tout est en relation mais faut pas la perdre

mmandelkorn

 


Cette impression que tout tourne autour de soi, sentir son corps flotter, tanguer…Ces effets ont des conséquences, virevolter – tourner –virer- évoluer, se braquer, se diriger,

Mais où   ?

Aux alentours, Intrinsèquement, tout autour,Soi même, intrinsèquement, être soi - En substance et, ou dans son corps :

Percevoir – Apercevoir –Recevoir – Toucher - Recueillir- FLAIRER

Ondoyer, Situer, Onduler, Varier, Changer, Émerger, apparaître, sortir de, SE SERVIR DE, ballotter-Tout le monde a déjà expérimenté ces sensations désagréables, caractéristiques des “vertiges”.

Mais quelle en est l’origine ? Ces troubles sont en fait les symptômes d’une perturbation de notre système d’équilibre. mais est-ce seulement un problème d'équilibre : hélas non, ce serait trop beau :Provenance, Source, Ascendance, filiation, genèse, lignée, race..·  Ces vertiges, c’est grave, Docteur ?

®importants – sérieux, dramatiques, tragiques, mortels, fatals, cruels, mortels

® signe, annonces, indices, indications, expressions, manifestations

® perturbations, agitations, émois, fièvres, anxiétés, troubles, inquiétudes, soucis, tracas

systèmes et, ou propositions

®  stabilité, aplomb, verticalité, sang-froid, assurance, audace, compliqué, confus, difficile, embrouillé, aisance, maîtrise, sang froid, cran, toupet, fermeté 

Dans notre cerveau, des circuits neuronaux font office d’ “intégrateur central”. En schématisant, on pourrait comparer cet intégrateur à une sorte d’ordinateur qui reçoit et traite en permanence toute une série d’informations.; l'ordinateur est bête, soyons intelligent. L'ordinateur, c'est comme ci on rangeait des informations dans des tiroirs, puis des sous tiroirs.. En temps normal, notre système d’équilibre est passif et inconscient. Comme un ordinateur. Nous ne devons pas fournir d’effort pour nous tenir debout ou pour marcher droit. Il arrive cependant que ce système complexe ait des ratés. L’éventail des causes possibles est très large. Des dérèglements sont susceptibles d’apparaître à trois types d’endroits différents :  ·            Au niveau des organes qui reçoivent les informations extérieures : les yeux, l’oreille interne (gauche et droite), certains nerfs des jambes… ;

·           Au niveau de l’intégrateur central, c’est à dire du cerveau et du cervelet (centre de l’équilibre) ;

·           Au niveau des effecteurs (les muscles, notamment), c’est-à-dire des organes qui, en appliquant les instructions du cerveau, nous permettent d’avoir un bon équilibre.

Lassitude, harassement, surmenage, faiblesse, anéantissement, essoufflement, fourbure- associationnisme - fouriérisme. Attention cependant. Si dans le grand public, nous avons tendance à qualifier de vertiges tous les problèmes de troubles de l’équilibre, cette notion de vertige est réservée, dans le monde médical, à une sensation, généralement violente, de rotation du monde extérieur autour de soi, comme dans un carrousel.

Pas à une simple sensation de manque d’équilibre. Donc un peu coincé par un manège et, ou une reprise.. des agissements, du fantastique, des façons, des moyens, des méthodes

Ce sont des idées de vertige, son concept, sa conception, sa représentation, ses pensées, son image, sa vue, ses idées. Le cerveau commande la plupart des fonctions du corps : la respiration, la contraction des muscles, les battements du cœur... C'est aussi dans cet organe que sont analysées les informations sensorielles (la vision, l'ouïe, le toucher, l'odorat et le goût). Enfin, le cerveau est le siège de la mémoire, de l'apprentissage et des émotions. Il faut  alléger, décharger,  délester, atténuer, diminuer, adoucir, atténuer.

L'abus : alléger, décharger, alléger, délester, atténuer, diminuer, adoucir, atténuer chers lecteurs..

J’étais avant mon service militaire suffisamment avancé pour prétendre à obtenir un diplôme de l’enseignement supérieur, plutôt réservé sur mon sort (j’ai écris un livre « ESSAIS » disponible sur INTERNET à mon nom MANDELKORN… Bref, je suis très concentré sur l’acquisition nécessaire en matière juridique, comptable et financière, et j’étais par le passé, vraiment axé sur un effort « possible » au moins de deux ans après mon baccalauréat (que j’avais réussi du premier coup) et au final très fier d’avoir été premier de ma classe de terminale. Enflammé dirons certains et vraiment absorbé par mes études diront d’autres, CHERCHEZ L’ERREUR.  J’avais réussi mon bac, moi issu d’un cycle court en comptabilité et commerce et surtout à cette époque, très sportif, j’étais très bien dans ma tête mais ça ne pouvais se voir..vu l'ambiance délétère dans laquelle je pratiquais le sport. J'ai fais de l'athlétisme à haute dose, j'étais surtout d'effort court, comme le sprint. J'aimais beaucoup la vitesse, j'eus l'occasion , dans mon premier cycle court, bien avant mon baccalauréat, de pratiquer fréquemment des chronos sur 100m et 200m, j''étais chronométré mais n'ai jamais eu les temps effectué, à cette époque ce sont des efforts ludiques, par l'encadrement de bénévoles, ce qui n'empêchait en rien que j'ai eu affaire à des "flics", sympathiques, dévoés dont je n'ai plus entendu parler ni référé des chronos ue j'ai obtenu. C'était durant l'année 1968, au début de l'automne 1968, à l'heure des troubles d'OSLO, mai 68 à Paris s'étendait, j'ai appris bien tard ce qu'était la violence inouï de cette folle époque, j'étais scolarisé en un cycle court, lorsque nous devions sortir du Collège , notre bon chef d'établissement avait peur pour ses élèves, toujours et encore, ils nous donnait un billet d'absence pour nous éviter tous démêlés avec la force publique,  car la racaille errait , les provoquant sans cesse, il n'y avait pourtant que très peu de contrôle d'identité, mais sait-on jamais nous disais notre chef d'établissement. On trouve toujours plus fort que soi, alors prenez en compte mon héritage en matière de conformité, c'était les paroles de mon chef d'établissement, c'était une manière de protéger "ses élèves",  . Oui, nous avions aussi à défendre la réputation de notre école, réputé pour avoir un taux de réussite très fort, à l'enseignement général mais aussi en matière de gestion, de français, de mathématiques, de législation, de droit, de commerce. Notre directeur nous disait que de notre école, est sortit des diplômés ayant pu accéder à tout et qu'il fallait préserver la réputation, ce qui nous permettais d'être très éclairés sur notre devenir professionnel. Pourvu de ces paroles, notre moral était préservé, nous accoucherions d'études brèves, dans un lieu sur avec tout prêt la mairie du 14ème arrondissement et sa caserne de CRS, cantonné très prêt de notre collège.. nos professeurs très distingués, étaient surpris de l'attention administrative du chef d'établissement,  Je savais aussi que je pouvais m’arrêter là ou ailleurs et travailler, mais c'est ensuite après mon baccalauréat, qu' avec cette circulaire qui faisait écho dans ma conscience d'étudiant et grand bruit au Lycée qui fut la suite de ce Collège,qu' on m’annonça que je ne pourrais plus entamer deux ans en institut universitaire de technologie pour obtenir un diplôme d’enseignement supérieur vu mon âge et l’obligation d’aller à l’armée. C’est avec un  peu d’inspiration qu’après avoir  été incorporé en caserne, puis délivré des obligations militaires que je me permets de vous exposer à travers ce PAMPHLET, il y eut des difficultés à se faire valoir. Il y avait aussi mes difficultés à pouvoir étudier, mon objectif et mes ambitions, mon dynamisme m'a permis de continuer des études supérieures.. Ce que j’ai vécu n’est pas un drame, c'est un flash  , ce que l’ai vécu ainsi, c’est une fois de plus, une récession, je n’interprète rien, la France était en récession « et entre nous c’est un peu facile de nier l'évidence, le Président criait à la chienlit, vint un autre, et l'ensemble des appelés que j'ai rencontré était loin d'avoir eu comme moi, des études de sciences politiques, portant sur la planification, le commissariat au plan  et la synthèse portant sur l'économie, la seule pratique raisonnable se substituant à la seule Politique monétaire de ces années comme toujours d'ailleurs. Par ailleurs force est de constater qu’ on a , sous les drapeaux,  tendance à casser l'individu à travers son individualisme, c'est la Condition Humaine de Zola, que lisais durant mon service militaire. J'étais absorbé par un travail de gestion, peu conscient de la hiérarchie militaire, cette hiérarchie a certaines,Difficultés (Argent- Manger - Boire-Société-Chance - Nature Humaine-état D'esprit -Forces et Faiblesses- Succès - échecs-Apparences

Il y a des Personnalités militaires violentes, des cadres d'exercice disons à l'activité essentielle de la guerre, mais aussi une violence primaire. Il faut les soigner, se ranger des interprétations dont ils font l'objet, se faire mieux et bien voir et notamment pour s’affirmer autrement que des études qui suscitent l'intérêt pour les postes ouverts, voir notamment  tous les avantages que procure le langage militaire, un langage méticuleux, précis , mais hors de compassions de nos états d'âmes, comme de l'État. Un État qui possède un arsenal,  lui même  et dorénavant bouclé, il y une interrogation sur le langage professionnel, il y a  les dialogues autorisés, ceux évoqué que j’avais en fait trouvé tragique et surtout illogique au risque tout stopper, cet « illusoire » je l’ai payé plus d'un an,  car j’ai du interrompre tout effort lucratif  pour servir. En clair, c’est après un congé de convalescence sur les derniers mois d’un service militaire classique que notamment en psychiatrie, j’ai tenté de comprendre pourquoi on voulait autant  juger sur soi et sur les autres, les incapacités psychologiques. Donc sur interpréter faits et choses, de façon surpuissante comme en Droit. Il y eut une demande particulière, vu le stress incessant de ma caserne, je du suivre leur chemin , et ce fut  considéré impossible, on me demanda de poursuivre ailleurs alors que j'étais profondément convaincu du contraire. Si vous lisez mon livre "ESSAIS" de MANDELKORN, j'en parle, avec courage , fallait-il , que je prenne un traitement, même faible durant mon armée ou non,  mais le prendre, c'est bien, le refuser c'est mal, et pourtant, je n'aimais pas du tout, l'idée selon laquelle, on tenterais de voir plus clair, après en être délivré. Délivré quand même, pour que je ne perde pas le fil des évènements survenu , et de façon secondaire, savoir qu'il est formellement déconseillé de stopper les médicaments qu'on m'avait imposé, il y avait eu des « anxiolytiques et des anti-dépresseurs, des somnifères, j'avais été piqué pour dormir alors que je dormais bien, j'avais été piqué au vif, avec un sang pur, avec l'idée maitresse que contrairement à ce que je subissais, la meilleure façon était de faire en sorte, de faire un maximum d'efforts, d'abord physiques mais aussi mentaux, psychologiques, intellectuels. On attaque mon tonus, et bien je me défends, je ne suis un militaire comme les autres er bien en sus et aux avis autorisés, ce sera de la "foutaise", il me demanda d’en prendre, alors qu'on m'indique que je n'en ais pas besoin, ou seulement si j'en ressent le besoin.  En fait, un psychiatre civil, une fois délivré des obligations militaires et « sanitaires »,  a auguré une plainte en mon nom, sitôt après mon congé "de convalescence". Convalescent, non pas du tout, j'ai sans me contraindre à l'abus, aucune preuve,  et évidemment qu'on peut faire valoir n'importe quoi, j'ai continué un traitement en psychiatrie, ce n’était pas du goût de mon père, et de ma mère, un dévolu, des inquiétudes grandissantes. Et plus de trente après, à travers une procédure judiciaire, j’en prends encore des dits troubles dit de comportement,  Et à faible dose, je dirait que les troubles se sont avérés si minimes, en tout cas et totalement inférieur à une quelconque maladie, que j'ai pu à l'essentiel rencontré des personnes militaires que j'avais connus, reconnus, et rapidement dire qu'il est normal, et avant régulier, d'en être redevable sans pour cela se voir relever de ses fonctions militaires pour du sanitaire. Cette psychothérapie, cette hygiène mentale et psychologique, valorise "des voyeurs" , cent ans après, c'est un cas de nullité, donner de l'énergie à vos compétences, du code des pensions militaires et plus encore de notre haute Administration, Malgré des plaidoiries qui ont réussis à dénoter un abus, de la part d'une substitut au Procureur de la République,deux Tribunaux se renvoient les jugements (Nanterre et Versailles) sans examiner à fonds les propos fallacieux ayant pourtant leur juste place dans mon crédo, j’en suis là. Qu’il n’y ait pas de raison évidente à constater des plaidoiries différentes qui en droit ne font qu’un, ce sentiment sur le droit lui-même à vivre humblement dans une ambiance de jugement, disons unanime, par du « ouï dire » et aussi par l’impossibilité de se défendre face à un État fort de ses plaidoiries non prises en compte,. Lors de mes premiers soins, disons de ces symboles, cela s’est avéré justement comme un  cas très autorisé,, évidemment, la nature des choses en matière de "psychiatries" ne variera pas,elle est  en tout cas remplis de contre-indication, et en matière de prise en compte et en matière autodidacte par les praticiens hospitaliers.  On se trouve tous et toutes confronté à leurs propres excès, à leurs questions et  pn se retrouve vite dans la peau d’un personnage type, disons parfait, d’où une théorie médicamenteuse en supplante une autre, la justice sous ses toutes formes de spiritualités, , d’ailleurs en cela, je comprends que la mystification existe particulièrement  la médecine de masse « particulièrement dans sa propre indifférence». Il n’y avait pas lieu de m’hospitaliser, d’augmenter une charge pérenne durant mon temps d’armée, celle qui faisait de façon admirable son chemin, au lieu d’inquiéter mes parents, de devoir les contraindre post-durée militaire de devoir se remettre en cause, et en sous-entendant « un besoin »..INEXORABLE qu'on nomme prévention, suspicion,... En sus, cela reste de la traitrise, par excès de "voyeurisme", par excès de contrôle, ce fut le dernier jugement en Appel qui a clôt mon affaire et qui fait état de « troubles du comportement » dès le quatrième jour de service. Je ne suis évidemment pas à même de risposter, à quelle occasion, et dans quelles circonstances, on m’impute cela, seule la personne intéressée peut le faire, Sa  relation avec le service de santé des armées n’est pas la mienne. Ce que je peux dire, c’est qu’à cette époque (en octobre 1973, j’étais sursitaire et , deuxième classe.., que ce genre de trouble ou même plusieurs relèvent de théories médicales affirmés, théoriques, ils s' avèrent peu pratiques à être éclairés, mais quelle sur-interprétation, quelle surréaliste.  Le rôle du service de santé des armées serait quand même plus notable, si au lieu de renseigner la psychothérapie et son auteur, il s'avouait qu'au 4ème jour de service, on ne me donna pas de psychotropes comme on l'a fait sur la fin de mon armée, il y a sur l'objectif miliaire, qu'une grosse plaisanterie, avec laquelle, plutôt qu’évoquer des troubles conscients, on ferait bien mieux et ce serait exact d'y constater la personnalité qui me demanda de "consulter", de façon à comprendre la plaisanterie de celui qui n'en avait ni le droit mais qui par sa position, en cette caserne, pouvait le faire. Il plaisantait, et il l'a fait. D'ailleurs le dialogue en est la preuve, le dialogue que j'ai eu avec "cette personne", ne peut-être que la preuve officielle, de l'abus, de son manque de clairvoyance,  mais aussi et surtout d'un homme jalousé parmi d'autres gradés de son époque, pour mieux s'affirmer, pour se rendre totalement, Indépendant et par là rendre clair, qu'il aurait tant être ailleurs que dans cette caserne. Ce dont je n’aurais aucunes explications et surtout, pas selon le concept de soins, . C'est donc en aucune cas avec une relation aussi informel, que je puis prendre sa défense, on vénère, et puis voilà, d’où l’idée d’une autorité qui prétend que vous y êtes sans y être, comme toute  information petite-enfance, où l'on vous exclue quand le site où vous êtes est censé être à votre disposition libre et entière. Il a suffit que mon capitaine soit muté, et ce fut "la chienlit", d’où l’idée du service à rendre à d'autres mais pas au principal intéressé. Bien que des jugements ont eu lieu, il n'y a rien de plus FAUX, pour moi, il n'y avait pas lieu que la justice s'attache à vouloir élucider l'exclusion et son devoir était de refuser purement et simplement mon internement et d’agir en contrebas pour y voir clair. Ce que je veux dire aussi c’est que j’étais d'abord dans une caserne d’instruction du service du matériel, et que dans les limites de ma contribution, j’ai servi ma caserne jusqu’à ce que je me fracture le coude. C’est peut-être cette action qui a fait que mon commandement puisse s'attacher trente ans après à recenser "ces troubles" et  à l’occasion je dirais que c'et un jugement  sur "le caractère, peut-on évoquer dès ces premiers jours des troubles du comportement , ceux qui naissent avant, ce qui naissent dans le comportement sans y voir les troubles caractériels de ceux qui font l'histoire, ah moins que ce soit un contact recensé, qui sait sur la prévention des risques, qu'on inonde d'imprécations morales, civiles dans un cadre restreint, comme dans un lieu de culte, un couvent, une synagogue, une secte, .C'est de la démagogie., Ce qu'il faut absolument condamner, c'est as psychologique, c'est un plâtre et une rééducation fonctionnelle du coude lorsque j’ai eu une fracture en jouant au foot-ball, sur du ciment, ce qui à mon sens, doit être interdit , j'ai eu affaire à des irresponsables, et si on va au bout des choses, je n'aurais jamais permis cela avec quiconque si j'avais la charge d'organiser un temps militaire. Car au plan de mon comportement , comme homme libre et responsable, et, en tout cas en caserne, au lieu de dire les tades sont occupés, on jouera sur notre sol, on annule plutôt que tenter « le diable », c’est donc quasiment impossible de conclure à une idée de prévention sans remettre en cause les armée, la région militaire, ce bataillon du matériel et à travers lui, les territoires, une prévention objective, ne doit pas  relever de l’absurde.  Par ailleurs (il n'y a qu'à connaître ce que sont les troubles du comportement avérés pour s’en convaincre, avant d’abuser des mots , il faudrait les connaître, c’est ainsi que j’ai du mal à accepter à travers cette banalisation signée et à la faveur, d’un dit dignitaire de la psychologie et de d l’hygiène mentale en mal d'inspiration. Donc et apparemment, le législateur n'avait qu'à fourrer ses yeux dans n'importe quel glossaire médical et il se serait vite rendu à l'évidence, or, il le fait quand la cause est importante, la mienne est minime). . Tout médecin se doit  de s’informer de l’existence d’un cas réel ou divulgué, je ne dis pas irréel, je dis divulgué et non pas à des doses de subjectivité ou d’interprétations multiples. Quant on trempe dans l’élixir, on est comme « Obélix », immunisé..  C'’est après m'avoir été dirigé sur une autre caserne, que l'idée de post-convalescent n'effleurait personne SAUF EN DROIT et plus encore en expertise, il y a  eu des conséquences « fâcheuses » sur mes aptitudes professionnelles à fonctionner normalement, mais rien de très probable vu ma condition d'existence en tant que relevant de la législation sur l’handicap, pour s'entendre dire tant de choses, "de l'aptitude aux travaux sans cadence" au fait que je ne pourrais plus faire mon travail comme avant", , il se  fait jour  qu’un tel passif vous suit, mais cela m’entraînerait trop loin à tout vous narrer. Je passais ma journée en bureau du matériel, affecté en comptabilité, il y avait, la sécurité de ce travail que j’aimais bien et le déroulement de mes missions  s’est bien passé.

Pourquoi as-t-on jugé utile de m’hospitaliser en fin de période militaire ?

Ce suivi individuel fut vraiment osé, et c'est intolérable. quand je me remémore cette époque, d'avoir à s'y référer, on vous fait du mal, alors vous essayer de comprendre, et ce mal vous poursuit jusqu'à que vous l'oubliez. Si  j’étais sujet à des troubles psychiatriques précis, j’aurais déjà été éloigné , et réformé , j’ai pas été soigné dans le passé pour toutes ces théories fumeuses. Quels causes pouvaient faire que l'on affabule sur moi, au moyen d'un  vocabulaire psychiatrique et par des commentaires stigmatisations, traumatisants, sans conséquences car à l’armée, on s'en moque,  !Une prévention, non pas du tout, une gageure mais surtout pas une prévention , même si le corps médical fait confiance à ses confrères.. DANS CETTE PARTICULARITÉ infiniment significative de l'impuissance....

Dans mon esprit, ceci  se serait imposé alors que j’étais  en mesure de finir mon temps comme tous les autres sans me méfier, sans même se plaindre. Ce que je vivais, que je ne me méfiais pas et que le personnel militaire puis médical  lui se méfiait , on voulait que je me méfie également et je m'y refusait, un peu plus chaque jour. Celui  qui commet des écarts au niveau du comportement, jouit d'un trop grande liberté de mouvements de toute part,  et donc pour bien saisir les informations qui me concernait, même les jugements rapides, il y a longtemps qu’on se trompait de cible,, il aurait fallu constater ces  écarts du droit avec le langage mais personne ne le fait, plutôt que d’en assurer la véracité sur les mots, on la fait sur la base des commentaires cliniques, en l’extirpant, des réalités et sur la simple diffusion de mes propos, finalement ironiques, ceux  qui ont pu paraître mal à propos, de la part de trouillards, mais surtout et le plus souvent comme dans toute contrainte tirés de son contexte, d'une redirection,  comme des propos sans relation avec ce qu'on appelle à tord ou à raison "une Normalité". D'un côté on reproche à "la normalité" de faire stagner les choses, de ne pas être souveraine en tout, de dissimuler aux yeux du plus grand nombre une forme d'incapacité à se faire valoir,, de s'immobiliser sur ces valeurs qui n'en serait pas, avec une ambiance pesante, il faut en rire , animer, communiquer, faire passer l'information et non la taire, l'enfouir, et on voudrait à travers ce brevet de normalité comme dit mon livre "Essais", me faire avancer à grand pas, non avec cette "normalité", mais « avec cette sécurité »des instants , là où tout retourne contre vous,  en fait je n’ai fais que régresser en un instant lors des premiers symptômes, je suis bien conscient qu’il y en avait, la preuve, si j'ai du tout interrompre en un instant, j'ai subit cette régression proclamé  sans raison, au sens typique d'un obstacle, d'une attitudes..et non pas au sens clinicien, et je pèse mes mots sans besoin, sans preuve qu'on peut à foison qualifier d' affabulatrices, celles qui demeurent vaine à prouver, mais qui subsistent.. On a plutôt tourné en rigolade mes propos et donc on s'est moqué de moi sur place, donc on nous interdisait de penser, de réagir, de ressentir, une fois n’est pas coutume, il aurait fallu se faire bien voir et c’est tout l’objet du ressenti, et du stress, alors peine perdue de renforcer des erreurs de jeunesse par un traitement médicamenteux sévère et d'en appeler aussi à la neurologie pour proner le défoulement..

L’exploitation de mes informations aurait pu également permis d’apprécier l’évolution globale du phénomène au sein des Armées, du temps actif, d’un simple appelé à celui d’un engagé.. Quelle psychiatrie est concerne, que veut-on ? Je parle bien d'une globalité délictueuse, je parle bien de traitement interdit, des risques, j’en ai vu qu’on suicidait, et sans souci du reste.,..ET DE CE QUI EN RÉSULTE, pas de preuve, et de toute éternité, qui  a faussé la donne, qui a faussé compagnie. Le juste, celui qu'on a blasphémé, tout cela est vain, un peu de psychologie, messieurs les censeurs,  où est la normalité, existe-t-elle encore, est-elle  absolument nécessaire !

? Telle est la question, souvent implicite, qui se trouve au cœur des débats DIT CONTRADICTOIRE, les  critiques lancés par les acteurs juridiques sont, désormais nombreuses, mais elles ne sont que DES PROPOS juridiques et procéduriers, sur-le-champ de la santé mentale, elle ne me concerne vraiment pas, ils semblent qu’au contraire elles concernent tout le monde... Cette conjoncture implique une redistribution des pouvoirs et des savoirs entre professionnels, malades et leurs familles, autorité bureaucratique, politiques, scientifiques et industries pharmaceutiques ; le tout contribuant à une configuration du mandat social psychiatrique mais surtout des Hautes Assemblées, du droit lui-même de secourir, d'accompagner, de secourir, mais pas de prévenir quand il n'y aura si peu à guérir. L'État dit tout le monde est prévenu, en substance, il se pose le problème de tout prévenir pour ne pas avoir à guérir puisque cela est moins onéreux dans certains cas.

C’est même devenu une critique légale qui a fait grand tapage sur les bancs des élus, c'est aussi sur ces questions de société à partir des outils juridiques dont on dispose que cela pose problème.’

 Vers mai 1975 il y a eu plainte. En effet, un psychiatre civil, consulté dès la fin de mon service a vu tout de suite clair. Mais il n’y a pas eu de suite et au besoin, on peut dire que l’État a bien manœuvré, disposant jusqu’à des arrêts pour stopper la procédure ET D’UNE AUTORITE BIEN MARQUEE QUOIQUE SENTENCIEUSE.ET TROP BIEN guindée

. L’ambition est double : d’une part, renouer avec le regard actuel de ces époques mais avant comme après, le problème  demeure renouvelable, il y a déjà assez de difficulté pour étudier et travailler, qu’il est vain et voire grave de  porter attention à autrui sous cette forme, par défaut  un tel regard sur son prochain, même à l’armée mène qu’à l’absentéïsme. Ceci étant si j'admets cet autoritarisme, c’est si peu productif d’intérêt qu’il ne serait pas judicieux de croire l’inverse. On a des difficultés avec ce pouvoir, à la longue concentré sur une autorité repliée sur elle même pendant qu’on retourne sur soi, comme on dit par un syndrome d’éviction qu’il faut au contraire éviter, je ne peux croire un instant qu’on puisse passer à la fois à la loupe et à la moulinette, sans doute autrui veut s'apercevoir de tout et principalement à ce qui lui a échappé, ou lui échappe,

D’autre part, sans rendre intelligibles et crédibles mes simples propos, à savoir quelle importance pour moi finalement d'avoir autant que faire se peut, pu prendre à la légère cette forme de prétention sanitaire, et finalement d’avatar, cet air « bizarre » pour y avoir vu que  les enjeux existe à travers non pas  simplement la pratique psychiatrique et médicamenteuse et contemporaine mais aussi et c'est le plus important, l'autorité familiale de mon époque, qu'on qualité de "judéo-chrétienne",  d’autorité mal marquée du père, d’une mère coléreuse, et alors, cela regardait-il l’Autorité de l’État alors qu'au fond, elle était suffisante pour faire rejaillir de mon passé, les expertises psychiatriques et les erreurs parentales telles qu’elles jaillissent de l’expertise familiale autocratique ? Ce,  auxquelles moi-même, je ne pouvais connaître sans le lire. A cette fin, je vous écris pour avoir ce sentiment induit, que en matière d’expertise, plein de choses sont à décliner. Alors, j'attends qu'on me les narre souvent puisque c’est de la théorie fumeuse, et là encore alors que je devrais en faire "un trouble obsessionnel", .elle sont l'occasion de m’apparaître facile, faute de me pourvoir en cassation, ce que je n'ai pu faire parce que l'on m'en a dissuadé  habilement, en famille et conjointement par manque d'investissement productif des Ténors du Barreau agréer aussi par la Cour de justice de l'État

Dans la « mosaïque de l’expertise judiciaire », la psychiatrie occupe une place particulièrement sensible, soumise à de multiples critiques, parfois contradictoires : omniprésence de l’expertise psychiatrique, mais manque démographique d’experts psychiatres ; pouvoir sur la décision des juges mais grande faillibilité par rapport à l’expertise en général : « l’expert ne bénéficie pas de l’aura de scientificité, d’objectivité et de technicité attachée, par exemple, à son vocabulaire.

Je ne pense pas qu’il s’agisse à proprement parlé d’un combat tricolore. Il s’agit bien plus d’une torture psychologique, ces abus ont pris racine, comme un enfant porte dans ses veines le sang de ses parents. Absurde, profitant de ma solitude, on m’invente, on dispense sans compter un discours afflictif. J’avais une ligne de vie à suivre et l’on tente de me l’enlever. On gâche, on sacrifie ma personnalité, ceci est désespérant.. Les issues sont bouchées, comme si j’étais dans l’incapacité à comprendre mon monde. Par des fausses certitudes. On remonte, à l’aide d’une manivelle, un vieux phono, et on répète-le tout sur un tout de plus en plus hasardeux, et finalement trop savant, dans une immobilité absolue, mais effectivement, je ne peux nier que d'autres sont bien plus à même à en savoir plus que moi.. Évidemment. Vous savez : les diagnostic ont plut durant la procédure médicale, plus encore durant la procédure judiciaires :"Séquelles d’épisodes psychotiques aiguës, labilité émotionnelle, angoisse, anxiété, fatigue, personnalité névrotique aiguë avec séquelles psychotiques (Déjà ancienne)Ancienne et donc à titre documentaire : personnellement le mot documentaire, c'est plutôt du vécu, du concret, mais ce n'est pas le souci du médecin ni de la Cour), Sentiment de persécution-(il y a en effet beaucoup de logique qui a pu m'échapper, et à un certain autoritarisme a pu être une forme de persécution ou ressenti comme tel- séquelles interprétatives (si j'ai interpréter, c'est logiquement qu'il me manque une réalité importante à mes yeux mais qui m'échappe, croyons qu'un délire soit autre chose?- -Personnalité complexe avec éléments d’immaturité ( si il y a complexité, il ya aussi un manque peut-être affectif, peut être associé,, personnalité pathologique (je pense qu'il y a forcément une ou plusieurs pathologie qui vont se faire jour en vieillissant, mais est-ce sur la seule Personnalité, je ne le pense pas), psychose chronique (c'est un manque , à un moment le cerveau ne peut le dire, mais ce mot pathologique c'est comme une psychose), troubles du comportement (moi je mettrai en avant plutôt des problèmes articulaires, des difficultés nouvelles pour courir, pour marcher, pour pratiquer certains mouvements). Ceci semble habile en fait mais cela tourne au charlatanisme de la façon où on m'a exposé tout cela, il y à un  EN FAMILLE comme un drame qu’on m’a inventé, voir exploiter en psychiatrie, car et c’est honteux, on n'a rien recherché, on ne m'a pas écouté et on ne m'écoutera jamais, car un psychiatre comme un médecin n'est pas tenu de tenir compte du discours d'un patient, bien au contraire...

L’idée d’un fil info, voir d’un flux médical serait un plus

J'étais à l'écoute, au niveau de ma maturité de l'époque. Plus j'ai avancé en âge, plus j'étais à l'épreuve des faits, de la concurrence dans les études, des différences familiales, sociales, médicales et psychiatrique. Je me suis orienté vers le monde associatif au grand regret de mon père qui aurait préféré que je gagne de l'argent. Lui même était maroquinier, il avait autour de lui plein d'amis qui produisait dans les vêtements, les articles de luxe, la confection. Il ne me comprenait pas. Pourquoi gagner si peu et s'occuper de jeunes, de travailler complètement à l'écart des habitudes séculaires. Car, je suis de descendance juive, et l'on sait que la majorité attache beaucoup d'importance à leur train de vie. J'ai eu la plupart de ma famille (grand-pères et autres) mort dans les camps. Papa a fait la guerre et bizarrement, je me suis aperçu que cela a été le seul moyen qu'il échappe aux rafles. Oui, se battre contre l'Allemagne et faire la guerre était donc la seule solution en relation avec les 6 millions de morts qui n'ont pas cette "chance".

Ce que j'ajoute va vous paraitre surprenant et sans doute surréaliste. J'ai "bénéficié" si l'on peut dire d'un congé de convalescence de plus de quatre mois au delà du temps normal d'un an, et notamment dans plusieurs services psychiatrique des Armées. On a constaté une gêne, que les neurologues estime faible mais réelle, un délire à bas bruit du cerveau provoquant un son grave et subaigu. On l'attribue au système sensitif, à une difficulté à évacué son trop plein sensitif. De façon systématique, mon défoulement est insuffisant, ce n'est pas que je ne me défoule pas (puisque j'avais beaucoup d'occasion de le faire notamment en sortant des sentiers battus ou encore en faisant assidument du sport), mais la substance même que j'essaye d'évacuer ne s'évacue pas bien. C'est dire que j'emmagasine pas ce qui s'évacue le mieux au niveau du cerveau. Après tout, on peut comparer cela, à quelqu'un qui a du cholestérol sans faire 'excès, c'est endogène, c'est en lui? Il en est de même avec un médicament qui potentialiserait le taux de sucre dans le sang mais qui en contrepartie soignerait l'émotion , l'anxiété, etc. Pour ce qu'on pourrait appeler un meilleur confort d'esprit.

Le mot école déclenche presque toujours des émotions fortes.

 Certains en gardent des souvenirs merveilleux,

d’autres ne veulent même plus en entendre parler !
 Au fond de vous, que reste-t-il de cette ambiance studieuse mêlée d’éclats de rire,

de disputes, mais parfois aussi de stress avant la remise des copies ?
    
 Le mot école déclenche chez moi de la nostalgie, bien que j'ai surtout réussi grâce à un cycle court puis quand même mon baccalauréat.
Avant j'ai pas le souvenir d'avoir bien étudié, mais j'ai le sentiment de m'être bien conduit faute d'être premier de la classe. J'ai idée de m'être réservé pour la fin (j'étais premier de ma classe en Terminale), parce que j'avais compris comment on étudie, du moins comment moi, je pouvais vraiment apprendre, retenir et réaliser mes diplômes vraiment. Il y a un savoir qui se transmet et un autre qu'on garde. Mais jamais de stress..Plutôt des disputes en famille sans relation. Je me méfie des fausses ambiances studieuse, ou on comprend rien et où on reste de marbre. Il y a eu une école de la vie, surtout et c'est ce qui prime à l'école ou ailleurs. Ce qui me semble être de loin le plus important c'est "sa bonne volonté " même si on échoue.

Mais c'est bien au niveau sensitif qu'on peut avancer? quitte évidemment à devoir se fatiguer en excès. Car il ne faut pas se tromper, l'effort intellectuel est très mal perçu par notre monde de santé, car quand on veut réussir à un moment clé, on ne fait qu'étudier et presque plus autre chose. Or moi en primaire et dans les premières classes du secondaire, c'était plutôt la solution de conserver une vie sans effort.sans excès ou sinon pour ce qui me branchait ce qui n'était pas du gout des professeurs et des ma

Je râle : mes notes personnelles sont écrites à la main, de mon foyer à ma caserne, je  pointe l'échec de la surveillance, l’échec du bonheur. J’ai eu accès aux notes dé classifiées du dossier me concernant et aux PV d'audition de nombreux gens, qui ont servit la France J’avais connaissance du profil "inquiétant" du peuple élu pour le bonheur.

Ce ne sont que quelques mots, quelques suggestions, et commentaires médicaux. Je fus hospitalisé durant les derniers mois de mon service, ce vocabulaire méticuleux, précis, c’était déjà plus exact. Évidemment, on a tous l’idée que l’on peut juger ambigus et frileux, des termes tels que : séquelles d’épisode psychotiques aiguës. Personnalité névrotique avec élément d’immaturité – Labilité émotionnelle, fatigue, anxiété. . Il reste que pour la première fois, quarante ans durant, il faudrait arrêter  le massacre de centaines d’Appelés, qui devant la psychiatrie ont plutôt pressé le pas.  La République par la voix du chef de l’État «reconnaît ces faits, mais elle s’empresse d’ajouter qu’ils sont inconstitutionnels..

Ainsi prend fin la censure officielle, le silence d’État qui a, des années durant, occulté ces comportements, ces appelés des années 1970 qui défilaient pour l’indépendance de leur pays. Des années durant, pouvoirs de droite comme de gauche, police et justice ont interdit et étouffé la vérité des plus durs.. Aujourd’hui encore, le bilan de combien d’effroyables répressions ne sont pas établies mais on a abolit le service qui était pourtant encore l’émanation de ce pays

Il a fallu le travail d’historiens, d’écrivains et de journalistes courageux comme il y en a peu pour démasquer ce mensonge d’État. Aujourd’hui, certains à droite, les descendants de ceux qui furent les exécuteurs des massacres de naguère, condamnent le geste de justice et d’apaisement qui siège en France. Tout comme ont condamnerai certaines frilosités et ambiguïtés sur les déclarations, de certains articles de loi sur la rafle du Vél d’Hiv., Etc..  Pourtant dans la droite ligne des mots courageux de Jacques Chirac, le concept anticonstitutionnel demeure. Comme si l’histoire collective et tourmentée d’un vieux pays pouvait se construire sur des mensonges et des dissimulations ! Cette nuit passée, à dormir sous somnifère me revient, elle appartient à une histoire commune et contradictoire de ceux que je j’ai côtoyé, en caserne, à saint florentin dans l’Yonne, à leurs enfants aussi. La France leur devait justice et vérité. Je tente, mais on ne peut demander de trop à la Justice et à la vérité. Une justice immobile, une vérité immobilisée.

L'image de mon pays est aussi la montagne, les deux mois précédents mon armée, je m’engageais dans un travail d’animateur de camps d’adolescents, pendant deux mois à la montagne, puis ce fut octobre 1973, date de mon départ à l’armée, notamment à MONTLUCON, dans une caserne du matériel militaire français. 

Bon passons, je me suis accouplé en juillet 1980

Le principe masculin est au-dessus, et suit en cela sa direction naturelle; le principe féminin est au-dessous, conformément à la direction de son mouvement. Un état de repos s'est donc établi, car le mouvement est parvenu à sa fin normale. Appliqué à l'homme, la France traite du problème de la paix du cœur à acquérir. Le cœur est très difficile à calmer. Tandis que d’autres, plus ZEN s'efforcent d'atteindre le repos par la cessation de tout mouvement dans l'état d’une drôle d’euphorie, le point de vue de mon Livre, intitulé ESSAIS de MANDELKORN  est  convainquant, il tend à montrer de façon significative que le repos constitue seulement un état hyper important, qui a toujours pour complément le mouvement. Il est possible que mon texte contienne des allusions à des pratiques plus importantes que Naguère, en terre française. Disons l’extase d’un repos.

Il entre dans sa cour et ne voit plus les siens, c’était mon adjudant, MASSON.
Pas de blâme mais du repos forcé : Je fus dirigé sur une période sanitaire, transitant par plusieurs établissements médicaux. Je devrais dire des périodes morcelées, moi,  j’aimerais qu’elle ne fasse qu’un à travers l’unité de ses acteurs.

Le vrai repos est celui où l'homme s'arrête quand le moment est venu de s'arrêter et se meut quand le moment est venu de se mouvoir. Là, il s’agissait de se mouvoir, malgré tout l’embarras qu’une période sanitaire procure. Ainsi le repos subvient et le mouvement va nourrir l’affliction, il faudra nourrir le temps supplémentaire, rester quant même en harmonie avec les exigences du temps et l'on tente la lumière et la vie, regarder la nuit descendre. C’est la fin et le commencement de tout mouvement. Adossé à la Mer, siège de tous les cordons nerveux qui transmettent le mouvement, j’avais avant la période de convalescence, eu l’occasion de passer ma période de détente à la mer avec mes parents, parents qui furent très surpris de me voir en détente prolongée si je puis m’exprimer ainsi après. Lorsqu'on fait cesser le mouvement de ces nerfs, en pensée, on voit en France en quelque sorte « le moi » s'évanouir avec son inquiétude. Quand l'homme est parvenu à une telle paix intérieure il peut se tourner vers le monde extérieur ! Il ne perçoit plus en lui, le combat et le tumulte des êtres individuels et possessifs. En conséquence le calme nécessaire pour comprendre les grandes lois des phénomènes de l'univers et s’y conformer, c’est sa conduite. Celui qui agit à partir d'une telle profondeur ne commet pas de fautes.

Le cœur pense constamment. On ne peut pas changer cela. Mais les mouvements du cœur, c'est-à-dire les pensées, doivent se limiter à la situation vitale présente. Toutes les songeries et les spéculations qui vont plus loin ne font que blesser le cœur.

Garder les orteils immobiles, donc au garde à vous, c'est demeurer debout sans bouger avant d'avoir commencé à se mouvoir. Le commencement est le moment où l'on commet le moins de fautes. On est encore en harmonie avec l'innocence originelle. On voit intuitivement les choses telles qu'elles sont, sans encore être influencé par l'obscurcissement qu'y introduisent l'intérêt et le désir. Celui qui se tient immobile au commencement et n'a pas encore abandonné la vérité trouve la juste direction. Il faut seulement une fermeté constante pour ne pas se laisser ballotter sans volonté.

La jambe ne peut se mouvoir de façon autonome, mais son mouvement est dépendant de celui du corps. Quand le corps est engagé dans un mouvement rapide et que la jambe est brusquement arrêtée, le mouvement du corps se poursuit, si bien que l'homme tombe. Il en va de même d'un homme qui fait partie de la suite d'une forte personnalité. Il est entraîné avec elle. Même s'il s'arrête sur le chemin du mal, il ne peut plus retenir l'autre dans son mouvement puissant. Là où le maître se précipite en avant, le serviteur ne peut le délivrer, si bonnes que soient ses intentions.

Il s'agit d'un repos obtenu par la contrainte. Mon internement a été jugé abusif, à Nanterre, à Versailles car il fut jugé..

 Le cœur inquiet doit être fortement dompté, mais le feu que l'on étouffe se transforme en âcre fumée qui s'étend, suffocante.   C'est pourquoi on ne doit pas user de violence dans les exercices de méditation et de concentration. La paix doit naître et s'étendre d'une façon toute naturelle à partir d'un état de recueillement intérieur. Si l'on veut réaliser de force : la paix au moyen d'un raidissement artificiel, la méditation entraînera des effets fâcheux et graves.

Autrement dit, il ne faut pas trop méditer sur son sort.

Comme il a été dit plus haut dans le jugement qui me concerne, tenir le dos calme signifie oublier son moi. C'est le degré suprême de la quiétude. Ici ce stade n'est pas encore atteint. Sans doute on est déjà capable. d'immobiliser le moi avec ses pensées et ses émotions, mais on n'en est pas encore entièrement libéré. Il n'en est pas moins vrai que l'apaisement du cœur est une fonction importante conduisant avec le temps à l'élimination complète des impulsions égoïstes. Même si l'on ne demeure pas encore entièrement libre de tous les périls du doute et de l'inquiétude, cette disposition intérieure qui prépare la place à une autre, plus élevée, n'est pas une faute.

Dans une situation dangereuse, c'est-à-dire tant que l'on n'est pas à la hauteur de sa tâche, on se laisse facilement aller à des paroles et à des plaisanteries pleines de présomption. Il n’y a qu’à côtoyer « les malades de l’alcool », Ils donnent l’impression d’être heureux, de s’en bien porter. Mais les propos imprudents conduisent vite à des situations où l'on a ensuite beaucoup à se repentir, surtout quand on est sobre. Ce n'est que lorsqu'on manifeste de la retenue dans ses paroles que les mots acquièrent une forme toujours plus ferme; alors toute occasion de repentir disparaît.

Cela arrive en gros dans toutes choses de la Vie, mais c’est sur, c’est jamais la même personne, pour sûr, on change très vite de discussions !.

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Ici est exprimé l'achèvement de l'effort vers le calme. Non seulement on s’efforce d’être en paix avec soi-même,  en ce qui concerne les détails de soi à l’autre, nul n’en échappe, les choses comprises dans un cercle restreint, un café par exemple, mais un renoncement général procure la paix dans tous les domaines et une heureuse fortune dans tous les actes, c’est donc un boycott. On ne peut rester un cow-boy, trop longtemps. Garçon,.un scotch

J'ai récemment compris que si je ne parvenais jamais à être heureux dans la vie, c'est parce que j'étais au fond de moi convaincu que je n'avais pas le droit au bonheur, que je ne le méritais pas. Pensez-vous qu'on peut changer cette pensée racine et la transformer en « Oui, j'ai le droit au bonheur »

Peut-on s’interdire d’être heureux ? Beaucoup de personnes s’imposent, plus ou moins inconsciemment, des auto-limitations dans l’accès au bonheur. Elles ont, le sentiment de ne pas le “mériter”.
Est-ce du masochisme ? Le plus souvent, non. Le véritable appétit de souffrance est en réalité très rare.

Généralement, ces bonheurs empêchés relèvent d’une accumulation d’erreurs psychologiques simples et anciennes, devenues des réflexes : mauvaises habitudes (face à l’adversité, grande ou petite, on se laisse aller à la mélancolie, ce « bonheur d’être triste » comme l’appelait Victor Hugo), certitudes erronées (« ça ne marchera pas », à quoi bon »…), tendances anxieuses (« j’ai peur du bonheur, car ça me rend trop malheureux quand il s’arrête »), perfectionnisme (« un grand bonheur, sinon rien… »), etc.

Il est heureusement possible de changer cela, en travaillant dans deux directions complémentaires. D’abord, comprendre d’où vient le problème (parents ayant eux-mêmes eu du mal à être heureux, manque d’affection dans l’enfance, éducation trop rigide et contraignante, événements de vie douloureux…).

Ensuite, comprendre que le bonheur se construit, et agir au quotidien : apprendre à réguler ses émotions négatives (spleen, irritabilité, inquiétude), cultiver sa réceptivité aux petits bonheurs, etc. Ce que j’appelle le « jardinage du bonheur ».

C’est ainsi, à mon avis, que vous pourrez vous convaincre vous-même de votre droit au bonheur, qui est celui de tout être humain

"Pourquoi ai-je l'impression d'être l'homme le plus heureux du monde quand je viens d’aller à la selle ?"
Peut-être que c'est pas juste une impression, peut-être que c'est vraiment moi l'homme le plus heureux du monde à ce moment là. Enfin si on ne frappe pas brusquement, à ma porte, une visite inopinée ou impromptue,  mon pilier de bistrot, qui viens lui aussi  couler un bonze avant de me parler qu’il peut repeindre tout mon appartement. Il m’a déjà dit qu’il était au chômage, qu’il bossait au noir je le sais comme ses sautes d’humeur, ces propos désarmants, voir insultants, mais qui puis je, après tout, il est plutôt prêt à me rendre service malgré son humeur massacrante et c’est souvent ceux là qui vous aiment le plus. .

«Si on ne voulait qu’être heureux, cela serait bientôt fait. Mais on veut être plus heureux que les autres, et cela est presque toujours difficile parce que nous croyons les autres plus heureux qu’ils ne sont.».

De tout temps, nous avons toujours cherché à maîtriser l’image que nous donnons de nous aux autresLa seule différence d’aujourd’hui par rapport à hier est qu’en plus du jour sous lequel nous nous montrons lorsque nous rencontrons « les autres », nous avons aussi  à gérer notre « identité numérique »  . 

Mais en fait, c’est bien là toute la différence… Je n’aurais de cesse de le répéter, notre identité virtuelle n’est qu’une facette de notre personnalité… Oh combien il nous est facile de présenter en vitrine une version spirituelle, joyeuse et bien organisée de notre vie 

Et plus que jamais, comme une pièce de théâtre où l’on se fabrique un personnage».

Nous sommes à l’heure d’internet.

On m’indiquait à la fin de mon service : Anxiété », je réponds, à mon médecin militaire, vous avez l’angoisse de l’impression, la théorie du livre sur la perplexité dans vos veines,  étant donné que malgré vos promesses de connectivité sociale, la technologie des mots usuels nous isole davantage en faisant écran à une réelle intimité de mots plus savants.

 

J’avais réussi mon baccalauréat de technologie, puis ce fut le temps de mon service militaire qui m’incomba. Malgré tout, j’aurais tendance à dire que la  technologie n’est pas la seule voie,  de cet isolement…j’en garde tant de choses Car si on peut se sentir seul devant son écran en se forgeant une image parfaite, il est encore plus insidieux de vouloir se montrer parfait dans la vie de tous les jours…, surtout lorsqu’il y a beaucoup de monde..

Avoir un rythme de vie effréné, donner l’impression aux autres d’avoir une vie passionnante… faire semblant que tout est parfait et qu’on est heureux ainsi… être tout le temps occupé pour tout simplement ne pas se retrouver seul avec soi même…pour ne plus être préoccupé dirais-je et surtout pour ne pas réfléchir…sans raison, ça rend jaloux, les plus grands..

Parce qu’il est tellement plus facile de ne pas se poser de questions et de ne pas faire se poser de questions aux autres… ou peut être justement parce qu’on a pas trop envie que les autres se posent trop de questions sur vous…avoir sa posture.  A l’heure conviviale, pré-duré de mon service, deux mois où je partageais [presque] tout avec tout le monde,deux mois à encadrer des jeunes, comme animateur,  peut-on encore faire le choix de se préserver et de garder son jardin secret ?. La classe, non ! 

Ne sommes nous désespérément plus que dans la démonstration du « J’ai une vie trop cool, je m’éclate trop, j’ai l’air bien plus heureux que toi » au final? J’ose espérer que non car personnellement, si j’ai une confession à faire, autant je peux donner l’impression d’être plus épanoui que jamais dans ma vie actuelle lorsque je sors avec mes amis……autant le décalage est d’autant plus dur lorsque je me retrouve seul avec moi-même. On peut se persuader un temps qu’on a envie d’avoir une vie de décadence en perpétuel mouvement... mais on se rend vite compte qu’on aspire finalement qu’à une seule chose : Un bonheur paisible.

Enfin ça c’était avant. Et maintenant !

Aujourd’hui je suis en flottement entre deux eaux, je suis à la fois le même et à la fois différent. Je me cherche plus et surtout je cherche le bonheur. Certains sont conscients de mon malaise, certains font semblant me croire quand je dis que tout va bien… je ne peux en vouloir à personne car l’image que je donne de moi-même, donc de ma personne est trouble…floue, mais maintenant,  ça, je le sais. Comme si le projecteur de film avait souvent des ratés et qu’il fallait continuer à regarder un film avec ce vieux projecteur, des films souvent interrompu par la panne d’un projecteur vétuste mais qui rend toujoursbien des services..

Parfois heureux et euphorique, parfois déprimé et malheureux… peut importe ce qu’en pensent les autres au final, l’important est qu’un jour j’arrive à trouver ma route…Là il y eut une bibliothèque-discothèque avec des adolescents à des temps péri-scolaires, là il y eu cinéma, là il y eut piscine, tennis, et plein de choses à leur offrir.

Pour Aristote, c’est le principe et la raison d’être de la vie comme un bébé avec « sa totote ». ? euh , sa sucette, Il n’y a pas besoin d’avoir fait propédeutique, pour savoir cela. Depuis une dizaine d’années le bébé fait l’objet d’une réflexion scientifique de la part des chercheurs en psychologie positive, le bébé, il s’en fout, il suce sa totote, c’est son côté positif. Son regard est posé, neuf. . A Harvard, le cours qui est consacré à Aristote est celui qui a le plus de succès auprès des étudiants. Moi, j’ai du succès avec les bébés. Enfin, des enquêtes sans cesse plus nombreuses montrent qu’Aristote est la source de la réussite dans les différents domaines de la vie plutôt que sa conséquence (par exemple il entraîne plus de performance et de bien être au travail). Oui, nous en avons intuitivement l’idée par ce que nous en avons tous fait l’expérience : C’est le … bonheur. Pour autant nous avons souvent l’impression qu’il est difficile à atteindre. Cela vise à montrer, sur le fondement, que le chef de file de la psychologie positive, devrait s’imposer que, même si nous n’en avons pas conscience, l’état de bonheur est à notre portée car il consiste à maîtriser nos aptitudes sur lesquelles l’on peut travailler.

Est-ce que vous ressentez plus souvent de la joie, de la reconnaissance et du plaisir que de la tristesse, de la colère et de la frustration ? Cette capacité dépend peu sur le long terme des événements extérieurs de la vie. Elle est le fait d’une aptitude interne. Par exemple les gagnant(e)s au loto ou les victimes d’accidents les ayant rendues paraplégiques, au-delà de la période nécessaire pour accepter l’événement et s’accoutumer à leur nouvelle vie, retrouvent ensuite le même niveau de bonheur qu’ils avaient avant l’événement. De même, plusieurs mois après un divorce ou un licenciement, certains de vos amis sont toujours dans une humeur noire tandis que d’autres ont réussi à faire le deuil et sont prêts pour vivre de nouvelles expériences. Si l’on compare leur état après l’événement à celui dans lequel ils étaient avant l’événement, on se rend bien souvent compte qu’en fait, rien n’a fondamentalement changé de la façon dont ils vivaient la vie au quotidien.

Lorsque les objectifs que l’on poursuit ont trait à l’argent, la beauté ou le succès matériel, on ne donne pas à son existence un sens qui peut la nourrir. C’est en fait même plutôt la meilleure manière de se programmer pour le malheur. D’abord parce qu’on définit alors son bonheur en fonction de la réalisation de résultats qui sont incertains et de toute façon si temporaire. Ensuite parce que même si on les atteint, la question se pose de ce que l’on fait après. Le risque est en effet de transformer sa vie en une surenchère avide de réussites et donc jamais satisfaite. Le sens semble plutôt jaillir de la poursuite d’objectifs en lien avec l’évolution personnelle, les relations aux autres et la joie de participer comme une fin en soi. Il a aussi plus de chances de naître d’activités que l’on a choisi pour lui et qui sont en phase avec ses valeurs et avec ce que l’on ressent de façon intrinsèque comme étant sa nature profonde. En ce domaine la pression sociale s’oublie, croyez en mon expérience d’animateur

Seulement la moitié de notre niveau de bonheur est du ressort d’un héritage génétique. L’autre moitié est affaire de construction personnelle. Le fait de s’engager dans des activités pleines de sens et à même de procurer à long terme des émotions positives demande une détermination qui n’est pas de tout repos. Cela nécessite une énergie importante. Pensez au petit héros du film d’animation Ratatouille. Il doit dépasser de nombreux obstacles avant de réaliser concrètement sa vocation de chef en cuisine. Mais l’investissement personnel se joue surtout dans les petites décisions de la vie de tous les jours. Dépasser sa colère face à une frustration tout en ne baissant pas les bras et réagir de façon constructive demande un effort, tout au moins tant que ce type de réaction n’est pas devenu automatique. De même prendre l’habitude de complimenter ses collaborateurs pour leurs réalisations réussies est un enjeu quotidien qui nécessite une attention soutenue aux autres.
 D’abord on peut apprendre à donner plus de place dans sa vie aux émotions positives. Par exemple, les personnes qui écrivent un journal de gratitude où elles écrivent régulièrement ce qui leur est arrivé

Ensuite on peut donner plus de sens à sa vie. Par exemple, on peut s’aider d’un outil très simple. Il suffit de produire un tableau dans lequel on note dans une première colonne les activités qui sont les plus cohérentes avec sa nature et aptes à procurer des émotions positives et dans une deuxième colonne le temps qu’on y aurait passé pendant le dernier mois.

Enfin, on peut faciliter son investissement concret dans des activités positives et chargées de sens en créant par exemple des rituels. De nombreuses études montrent que souvent, trois occurrences réussies d’un certain type de comportement peuvent suffire à créer une habitude positive et à transformer nos attitudes pour rendre cette habitude résistante au changement. Le bonheur a souvent été vu comme un idéal philosophique. Ce que je vous propose, c’est d’expérimenter une nouvelle vision du bonheur qui permette de passer de l’idéal à sa réalisation concrète. Si vous avez ressenti autant d’émotions positives à lire cette tribune que j’en ai eu à l’écrire, c’est sans doute le signe que vous êtes déjà bien engagé sur la voie du bonheur

 

  • merci pour votre commentaire sur ''ultil=mes précautions'' j' ai lu mais il me semble que celui-ci ressemble à une ordonnance pour trouver ou chercher le bonheur, je vous souhaite de la capter, pour ma part mon inculture me permet d'être bien dans ma peau à vous lire

    · Il y a environ 12 ans ·
    Mariage marie   laudin  585  orig

    franek

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