Nos parodies de grandes chansons

Nos parodies de grandes chansons (2)

aujourd'hui : Jacques Brel. Ne me quitte pas

(Ou l'histoire d'un mec qui ne veut pas que sa gonzesse parte parce qu'il n'a pas fini de payer les traites de la maison et que tout seul il y arrivera pas...)

Ne me quitte pas

Il faut oublier

Tout peut s'oublier

Kiki s'enfuit déjà

Oublier le taon

Des mâles tendus

Et l'étang perdu

A savoir comment

Oublier le beurre

Qui puait parfois

A coups de pourquoi

le cœur du bonheur

Ne me cuite pas !

Ne me cuite pas !

Ne me cuite pas !

Ne me cuite pas.....

Moi je t'offrirai

Des perles de prix

Venues de pays

Ou c'est pas cher quoi

Je creuserai la terre

Si tu veux ma mort

Pour couvrir ton corps

Doré de crème solaire

Je ferai un dolmen

Ou la bourre sera roi

Ou la bourre sera loi

Ou tu seras schizophrène...

Ne me cuite pas

Ne me cuite pas...

(bis)

Je t'inventerai

Des robots à mixer

Que tu utiliseras

Je te parlerai

De ces amants là

Qui ont vus deux fois

leur cuisine s'embraser...

Ne me cuite pas

Ne me cuite pas

etc...

(C'est monotone à la fin...on a compris...)

On a vu souvent

Rejaillir le feu

De l'ancien volcan

Qu'on croyait trop vieux

(Alors là, j'ai eu du mal, j'avais pensé à mettre : « On a bu souvent, rejaillir le pneu, de l'ancien couvent, qu'on croyait trop pieu... » Mais ça ne veut pas dire grand-chose...)

Bon, je ne vais pas tout parodier, parce qu'en fait cette chanson me fiche le bourdon. Cette salope, elle aurait pas pu rester ? Ça nous aurait évité d'entendre Brel chialer comme un veau !

Espèce de connasse, tu te rends pas compte que tu as fait du mal à un grand poète ?

Et voilà comment le grand Jacques termine cette chanson

Je n'vais plus pleurer

Je n'vais plus parler

Je me cacherai là

A te regarder

Danser et sourire

Et t'écouter

Chanter et puis rire

(Bon, OK, à la limite tu peux faire ça Jacques, si tu y tiens vraiment, mais moi à ta place je lui aurai plutôt mis deux grandes claques dans la gueule pour lui apprendre à vivre à cette garce.)

Et la fin est vraiment pitoyable, jugez plutôt...

Laisse-moi devenir

L'ombre de ton ombre

L'ombre de ta main

L'ombre de ton chien

Mais

Ne me cuite pas

Ne me cuite pas...etc...

Brel est prêt à devenir « l'ombre de son chien ». (Quand on sait que c'est un chiwawa, ça doit pas faire beaucoup d'ombre...)

Et toujours, comme une litanie : « Ne me cuite pas, ne me cuite pas ! »

Non, franchement c'est saoulant à la fin. Tout ça pour une pétasse qui n'en à rien à foutre de lui...

Voilà comment pas mal d'hommes finissent alcooliques et seuls comme des chiens..

Salopes !

Mais dans cette chanson, on ne peut qu'admirer Brel, qui résistes quand même en suppliant :

Qu'elle ne le cuite pas, ne le cuite pas....

(Hic!)