Les Nuits Grises
mlb
L'impatience lancinante,
Lorsque suspendu à ses lèvres
J'attendais le murmure solaire des migrations
Printanières.
Son visage inconnu éclairait les nuits grises,
Ondulant les voiles fumés des volutes à l'ivresse
Brulée des feuilles blanches.
Suspendu à mes lèvres, lorsqu'elle
M'enivre avant même l'aube,
Je la dessine utopiquement,
Un trait de fusain dans le vide.
Vraiment superbe! Une pépite ce poème! CDC!
· Il y a presque 12 ans ·Colette Bonnet Seigue
oui très beau
· Il y a presque 12 ans ·franek
Chapeau!
· Il y a presque 12 ans ·Frédéric Cogno