Quelques maux pour être à la page

dechainons-nous

Au fil du temps la plume se fait gracile et vole, s'envole et vole dans les plumes, elle égratigne et rature mais n'impressionne pas le papier.

Elle laisse des traces et de l'amertume, guide et tire des lignes met des points de suspension à son vol, la page se gondole et reste blanche.

Intellectuaile, planeuse et vaniteuse rarement vertueuse la formule ne peut se réduire à être simple, le grain à la page ne s'encre pas de cette folie.

Le monde est fou, ambitieux, démoniaque, monarque, esclavagiste et assassin, de son sang rouge il marque à jamais les sillons de sa terre.

Toutes ces lettres haineuses forment des maux nourriciers de mépris et de vaines querelles, l'homme sera toujours son propre fléau.

No solution

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