Août

cirrusminor

la peau encore un peu froide de la nuit bleue 
le sourire gribouillé dans le petit matin qui s'étire
tu n'es jamais aussi belle que quand le ciel t'embrasse 
que quand l'aube t'embrase

jolie fille d'août la chaude saison cuivre ton corps 
comme le soleil de 19h00 dore la Seine
je m'abreuve aux framboises de tes lèvres
et nous nous promettons que l'été durera
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