l'oubli
benoit
Corps sans vie qui s’échoue sur la plage
Ou qui doucement dérive vers le large.
Corps sans vie qui s’élève au firmament
Ou qui dans les abysses sombre éternellement.
Dans l’ombre illuminée,
Dans cette pesante légèreté
S’achève ce cout voyage
Et commence le périple des âges
Vaines lutte de l’âme impuissante
Vaincue par la mort triomphante
Dévorée par l’oubli grandissant
Dispersée dans les sillons du temps
Terrible et terrifiante errance
A travers les limbes de l’inconscience
Où n’existe ni bruit ni silence
Seule y subsiste une insaisissable absence.
très beau poème, bravo
· Il y a plus de 12 ans ·franek
moi aussi! j'aime beaucoup!
· Il y a plus de 12 ans ·Karine Géhin
j'aime beaucoup et l'atmosphère et le style !
· Il y a plus de 12 ans ·janteloven-stephane-joye