Le jour d'avant
unrienlabime
Ouvre tes bras
Cette plaine de Mai
Humer ta verdure
Respirer ton flanc
Ta peau qui transpire
Voleurs d'alchimie
Timides et pleutres
Neutraliser l'instant
A la dérive du temps
Sans bruit et sans boussole
Ouvre tes bras
Que je m'y noie
Se frotter le nez
Contre ton coeur
Atomes crochus
Longueurs nourricières
Les chevaux de l'imaginaire
N'ont point de harnais.
Je reviens traîner un peu ..je lirai à rebours
· Il y a plus d'un an ·fragon
Waouuuuuu ... Une onomatopée que je ne dis jamais ... Mais là il le fallait !
· Il y a presque 2 ans ·douxfoutropforever
Les deux dernières strophes brillent (et brilleront) longtemps
· Il y a environ 3 ans ·Gabriel Meunier