Moi j'ai plus de mal avec celui là ... paradoxe des caresses passagères et du baume ... n'est ce pas un emplâtre sur une jambe de bois ? et d'autre part je le trouve limpide aussi, évident alors que les autres de tes promesses laissaient une fenêtre ouverte, ici je ne la vois pas
Bleuterre, je pense comme toi pour le lien entre l'universel, le cosmos et l'individu, c'est exactement ce que je ressens, mais pas facile à bien doser quand on rajoute qu'il faut aussi du flou, mais pas trop !! Celui-là ne répond pas à ces canons.
celui là, il est beaucoup plus subtil, les mots sont beaux, les mots sont doux. Après je me demande si dans la recette du Haïku, il ne faut pas mélanger le vivant et le minéral ou le végétal, enfin, ce que les japonais appellent la saison, ce qui relie l'universel au particulier. Mais ça n'enlève en rien que celui là, il est particulièrement beau, il rejoint quelque chose de l'intime.
Moi j'ai plus de mal avec celui là ... paradoxe des caresses passagères et du baume ... n'est ce pas un emplâtre sur une jambe de bois ? et d'autre part je le trouve limpide aussi, évident alors que les autres de tes promesses laissaient une fenêtre ouverte, ici je ne la vois pas
· Il y a plus de 12 ans ·reverrance
Bleuterre, je pense comme toi pour le lien entre l'universel, le cosmos et l'individu, c'est exactement ce que je ressens, mais pas facile à bien doser quand on rajoute qu'il faut aussi du flou, mais pas trop !! Celui-là ne répond pas à ces canons.
· Il y a plus de 12 ans ·hermanoide
celui là, il est beaucoup plus subtil, les mots sont beaux, les mots sont doux. Après je me demande si dans la recette du Haïku, il ne faut pas mélanger le vivant et le minéral ou le végétal, enfin, ce que les japonais appellent la saison, ce qui relie l'universel au particulier.
· Il y a plus de 12 ans ·Mais ça n'enlève en rien que celui là, il est particulièrement beau, il rejoint quelque chose de l'intime.
bleuterre
j'aime sa mélodie... et ses mots... c'est beau.
· Il y a plus de 12 ans ·Karine Géhin