Papa Zéphyrin
David Lorea
1.
Tout à commencer par un cataclysme, nous étions le 12 janvier et la terre à encore tremblée...nos anciens étaient en colère sans doute.
Le tremblement de terre avait littéralement saccager Port-Au-Prince...notre pauvre pays fut une nouvelle fois dévaster.
Personnellement ! Le tremblement de terre avait détruit ma famille, mon épouse Firmine et nous deux fils, Henry et Christophe ont trouver la mort écraser par le toit de notre boutique de souvenir.
Brisé et fatigué par se drame intime, je ressentis une haine qui vener de naître du fond de mes entrailles, telle une écume, je n'avais qu'un mot sur les lèvres...vengeance, oui, vengeance contre nos politiciens véreux, vengeance contre la France qui n'avait rien fait pour nous venir en aide.
Ma décision était prise, je quittais la terre de mes ancêtres pour Paris et rejoindre ma tante dernière représentante vivante de ma défunte famille, tante Alexandrine vivait au XXèmes arrondissements de Paris, rue des Rondeaux à côté du cimetière du Père-Lachaise, là, elle tenait un petit magasin d'art caraïbéen.
Donc, je quittais Haïti avec pour tout bagage, quelques photos de famille, mon livre noir à maléfice de mon arrière-arrière grand-mère maman Rosette et ma canne en bois...j'arrivais de nuit à Orly...ma tante était venue me chercher.
Lorsque, je la vis, j'eus la surprise de constater qu'elle n'avait pas changer, vingt ans avait passé et elle avait l'air d'avoir encore trente ans.
Certe, elle avait un peu grossie, mais, cela n'entachais pas son charme, devant moi, j'avais la dernière représentante de la famille de mon père.
Tout en discutant, nous montions dans sa petite voiture, une vieille ds rose fluo, pendant, le trajet, elle me parla de son magasin, de ces clients, parmi eux, elle comptait un comédien collectionneur de cochons...et d'autre tout aussi pittoresque dans un coin de ma mémoire, j'esssayais de ranger tous ces renseignements car dans les jours suivant, ces personnes feront partie de ma nouvelle vie.
Le lendemain matin, après avoir bu mon café au lait, ma tante me confia une mission allez portez une course rue des Batignolles pour l'amateur de cochons.
Après la course, je m'offris une p'tite balade au Père-Lachaise grâce à se moment de tranquilitée, je pus trouver un peu de calme pour mon âme...je m'amusais aussi à prélever devant certaines tombes, des herbes et quelques grammes de terre ainsi que des cailloux, je me lançais dans une collection de bocaux en verre où j'y mis mes p'tits prélévements des cimetières de France et de Navarre, car mon travail pour ma tante, consistait à être son v.r.p pour des clients vivant un peu partout...tante Alexandrine avait la phobie de la poste.
Un soir dans notre cave, je commençais à préparer un sortilège pour un client aidé de mon livre noir et de ma canne en bois, je repris mon statu de Bokor sorcier vaudou...face à moi, l'autel était près, j'y avais déposé une carcasse de poulet, une momie séchée de chauve-souris et une goutte de sang de chêvre...puis, je commençais à chanté une litanie.
" Si haut si Bas, écoute ma voix crapaud venimeux trouve des langues dans les racines des arbres et fait des sermons dans les pierres de ta bave verte et flottante, ils reviendront semer la terreur."
J'ouvris le bocal, que je tenais dans les mains, d'où était enfermer un crapaud déssecher...à ma voix, ces yeux s'ouvrir et de son regard de batracien maléfique, il ouvris une large gueule d'où en sortie une bave verte gluante fluorescente qui s'éleva dans les airs et s'échappa par la fenêtre de la cave.
Ma vengance était en marche...me dis-je.
2.
Cimetière de Montparnasse...15èmes division, il était tôt se matin-ci , lorsque, madame Duverbier venait fleurir la tombe de son mari, mort depuis maintenant dix ans, le 15 janvier 20.. quelques chose, les dâtes commençaient à s'éffacer, il était difficile de déchiffrer quoi que se soit.
Madame Duverbier n'avait pas vue tomber autour d'elle et sur le cimetière, un étrange brouillard vert...inodore...incolore.
Lorsqu'il se posait un peu partout sur les tombes, le brouillard d'apparence chimique reprenait sa forme initiale à savoir l'immonde bave verte.
Insidieusement, la bave s'infiltrer par toute les fissure possible, petit à petit le couvercle de la tombe de monsieur Duverbier pivota.
Bondissant comme un fauve affamé, monsieur Duverbier se jeta sur sa femme et la dévora comme si elle avait était un bon gigot d'agneau.
Face à la tombe de monsieur Duverbier, une porte de fer vert olive d'un petit mausolée dâtant de 1915 s'ouvriet avec fracas.
"Carrrrammmba, ye chouis de retour"
L'homme revenu d'entre les morts tira en l'air avec ces deux pistolets rouillé...
" Ye fais tous fous touyez sâle chiens...foi de Porfirio Diaz"
Le général Diaz assouvie sa vengeance en poursuivant un employé du cimetière.
Un quart d'heure plus tard, après ces évènements, touts les habitants décédé du cimetière du Montparnasse était revenu à la vie....de Pierre Laval au plus parfait inconnu.
L'armée zombie était en marche sous le commandement conjoint du Général Diaz et de Pierre Laval.
Au même moment dans toute la France, des centaines de milliers de Zombies, semer la terreur.
Cette épidemie traversa les frontières comme le nuage de Tchernobyl, et en moins d'un mois, toute l'Europe était dominé par le morts vivants.
3.
Ceci est un message pour le futur, je suis enfermer dans ma cave derrière la porte, j'entends un bruit sourd, ils sont là, ils essayent d'entrer à l'aide d'un bélier, ils n'ont plus qu'une idée dévorer le dernier homme encore vivant sur terre.
Comme le docteur Frankenstein, je n'ai pus maîtriser le monstre que j'ai créer pour me venger...Dieu veuillez me pardonnez moi, un pauvre pécheurs qui à voulu faire justice soi-même....par erreur, j'ai anéanti toute l'humanité....après les dinausores et l'humanité voici venu le temps de la Zombianité à la durée forcément éphémère...il ne me reste que très peu de temps, la porte commence à craquer...vite une gorgé de se poison et ...non....à l'aide......
4.
" Tu étais succulent...mon cher neveu."
Ecrit du 17/11 au 30/12/2012.
à Bordeaux.