La brise insolente. [--']

A la recherche des épouvantes, du rêve, de la poudre brillante j'ai posé ma main sur la souris me dirigeant à travers l'espionnage dans le gouffre du système avec vu sur la planète, je zoom sur le continent de l'illusion.
Le mensonge, la parano, le psychisme des échos, le bruit de la soufrière, les odeurs qui enchanteraient les insectes rampants qui regardent vers le ciel et qui espèrent un jour, devenir Hollywoodien. Nouveau née à Beverly, ils ont changé ses yeux, ont trafiqué sa vie, le cœur dans une machine et le cerveau dirigé par les prunelles.
L'oligarchie, c'est le mot que je ressens à chaque étoile américaine du drapeau de contrefaçon, entre cacheton et vues malsaines.
Le continent d'une pure beauté, élégant remplit de mythes… N'existe plus, universelle au couleur, immuable du diable maintenant, on a brûlé les cœurs pour en créer un artificiel, c'est ce que j'ai vu au dessus du continent meurtris. Toutes les recherches du monde, les apologies se coordonnent aux Maupassant des « Saint-Unis », malgré l'image de se pays, j'admire la fierté ressorti.
Je plains juste les gens rêveur dans leurs contes de fée et ceux aussi qui y vont pour trouver rituelles sanglants, brulée les étapes, ce bout de terre n'en à pas réchappé.
C'était le refrain de la brise insolente,  je ne me mets pas à genoux, même si on leurs doit l'existence de notre patrie, si on leurs doit le gros du gras du bide de ce monde.

Vive l'Amérique.                                       [Adamant-St-Exhume']