À place impossible
lamandine
nul n'est tenu
À ce coeur éclaté
En offrande donné;
Transformant ce petit corps
En lambeaux décharnés.
Monstre au sang blafard,
Tant aimé et tant haïe;
Que de tes mains meurtries,
Je sens encore l'étreinte.
Mais qui étais-je alors?
Statue de bois,
Statue de sel,
Que ton nom sur moi cède à l'appel
De la lenteur du temps qui passe.
Des choses violentes et de la douceur aussi.
· Il y a plus de 5 ans ·Al Prubray
C'est un bon résumé :) Merci pour le coup de cœur!
· Il y a plus de 5 ans ·lamandine
Poésie tout en finesse et touchante.
· Il y a plus de 5 ans ·menestrel75
Merci.
· Il y a plus de 5 ans ·lamandine
Au premier abord j'ai trouvé un peu de tristesse dans ce texte, mais après plusieurs lectures, je changerai d'avis. Drôles d'impression sur ce très beau texte. Bravo
· Il y a plus de 5 ans ·fanche
Merci pour ce retour Fanche et pour le coup de coeur!
· Il y a plus de 5 ans ·lamandine