Ami-Ami

hermanoide

T’es beau,

J’aime ta main sur ta joue

Quand tu réfléchis,

Et ton sourire amusé

Quand je dis quelque bêtise,

La mèche sur ton front,

Et tes tâches de rousseur.

J’aime la petite calvitie

Que tu essaies de cacher,

Et aussi ton ventre

Qui dépasse un peu,

Ta force sereine,

Ta virilité tranquille.

J’aime quand tu es brillant

En société ou quand

Tu rêvasses dans le lit.

Quand tu me regardes,

Quand tu me tiens,

Collé à toi.

Muscle contre muscle,

Barbe contre barbe.

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