Un maître d’Art…

Un maître d'Art…

Imaginez ce personnage :

Tanner, décorer, écrire…

Des mots, des lignes, des pages…

Cela commence dans le bas du dos,

Point de gravité,

Des femmes qui finissent à genoux,

L'homme qui reste debout…

Un maître d'Art,

Sorti d'un placard,

Derrière les fagots,

Mais avec sanglots !

Dans l'écart, à l'équerre…

Un peu à part,

Qui se fait rare,

Un maître d'Art,

Le cerveau pressé…

Puis passé à l'entonnoir,

Pas l'ombre d'un chinois…

Passage au fouet,

Résultat :

Terminal recalé….

Il persiste, résiste et signe.

Il respecte les consignes…

Il est capable,

De se passer de certains câbles,

Sans que cela l'accable…

Comme un parfum de Liberté,

Un générateur électrique,

Délirant mais statique,

Qui lui tient l'eau courante…

Un cheminement atypique,

Des rencontres sulfureuses,

Heureuses, mais pas…

Forcément glorieuses !

Un maître d'Art !

Une présence rare,

Qu'elle en est précieuse…

Un beau coup de maître,

Il peut se permettre…

Quelques relations humaines,

Pour chasser ses peines…

Ce personnage sait tourner,

Détourner et contourner…

En toute vérité,

Et transparence…

Avec son grain d'insolence…

Il découvre lui-même,

C'est ce qu'il aime…

En exploration perpétuelle,

Il porte réflexions…

Il est prêt à passer à l'action…

Pour le bien des autres,

Tant il a de richesses à partager…

Un personnage,

Un maître d'Art,

Toujours à l'encre noire…

Pour un mille-feuilles de pages,

Et une marbrure enfin bien sage…