L’appel n’attend pas

Vais-je trouver l'idée de mon histoire délirante du jour ?

Car des fois, je peux être chiant au possible, en traitant de sujet tel que l'épistémologie du sens commun versus l'épidemaïs dans les prés verts. Tout en sérieux, du début jusqu'à la fin en passant par le milieu et la Lorraine. J'ai déjà été viré de plusieurs sites pour incitation au suicide par désespoir de cause et dégoût de la vie à direction mal assistée.

Alors, je me lève. Rien ! Je prends un café. Toujours rien ! Bon, un p'tite clope, sait-on jamais ? Putain, encore rien !

Là, je commence à paniquer, en un seul mot, mais grave quand même.

Je fouille dans le bordel de mes neurones, s'il n'y en aurait pas une petite, égarée quelque part ? Pas la trace, d'une seule, nulle part. Je la verrai, c'est complètement vide ici. Je n'aurais jamais dû lire cet article sur la fuite des cerveaux.

Bon, l'heure est grave et le temps grêle.

Une Idée pour un cheval ! (Acte V, scène IV)

Je vous le donnerai volontiers ! D'autant qu'il m'en reste un petit à l'écurie. Une vieille rosse bancale, en fait, mais de loin, elle fait encore l'illusion d'un effet flou. Elle est à vous, si vous me faites parvenir par voie expresse une idée d'histoire délirante avant dix heures. Car après, je dois assister à l'appel au réfectoire de l'HP.