ET MA BOVARY?
Philippe Larue
Étais-ce le vent? Étais-ce les feuilles? Non, l'été et son soleil qui stimulait l'excitation de Mme Bovary. Mais nous ne sommes pas en 1880, alors comment sa personnalité pouvait-elle se retrouver chez Emma? Comme une histoire de sœurs jumelles, où des hommes approximatifs s'y croisent, entremélants des sentiments dans des dettes et des mensonges. Une mère qui se suicide et une petite fille, Berthe, orpheline d'une autre vie rêvée par la disparue. L'arsenic est entrée en scène, et pour son mari, médecin qui plus est, c'est un paradoxe incompréhensible. Lui qui soignaient des vies, se retrouva privé, non, cambriolé de la sienne.
Emma a brûlée des hommes où est-ce eux qui ont abusés de ces espoirs d'une nouvelle vie? Un bal deshanchanté , des rencontres secrètes, sont-elles la clé du mystère sur la réelle cause de son suicide?
Ry sur Guimand reste le théâtre où l'espoir que les langues se délient, racontant les lourds liens de ses habitants. L'arrogance des sentiments dévoilera t'elle un jour, d'autres facettes de la nature humaine? Flaubert, l'écrivain de sa Mme Bovary, aurait apprécié, certainement.
Merci
· Il y a environ 11 ans ·Philippe Larue
C'est confondant et intéressant. Merci Philou
· Il y a environ 11 ans ·Helene Bartholin