Syndrôme de la page blanche

En manque d’inspiration !

Pourtant pleins d’idées dans la tête, je me fais souvent violence devant ma page blanche.

Depuis quelques jours, sans succès.

J’ai beau tenter mille et un sujets, mille et une pensées, je n’émane d’aucune illumination.

Pauvre de mots, pauvres de sentiments en ces beaux jours qui arrivent, je pense ne pas être assez malheureuse pour écrire. (Oui j’écris quand je sens que plus rien ne va, que tout dérape, que tout s’emmêle, ou se démêle….)

Même là, ici, tout de suite, je ne sais quoi vous dire. Je ne sais comment vous expliquer ma frustration, consternation devant mon être si dépourvu de… de… Je ne sais même pas.

Hier j’ai voulu vous parlez de mon dernier amant (encore ?), de ma carte bleue (oui je pourrais écrire un roman sur la relation qui nous uni), ou encore du vélo que je venais de commander sur internet (vélo d’appartement se destinant à me faire perdre deux ou trois kilos avant la plage de cet été et que je pense voir pourrir, moisir, au fond de ma chambre, pendant des mois, avant de me décider à le revendre tel mon désespoir face au rapport prix/bénef sera grand, voir immense, gigantesque, et surtout, calamiteux.).

Aujourd’hui j’ai voulu vous parler cuisine. Ouais parce que moi je cuisine aussi… Peut-être mieux que j’écris parfois ! J’suis sucré, gâteaux, muffins, cake, cupcake (comme dirait la mode)… Bref des trucs bon pour la santé.

Et voilà que je me retrouve avec plus de mots que ces derniers jours sur ma page blanche, à vous parler de ce que j’aurais pu vous parler.