Sous l'impair

touslessenceeneveil

Certes il existe des pervers aux impers, qui ne manquent jamais de passer par la case prison.

Mais ce jour-là, je ne l'ai pas trouvée perverse, cette dame qui m'a ouvert son impair.

Je lisais tranquillement sur un banc du Parc Monceau, caché entre les fleurs, il était à peine 8h et je profitais de la quiétude du moment, quand elle est apparue.

Je le compris plus tard, elle n'était vêtue que d'un grand Panama et d'un impair noir qui allait jusqu'à des ecscarpins fort jolis qui furent les premiers à attirer mon regard.

Elle était très grande, brune italienne et ses yeux verts étaient fantastiquement intenses, pénétrants et troublants.

Elle me fixait sans piper mot, mais la bouche entrouverte, découvrant une dentition parfaite qui se transformait en sourire coquin éclatant.

Tout se passa très vite, d'un geste rapide, elle défit la boucle qui relâcha la ceinture qui enserrait son imperméable.

Me faisant entrevoir une cuisse et un sein qui m'entrouvrait avec ravissement, la vue sur un corps que je compris entièrement dépourvu d'habits.

Voyant mon regard épris de désir, elle ne se fit pas prier et passa à l'action. D'abord, elle me fit le coup du pervers pépère, en ouvrant en grand son imper, afin que je ne puisse plus voir qu'elle, son envergure me masquant le soleil pour lequel j'étais venu. Mais la lune me paraissait n'avoir jamais été aussi belle. Et la belle me fonçait dessus. Nos bouches s'entrelacèrent directement comme aimantées par des forces plus attirantes que les tractions qui allaient suivre.

Elle avait gardé son Imper trop grand pour elle, qui nous assurait un peu d'intimité, mais le monde autour avait cessé de tourner. De plus que dans mon short, j'étais très à l'étroit, elle sembla le comprendre sans un mot, puisque sa main s'y aventurait déjà, révélant mon sexe qui était dans une forme olympique. Elle s'y empala du coup très facilement, ça aide parfois d'être nue à la base. S'accrochant au banc, elle rythmait nos ébats de râles aigus mais rentenus, se mordillant les lèvres quand elle n'était pas fourrée dans les miennes.

Cela dura 5 minutes où ma sportivité m'aida à faire face à cette furie... Jouissant en premier, elle me sussurra à l'oreille " A Demain" et s'enfuit lentement, vite rhabillée me laissant mon journal qui cachait la fontaine qui coulait entre mes cuisses.

C'est ainsi que j'ai eu une aventure d'une semaine avec cette brune plantureuse, dont je ne sus jamais rien, sauf qu'elle me dit Adieu le lundi suivant et que depuis, je rêve de la revoir ou autre...  

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