Suspension

(Pour être tout à fait honnête, des critiqueurs, il y en a eu ici, mais il n'y en a plus, maintenant. Je ne reçois que des commentaires bienveillants. Et puis, « On ne tire pas sur le condamné* ! » Excepté d'être dans le peloton d'exécution.)

Bon, on papote, on papote, mais il ne faudrait pas que j'oublie mon Communiqué Important.

Ah, oui ! Ca y'est ! Je l'ai... j'ai découvert comment les yogis avaient cette souplesse légendaire de bonhomme en mousse. Facile ! Ils font leurs postures complètement défoncés.

J'en ai fait l'expérience dernièrement personnelle, moi-même.

Incroyable ! Les postures les plus dures, même celle du « chakypèteépu », fastoche ! Un pied qui me cure le nez, un autre, au sol, ou ça tombe. Fastoche, une souplesse d'enfer l'Hervé. Ce n'est que le lendemain que j'ai vu que c'était cassé. Tout cassé, les bras, les jambes, le dos, les reins etlarate...

Comme quoi, malgré qu'ils soient dopés. Les yogis doivent avoir un petit quelque chose de rien, en plus.

*Toujours pour les puristes qui sont partis, l'expression exacte concernerait davantage les pianistes ou les ambulances et accessoirement les diligences.

Mais si les pianistes sont tous condamnés, les condamnés ne sont pas tous pianistes. Donc « Une diligence peut en cacher une autre ambulance** »

** Toujours encore pour les puristes qui sont plus là. Ce n'est pas tout à fait l'expression exacte qui concernerait plus les locomotives à vapeur. « Ne tirez pas sur les locomotives à vapeur ! »