L'arrivée de Amelie

Elle avait fait un long voyage pour venir nous voir, un peu timide mais pleine d'envie. On était allés la chercher à la gare tous les deux. Elle nous attendait à l'entrée, debout à côté de son sac, à guetter notre arrivée avec anxiété. Elle portait un jean moulant, un T-shirt qui montrait à tout le monde son ventre et des baskets rouges. Ses cheveux bruns tombaient de sa tête comme une cascade chutant d'une montagne. Elle s'était mise à sourire en nous voyant, la jeune Amélie.

Sa petite bouche vint se coller à la mienne en premier et repartit aussitôt pour goutter à celle de mon copain. Elle nous serra fort dans ses bras. Nous étions heureux de la voir nous aussi, depuis le temps que nous attendions sa visite.

Pendant le trajet, elle nous demandait de lui parler de cette ville. C'était sa première visite et, pour elle qui ne sortait pas souvent de sa campagne, voir autant de monde l'impressionnait. Elle nous glissa discrètement à nos oreilles qu'elle ne portait qu'un petit string blanc mais pas de soutien-gorge, nous étions aussi impatients qu'elle de rentrer.

Nous arrivions enfin. Une fois rentrés, elle me laissa son sac avant de traîner à côté du canapé dans lequel mon homme se pausa. Moi je passe dans la chambre pour y déposer ses affaires. Quand je reviens, Amélie est déjà assise sur lui à l'embrasser, à mettre son visage dans son décolleté, avant de commencer à lui baisser le pantalon. La gourmande, à peine entrée depuis cinq minutes qu'elle commençait déjà à le sucer.

Elle s'enfonça cette verge dans la bouche comme une affamée. Elle la faisait déjà voyager dans sa gorge, la sortit pour la lécher sur toute sa longueur, descendit plus bas pour embrasser ses boules. Lui restait là, à la regarder et à profiter. Tout comme moi. Je caressais ma poitrine en regardant sa petite bouche capable de laisser passer quelque chose d'aussi gros. Il se tourna vers moi et me dit de me déshabiller.

Mon mec la retira et vint me rejoindre une fois que j'eu tout enlevé, il me retourna sur la table et me prit en levrette, une de mes positions préférées. Le sentant entièrement en moi, je me mis à soupirer de plaisir, sa main appuyer sur mon dos m'empêchait de me lever. Sur le canapé je voyais Amélie, elle avait enlevé son jean et commençait à se caresser en nous regardant. Son petit string blanc, déjà souillé.

Notre invitée vint nous rejoindre quand mon mec se retira et se tourna vers elle, tous deux retirèrent ce qui leurs restaient de vêtement. Amélie ne tarda pas à se mettre à genoux pour le sucer de nouveau, et je ne tardais pas à la rejoindre. A nous deux, nous léchions, sucions cette queue raide et ses couilles. Nous nous embrassions en le faisant, roulant nos langues entre elles en gobant son gland. Il prenait son pied, exprima son plaisir par des gémissements graves et une respiration qui se faisait plus profonde. Profonde comme nos bouches, à tour de rôle.

Il me demande ensuite de m'allonger sur le sol, je m'exécute pendant que, une main derrière sa tête, il continue de taper dans sa bouche. Une fois installé, mon homme dit quelque chose à son oreille. Notre Amélie s'approche de moi et se met en position à son tour, un soixante-neuf. J'aurais du m'y attendre.

Ma langue passe sur son clito, avant de parcourir son creux humide. J'aime le gout qu'elle a, j'y enfonce ma langue comme si je l'embrassais. Elle aimait ça, me faisait la même chose. Je mouillais deux de mes doigts avant de les enfoncer entre ses fesses, élargissant et lubrifiant son orifice, elle gémit plus fort. Encore plus fort.

Mon homme arriva derrière elle, je savais qu'il aurait envie de ça. Je retire mes doigts et l'aide à entrer. Il entre entièrement dans son cul, ce qui arrache à Amélie un hurlement de plaisir. Faisant de profond vas et viens en elle pendant que je dévore sa fente. Elle en aurait oublié mon vagin si mon mec n'y avait pas recollé son visage. Il la sodomise avec passion, lui collant des claques sur les fesses, ma langue s'enfonce en elle quand je ne lèche pas son clito à vif.

Elle n'en peut plus et joui. Notre invité crie si fort que les voisins l'ont surement entendu. D'un regarde complice, lui et moi on en rit. Il se retire et nous nous relevons. Amélie à chaud, elle sourit en se laissant tomber dans le canapé. Épuisée, elle ferme ses yeux, laisse tomber sa tête sur le côté, calme son souffle. Mon homme et moi nous sourions, nous l'avions invité pour tout le week-end et étions bien décidé à en profiter.

Bienvenue petite Amélie.