Nymphe de mon jardin secret
Aloysius Isidore Dambert D'eaucloret
Je te découvre nue, lascive sur un lit de verdure
Sur ton mont de vénus la rosée matinale perle en parure
Tout ton corps irradie, tu n'imagines pas le plaisir qu'il procure
Tes courbes désirables me donnent des idées de luxure
Je m'allonge nu à tes côtés mes yeux se posant sur tes tétons fripons
Ma main caresse tes doux cheveux, tu sens terriblement bon,
Ma langue aventureuse parcourt tes hanches au goût de calisson
Tu es belle, sensuelle, endormie langoureuse sous la frondaison
Dans ton sommeil, tu te retournes découvrant tes fesses callipyges
Vision adorable du creux de tes reins ou ma verge tendue se fige
Un frisson de désir me parcours, j'aimerais savourer ta vulve vertige
Mes doigts gourmands écartent ton entrecuisse la moiteur me dirige
Ma bouche amoureuse explore ton minon et approche ton clitoris
Ton abricot, humide, brûlant s'anime et attend que je m'y glisse
Ma pine fière espère tes lèvres, ton contact comme un délice
Ton corps fiévreux s'agite, tu me regardes enfin avec malice...