une pluie d'lame de rasoir dans la cour de promenade de La Santé, Des fois j'fais des rêves ou je rêve que je rêve qu'un Kamikaze a fait péter l'assemblé, mais j'te l'dis d'emblée, ca n'a pas d'intérêt, ca s'rait comme faire les poches a un clochard nu d'la tête aux pieds, c'est vicelard, si tu cherches l'espoir t'as frappé la bonne porte, je l'effrite tard le soir, comme les tares que j'colporte, j'suis moi-même unanime, mes limites sont indéfinis, ca m'traumatise j'entends l'écho de ma bétise dans l'infini, j'ai un si beau fond que j'passe mon temps a le toucher, j'ai tout fait tout chier, ma iv c'est l'hymne a l'a peu pres, une situation batarde, comme l'histoire du myope qui cherche ses lunettes, j'suis dans l'flou et ma mere me dit sans cesse que j'suis pas net, j'suis un naufrage,  puis j'flotte vec mes idées malsaines, d'ja a l'époque d'la 4eme ca m'fascinait les bec bunzen, t'en ai conscient, tu vois qu'ca fume, j'scarifie feuilles vec multiples plumes, j'suis schizophrène et on est 4 donc 4X plus d'idées s'embrument, rien a foutre, tellement un fdp, j'pose lapin a mon enterrement, dis le a Belzebut, sur messagerie jusqu'à mes 35ans, dis aussi aux p'tites putes qu'elles stoppent la flute, moi j'suis pas un serpent, un loup vec tumultes dans son fut, j'connais ton but mais j'prête jamais serment,  blablabla j'm'endors sur vos théories so loooove a 6francs6sous, j'fais l'mort quand l'allégorie d'l'amour voit l'jour et qu'j'me sent si saoul, et toi et moi on était fait pour etre ensemble, j'crois, que toi et moi on étouffaient a vivre ensemble j'crois, puis aidez moi, j'suis perdu au milieu d'toutes ces intercalaires, t'es qui au fait ? mon ex, ma moitié, ma pute ou ma source de galères ? ! Olala c'est merveilleux, enfin un texte avec du fond, original c'garçon, question de-mer il est lunaire, il touche le fond littéraire, ouais on sent bien qu'chez lui ya quelque chose qui ne tourne pas rond, mais j'temmeeeeeerde, si t'as rien a dire ferme ta gueule, bon du coup ok j'me tais, vas y trace maggle.

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