L'aléa des tawas
Lea
Vaste champs d'hommes Où l'écho bat
Le son dégomme
Grand Brouhaha
Les grandes boîtes tapent
Les tympans assouvis
De décibels
Toute cette nuit
Une nuit si belle
Le peuple danse
Personne ne pense
Tumulte onirique
Si sympathique
Dans le brouillard
S'avancent avares
Ces silhouettes bleues
Êtres acrimonieux
Notre plaisir innocent
Ôté par les plus puissants
Poison anti liberté
Déversé sous nos pieds
(tapants)
Paye ton entrée, lâche tes billets, fais pas le radin, tu ne l'emporteras pas sous ton sommier. Lorsqu'elles rangent l'oreiller, elles sortent les robes déshabillées, elles montrent leur peau, et leur corps désenchantés.
· Il y a environ 10 ans ·goodcyrilwriting
Un texte percussif et inspiré.
· Il y a plus de 10 ans ·Frédéric Clément
Et oui, un des moyens d'oublier.. Et de donner sa liberté! On le fait tous, chacun à sa façon. Beau texte, avec une musicalité qui colle parfaitement au sentiment
· Il y a plus de 10 ans ·Bravo!
koya-al-gaad
Merci beaucoup, c'est un sujet qui me tient vraiment à cœur. Ces endroits me procurent tellement de satisfaction et d'épanouissement !
· Il y a plus de 10 ans ·Lea