que je publie avec l'accord de l'auteur. Elle est trop belle pour ne pas la partager et l'en remercier presque publiquement
Je plonge et nage avec délices dans les flots de ses mots.
Ses lettres sont ivresse, caresse.
L'une des plus belles :
« Tu as du mal avec les mots, les mots parlés.
Je te ressens comme si je t'avais vue hier ou avant-hier.
Je comprends sans peine cette retenue, cette gêne que tu ressens avec la parole,
on est plus à l'aise la plume en main, même si c'est un clavier !
Je suis touché par tes élans, tes sourires timides, tes senteurs, ta pudeur extrême, tes peurs.
Chaque moment de nos instants deviendra plaisir.
Acceptons nos folies, même si elles nous jouent des tours,
Ne les empêchons pas de naître, goûtons les chaque jour
Acceptons de ne pas comprendre tous nos mystères
Laissons éclore en nous toutes les fleurs du désir
Jouissons du parfum enivrant flottant dans notre sillage
Réjouissons-nous de savoir n'être pas toujours sages.
Sentons nos âmes se mettre à vivre sans interdits
Bannissons à jamais de nos corps la honte et la pudeur
Pour n'être plus que deux amants sans peur.
Regardons nos fantasmes se faire des confidences
Et exalter nos êtres dans la plus belle indécence,
Inonder nos corps et nos creux et nos antres,
Décupler et assouvir la faim de nos ventres.
En s'unissant, nos lèvres deviendront un brasier
Nos cœurs n'en pourront plus de se griser,
D'ores et déjà, tu m'as donné un droit de passage.
Je savoure ces instants de connivence, j'aime ta soif de découvrir, d'apprendre,
dans une communion des sens et dans la plus profonde complicité sentimentale.
sans aucune concertation ni prémonition, une osmose s'est produite, aussi imprévue qu'incroyable,
aussi exaltante cérébralement qu'excitante sexuellement.
J'aime, qu'entraînée dans notre ballet,
Tu laisses danser et virevolter tes pensées érotiques,
Que tu te laisses éprouver et ressentir les pulsions de ton corps,
Celles que tu aimes, celles que tu découvres grâce à moi.
J'aime que tu ouvres les vannes de ta pudeur
Pour te laisser me murmurer ce que tu ressens, tête et corps.
Je veux que tu sois assez spontanée pour me dire
que tu aimes et as besoin de ce que je t'apporte,
par mes mots, par mes désirs, par mes caresses,
par ma connivence avec celle que tu es, celle que tu deviens.
Assez pour me demander de te faire jouir la tête et le sexe.
Quand le temps de la vie est le temps du désir,
le temps du désir de bien-être, parfois le temps d'amour.
il faut savoir trouver le temps d'accorder nos temps pour que le temps de notre temps dure le temps du plaisir. »
c'est brûlant et merveilleux et la partager est très touchant.
· Il y a environ 4 ans ·Pour info, ignore les commentaires vaseux du dénommé Maruki alias Edgar Allan alias Breitner alias je ne sais plus quoi. C'est probablement un pauvre impuissant qui essaie de compenser le vide qui l'habite.
marivaudelle
je te remercie beaucoup et aussi pour ta mise en garde qui continue à commenter. J'ignore cet importun et d'autant plus qu'il supprime ses précédents commentaires. Tu as sans doute raison, un impuissant du haut comme du bas
· Il y a environ 4 ans ·euterpe
Très belle lettre !
· Il y a environ 4 ans ·Louve
je te remercie beauicoup pour tes lectures
· Il y a environ 4 ans ·euterpe
quelle lettre! quel amant! c'est beau, profond, tu l'as trouvé dans une pochette surprise???????
· Il y a environ 4 ans ·expectative
si c'est dans une pochette surprise, donne moi l'adresse!
· Il y a environ 4 ans ·sylvie69
l'adresse ne répond plus!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
· Il y a environ 4 ans ·euterpe