Les appareils portables
Aurélien Loste
Et d'aucuns ici, mobiles..ont l'avantage d'être transportables.
Les premiers à en inventer et utiliser furent les Japonais, avec des imprimantes qu'ils glissaient dans leurs malettes, ou le walk-man (à cassettes, et radio), premier grand succès de Sony, qui est toujours la première entreprise de produits mobiles au monde, n'en déplaise à ses concurrents plus récents que sont Samsung et Apple, pour les deux principaux.
La mobilité, c'est la liberté, personne n'arguera donc sur leur praticité : tout au plus peut-on considérer, avec raison, qu'ils sont souvent moins puissants qu'un appareil fixe, mais dans ce cas, a-t-on le même confort dans une voiture, voire un camping-car, que dans un appartement ou une maison, fussent-elles mobiles, justement ?
La liberté, vraiment, qui n'a pas de prix, mais que l'on peut accroître en achetant des machines nous donnant accès à de nouvelles opportunités, il n'y a qu'à voir le plus gros succès industriel de l'histoire mondiale, sur les cinq continents, le téléphone portable.
C'est cet objet qui révolutionne nos vie chaque jour qu'il peut paraître intéressant d'étudier, d'autant plus à l'heure où il se smartise de plus en plus, devant un véritable petit ordinateur.
Communiquer par vidéo depuis n'importe où était encore un rêve au début du IIIème millénaire, quand on voit que la fin du XXème siècle ne permettait même pas des appels téléphoniques fixes illimités, sans parler des vitesses de connexion internet.
Prenez un iPhone (si vous aimez sniffer du Mac en vase-clos), un Androïd (l'environnement le plus libre du village internet mondial, présidé par Google), un Windows phone pour rester sous Micro$oft (et Nokia, ou encore Skype, multiOS, certes, face à son succès), un Seabird, plus marginal, pour les geeks contestaires, une tablette ou tout autre appareil connecté en 3 ou 4g, et vous comprendrez rapidement, même sans en être particulièrement friand ou adepte, leur praticité : ils vous permettent de faire ce que vous faites chez vous, depuis votre ordinateur, mais depuis n'importe où, et ce de plus en plus rapidement.
Lire vos méls, envoyer photos ou vidéos, communiquer en vis-à-vis, accéder à l'internet, à l'info, au partage et à la communication sans limite ni fin des réseaux sociaux, partager vos voyages, vos découvertes, vos coups de cœur..l'humain connecté devient même une nouvelle espèce, qui vit en permanence avec toute une tribu de contacts, vite devenus amis, ou de plus en plus, l'inverse, des amis qui deviennent des contacts, car vie virtuelle et réelle se partagent toujours davantage, se mélangent, se mixent, comme le son capturé des clips téléphoniques.
Et c'est encore sans mentionner les hybrides, tablordinateurs, les Chromebooks, ordinateurs sans disque dur, une Révolution avec un grand N, car c'est bien plus rapide que les machines classiques, et illimité (en nombres d'onglets, temps avant les redémarrages, même en mode développeur, pas plus d'une mise à jour par semaine, et alors niveau batterie, au moins une demi-journée pour moins de deux heures de temps de charge, et en prime un abonnement de deux ans à Google Drive avec 100 Go cent giga-octets offerts, et un abonnement à Wunderlist pour les Chromebook de Samsung), voilà, tout ça pour aux alentours de deux cents euros 200€ pas plus, ça mérite tout de même d'être mentionné, un ordinateur sans limite, alors qu'il y a encore dix ans un cent fois moins puissant et cinq fois plus gros valait deux mille euros, en étant bien moins rapide et connecté, merci la technologie, merci les techowizards, nous en rêvons, Google le crée, we dream of it, Google makes it.
La réalité devien l'e-réalité, ze realit-e. New humans live as transhumans..Calico?
Mais au-delà de la prospective, que serions-nous, déjà aujourd'hui, sans internet ? Comment nous informerions-nous, communiquerions-nous, partagerions-nous, consulterions nos informations les plus importantes de la vie quotidienne ?
Il n'est que d'être privé d'accès au numérique (volontairement ou non !) pour se rendre compte que le temps passe soudain au ralenti -et c'est parfois tant mieux, si ressourçant !-, que l'on est coupé du monde et de son activité trépidante..d'éteindre (ou d'oublier le chargeur) de son téléphone pour revivre le XXème siècle, où l'on n'était en contact qu'avec ses voisins géographiques les plus proches, même au téléphone fixe, avec les prix des communications, ou les cartes dans les cabines.
Et maintenant ces téléphones se portent au poignet, en montres connectées, gourmettes interactives..dans quelques années, ce seront des puces, accessibles d'un simple geste, voire d'une pensée..déjà, il suffit de tourner le poignet* !
Homo erectus, sapiens, numericus !
*l'image est en degrés Fahrenheit, Mountain View oblige !
" Homo erectus, sapiens, numericus !" triste réalité que la loi des sapionce ! j'écoute le courage des oiseaux, de monsieur Domique A, un ami dès l'arriver de ses téléphone les nommaient ; " les insuportables" ils ont transformé nos vies, sans eux, solitude et camisole chimique, enfin là, je cause pour moi !
· Il y a plus de 9 ans ·Jean François Joubert
Le courage des oiseaux (qui se cachent pour mourir, ou vol au-dessus d'un nid de coucous ?) et la camisole chimique évoque la liberté de Jack Nicholson ;)
· Il y a plus de 9 ans ·http://www.dailymotion.com/video/x20babs_cats-on-trees-le-courage-des-oiseaux_music
Aurélien Loste
je suis sous camsilole chimique, mais ni jacques, ni un autre, merci pour cet échange, ma vie est ce vol !
· Il y a plus de 9 ans ·Jean François Joubert
La chimie, c'est la compréhension puis la manipulation du vivant..si tout va bien, autant que ce vivant reste le plus naturel (et donc sain) possible ;)
· Il y a plus de 9 ans ·Aurélien Loste
Fou A.O.P ; je vous donne raison, et clôt la conversation, cause chimie homme chimique ça fait " mâle "
· Il y a plus de 9 ans ·Jean François Joubert