Coup de fils de Paulette!!!

jezzabel

Allo ? c’est Paulette, ça va ? non parce que moi pas trop. La déprime du changement de saison.

L’été ! Un sourire naissant d’être effleurée par une chaleur bienveillante d’un soleil tant espéré, le teint hâlé qu’il laisse en partant ; Les vagues qui s’écrasent de façon romantique sur nos pieds et ceux de notre amoureux qui nous enlace au clair de lune ; Les longues soirées barbecue avec les copains… l’été quoi !

Pour peu que l’on soit célibataire, sans ami, avec un problème de sudation ou encore muter dans le Nord alors que l’on est sudiste, l’été se résume à un Enfer, long de trois mois. Avec un ciel coloré d’un triste camaïeu de gris… un peu plus clair qu’en hiver, une température maximale de 15° et des envies ardentes, tout pour nous rappeler que l’on aimerait bien être accompagné par un amour de vacances ou un amour tout court. Pour les « chanceuses » en couple, c’est le moment propice de regretter de ne plus être sur le marché avec tous ces charmants éphèbes en pull, croisés au gré du destin.

L’été se résume à une vitrine contenant tout ce que nous essayons de paraître : des femmes sveltes engoncées dans un maillot d’une taille fantasmée alors qu’au mieux, on a passé quatre mois à jeûner ; des hommes prêts à se jeter sur leurs proies femelles tant que les températures ne les obligent pas à tomber le pull angora de mamie…ce n’était pas un pull…oh diantre !

Mais on ne serait pas un peu pénible et râleuse ? 

Je m’excuse de préférer la médisance au bronzage !

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