Pensées grotesques
souslesoleilexactement
Dans l'éclat d'un jour astral
Je cherche la beauté
Je respire un air chargé d'atomes non crochus
Mes pensées courent vers l'homme infini
Dans mes rêves il est l'amant imparfait
Railleur et glissant comme une tatane dans une flaque d'huile
Enseveli sous les sous sols étagèrs de sa vie
J'en oublie ses manquements présents
Et en toute conscience hardie
Je me glisse dans ses beaux draps
Polie et effacée
Je m'octroie quand je peux
le droit de le rayer de mon imagier
Une fin sans drôlerie
Quand même !
À peine endolorie
Je me retourne en moi
J'espère ne pas l'offusquer
Au risque de faire grossir son mépris.
de toute façon, l'homme infini n'était qu'un rêve, alors retourner en soi ne peut qu'offusquer un songe ...!
· Il y a plus de 3 ans ·rechab
Je n'ose même pas offusquer les songes.
· Il y a plus de 3 ans ·Merci
souslesoleilexactement
La fin d'une histoire à peine ébauchée, sans chagrin aucun.
· Il y a presque 4 ans ·Louve
Non le chagrin n'est pas de mise.
· Il y a presque 4 ans ·Merci.
souslesoleilexactement
fine analyse !
· Il y a presque 4 ans ·Gabriel Meunier
Fine?
· Il y a presque 4 ans ·J'ai dis grotesque :))
Merci
souslesoleilexactement