Je m'appelle "Jo the Killer"
Yvette Dujardin
Nom : Guy Rampillon, devenu Guy Georges à 4 ans.
Surnom : "La bête de la Bastille", "Le tueur de l’Est Parisien".
Né le : 15 octobre 1962, à Vitry-le-François (Marne) - France
Mort le : encore vivant (condamné à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d’une période de sûreté de 22 ans)
Je fus placé à la DASS à un an, et y resta jusqu'à mes six ans, quand je fus adopté. A dix ans j’ai volé mon premier couteau car ma passion fut la chasse. Je me prenais pour Jo, l’indien des aventures de tom Sawyer. J’étais intelligent, mais ma mère adoptive, autoritaire et castratrice, me méprisait. Je devins de plus en plus violent, et à 14 ans je tentais d’étrangler une de mes sœurs adoptives pour voir, mais elle réussit à s’enfuir. A partir de là, on se méfia de moi, et je me sentis de plus en plus isolé. A 16 ans, elle se débarrassa de moi, et je revins à la DASS.
Puis à mes 18 ans je sortis, fus placé dans foyer plus "spécialisé".
Un jour, je suivis une femme qui rentrait chez elle dans un immeuble du 14éme arrondissement, j’entrais avec elle dans l’ascenseur et je la poignardais à la poitrine, puis au cou. Ensuite je l’entrainais dans un recoin du sous sol, je la frappai encore au ventre, et malgré ses supplications, je la violais. Après un dernier coup de couteau au coup, la croyant morte, je m’enfuis avec son sac. J’ai su qu’elle à survécu, et m’a décrit à la police mais à Paris c’est facile de se cacher. L’année d’après, dans le 16éme, j’agressais une autre femme , sous un porche, avec mon couteau, la violais puis je lui tranchais la gorge.
Une nuit, de Janvier , j’aperçue une jolie blonde, qui passait pendant que j’étais a la terrasse d’un café. Je la suivit jusque chez elle, rue Delambre, dans le 14éme, j’entrais derrière elle, et arrivé au 6éme étage, avant qu’elle entre chez elle, je la poussais et sous la menace de mon couteau, un Opinel n°12, je l’attachais avec du chatterton, puis découpant ses vêtements, tranchant son soutien-gorge au milieu, et son slip sur les cotés, je la violais.
Puis la frappa de trois coup de couteau dans la région du coup, dont un, mortel, enfin j’avais tué, pour la première fois. La satisfaction que j’en tirais, me rendit si sur de moi, que je décidais de constituer la « matrice » de mes futurs assassinats ; repérer une jeune et jolie fille, seule, la suivre l’attaquer avec un couteau, avant de la violer puis de la tuer. C’est ainsi qu’après six meurtres, les médias m’appelèrent, "le tueur de l’est parisien".
La police n’avait aucune piste, et un jour j’assassinais, une autre jolie fille, dans un parking sous terrain, au 70 boulevard de Reuilly dans le 12éme. Toujours la même méthode, violée, battue, et assassinée au couteau, mon Opinel, mon ami. Quand on aime, on ne change pas.
Je travaillais comme balayeur pour la ville de Paris et personne n’imaginait que "Joe" et le "tueur de l’Est parisien" ne faisait qu’un.
De 1978 à 1998 en toute impunité j’ai pu assouvir mes pulsions, sans que la police ne me soupçonne
Les autorités françaises étaient censées posséder une base de données informatisée des délinquants sexuels condamnés dès l’an 2000. La police détenait l’empreinte génétique de Guy Georges, alias "Tueur de l’Est Parisien", et aurait pu l’arrêter dès son 5ème meurtre. Mais cette empreinte n’était pas enregistrée dans la base de données d’un ordinateur. Elle était enfouie dans un dossier, entre des milliers d’autres dossiers, au milieu de centaines de caisses, dans des dizaines d’armoires... Guy Georges a pu continuer à violer et assassiner des jeunes femmes, sept en tout. Et il en a agressées plus de 10 autres, traumatisées à jamais.
Bravo, Yvette !!!
· Il y a environ 13 ans ·Pascal Germanaud
cela m'est arrivé, tu vas sur ton texte, puis éditer le document, tu reviens à l'origine du texte, tu décoches: Ajouter un texte et tu cliques sur enregistrer. Tu fais de même si tu veux corriger tes fautes, surtout ne pas cliquer sur supprimer. Tu corriges que sur le texte, tu gardes ainsi tes commentaires, mais ton texte est corrigé. Je t'embrasse.
· Il y a environ 13 ans ·Yvette Dujardin
Avant de lire cet article,je venais de lire un autre sur la maltraitance des enfants.Nous pouvons comprendre cet homme...
· Il y a environ 13 ans ·Tahar Yettou
c'est ce que je voulais, tu as tout compris Salvatore, comme d'habitude, mais jack est anglais, et je voulais un serial killer Parisien. Merci beaucoup.
· Il y a environ 13 ans ·Yvette Dujardin
4 coeurs pour ta nouvelle qui pour moi a un petit côté Jack l'éventreur à la parisienne, bravo Yvette.
· Il y a environ 13 ans ·Salvatore Pepe