Les Verges et la Liberté

El Mimomandes

Jango Unchained façon érotique, Claude s'en va goûter la liberté dans un Mississippi décomplexé, lubrique et où l'absurdité fait loi.

Si bien que Claude, faisant fi des avertissements de son Maître, s'en alla dans le monde.

Claude était noir si bien que la nature l'avait doté d'un membre très proéminent, son Maître était blanc bien entendu. Dans le Mississipi du 19ème , la négritude était un style de vie encore mal vu mais ce fait était ignoré par le brave Claude qui avait toujours vécu dans l'opulence qu'Hippolyte lui avait accordé dans son grand humanisme et aussi en contrepartie des services sexuels que Claude était contraint de lui fournir. Hippo l'aimait dans le popo et ça Claude, il savait faire ! Mais Claude n'était pas un homo, il voulait voyager et découvrir le monde et les femmes aussi, les protubérances mammaires des femmes l'avaient toujours attiré. Il se souvenait notamment des gros roploplos de sa mama à lui. Il aimait les téter dans sa jeunesse. Slurp slurp faisait-il coincé qu'il était au milieu de ces deux amas de graisse dont seules les testicules de son maître et leur mollesse après l'acte pouvaient lui rappeler l'aspect. Mais Claude n'étais pas un homo, ah ça non ! Pour rien au monde ! Même si l'homophobie c'est vilain et que l'homosexualité ça peut être bien, il voulait connaître de nouveau la consistance d'un sein de femme, il voulait savoir ce que ça faisait de glisser un phallus dans un endroit dont l'adaptabilité et la tiédeur lui étaient encore inconnues. Son maître lui avait parlé de tarte aux pommes, que c'était d'un aspect similaire au vagin, et Hippolyte avait expliqué son désamour du vagin suite à la fois où il avait fait une intoxication à la tarte aux pommes de sa mère, dès lors il avait résorbé son complexe d'Œdipe et également son hétérosexualité. « Au moins, disait-il, je n'ai jamais violé ma mère » et ça le faisait rire le bon Hippolyte de dire ça.

Bref Claude était noir, Claude était un sodomite contre son gré, Claude voulait tenter de nouvelles expériences sexuelles et Claude avait donc la ferme attention de voyager pour découvrir tout ce que le monde avait à lui proposer de femmes torrides, de vulves mouillées et de tétons pointés. Claude voulait baiser.

Chapitre 1 : La fouettée au dos dépecé mais aux fesses bien galbées

Il la rencontra et lui fit l'amour. C'était bon. Ventre contre ventre, sexe contre sexe. Ventre contre dos, sexe contre sexe. Dos contre dos, ça ne marchait pas. Et des va-et-vient, en veux-tu en voilà. Mais rien de routinier, non des va-et-vient divisn et des bruits de gamètes se mélangeant, pfloc pfloc. Un bruit de clac clac aussi des corps qui se percutent sur la dernière minute. Claude aurait aimer rester à vie à l'intérieur de cette femme mais il sentait le plaisir montait comme le sang à son visage, il aurait aimé se retirer pour ensuite rester dans la durée, mais il avait été habitué au culte de la productivité dans les champs. Il fallait en faire le maximum possible dans le minimum de temps. Et donc cette dernière minute fut d'une intensité rare. Son cerveau submergé par 3L de sang, le reste étant dans son énorme verge, il ne réfléchissait plus et savourait enfin l'instant. Et voilà que l'homme à la carrure d'athlète déchaina sa fougue dans une dernière séquence de pénétrations des plus pénétrantes, clac clac faisaient ses cuisses contre les fesses de la demoiselle au dos dépecé par les coups de fouets, il lui fouettait ainsi les fesses mais amoureusement cette fois-ci. Il était en apnée jusqu'à l'acmé, ce moment le plus douloureux de tout homme car perdurant une microseconde de béatitude avant un retour instantané à la plus grande misère.

Chapitre 2 : Tout est pour le mieux dans la meilleure des rondes possibles

Claude laissa le lendemain la femme au dos dépecé et aux fesses galbées pour aller à la rencontre d'autres femmes. A son départ, il la vit se faire violer par une meute de blancs fermiers hurlant des obscénités sur les Keublas. Claude ressentit de la peine pour cette sœur de race avec qui l'inceste avait été pratiqué. Mais Claude avait d'autres chattes à fouetter et il s'en alla sans Nala. Car elle s'appelait Nala.

Claude arriva dans une ville où il y avait un bordel. Les femmes vendant leurs services (les prostituées en soi) lui furent refusées car il était un homme de couleur sombre. Et que la couleur sombre était celle des esclaves. En revanche, la tenancière, ancienne pute reconvertie dans le commerce de ses paires pour ces pères aux paires pleines, aimait bien les noirs. Claude dut se forcer au début car la tenancière était une bonne grosse rousse aux mamelles gonflées, elle lui faisait penser à une truie prête à être égorgée. Mais Claude se prit rapidement au jeu car la coquine connaissait tous les secrets du plaisir masculin. Si  bien que Claude l'aima pour les 20 minutes que l'acte dura. Pour lui, tout était pour le mieux dans la meilleure des rondes.

Chapitre 3 : Le monde, c'est pas toujours cool

Claude sortit du bordel, couilles vides, cœur plein. Mais il sembla qu'une sale pute parmi les putes l'avait balancé aux villageois les plus LePennistes extrémistes puisqu'une tribu de fantômes à la capuche pointue et aux fesses apparentes à travers le trou pratiqué dans le derrière de leur aube l'attendait à la sortie. C'était sans doute ça le Cucul Clan. Un paysan sauvage apparait et attaque Claude, Claude prend la fuite. Le noir courut  à en perdre haleine et sembla avoir semé la bande de vieux cons, il décida alors de se cacher dans un repli marécageux. Manque de pot, le pauvre Claude n'avait jamais su que les reptiles étaient des descendants des dinosaures carnivores et encore moins qu'il s'en trouvait certains se cachant dans les marécages. Il se fit bouffer par un crocodile énervé par sa femelle trop prude. Il tomba dans son gosier comme dans la mort.

Claude vit le tunnel, et au bout du tunnel, il vit de la lumière. Et deux barbus semblaient s'engueuler là-bas. « Simpierre, non je t'ai dit, celui-ci il faut l'envoyer en Enfer, pas de noirs au paradis. » Dit celui qui semblait s'être écorché les côtes, « Non mais Jesse, on ira de toute façon tous au Paradis, arrête les conneries. C'était ce qu'avait conclu Saint Paul Nareff au brainstorm de la semaine dernière pour notre copy strat sur le B2C ».

Enfer ou ciel qu'importe, Claude réalisa qu'il resterait jusqu'à la fin des temps dans ce tunnel, tunnel dont la tiédeur et la  mollesse n'étaient pas sans lui rappeler ce qu'il avait toujours cherché.

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