La tigresse blanche (alias Cosette Trash)

Eric Varon

La tigresse blanche ( « Service action » de la cour pénale internationale)

Description de l'héroïne du roman (3000 signes maximum).

Serenella de Kermarec

Date de naissance 26 février 1983. Signe astrologique poisson

Brune aux yeux bleus, 1 m 73.

Lieu de naissance : une prison militaire secrète en Argentine

Ses parents étudiants français ( militant chrétiens Bretons acquis à la théologie de la libération) avaient été torturés et assassinés pendant la « sale guerre ».

Elle avait grandit dans la famille d’un officier supérieur Argentin qui l’avaient adoptée sans lui révéler ses origines

A dix-huit ans elle découvre un dossier secret, caché dans la demeure familiale qui lui révèle la tragédie qui organise toute sont existence.

Elle décide de partir pour la France retrouver ses grands parents.

Etudes : militaires Saint-Cyr. Elle y entre par goût des mathématiques du sport et de l’action, mais en réalité, elle veut tout savoir des militaires, de leur mentalité, de leurs secrets. Elle étudie en particulier l’histoire du  « Centro de Instrução de Guerra Na Selva (CIGS, Centre d'instruction de la guerre dans la jungle) » centre de formation d'officiers de l'armée de terre brésilienne situé à Manaus, qui fut le lieu d'instruction des tortionnaires de l'Amérique du Sud.

Son surnom la môme au Herstal donné par son instructeur de tir à cause de sa prédilection pour le P.90 fabriqué à Herstal en Belgique dont elle a acheté un exemplaire personnel comme arme de service, que ses camarades au stand de tir on surnommé « la machine à coudre les martiens ».

Nom de code « la tigresse blanche ». Phrase de code : « le féminisme est un humanisme ». Refuse toutes formes de misandrie. Pour parler d"elle même elle se surnomme avec ironie et un beau sourire amer Cosette Trash en référence à l'héroïne de Victor Hugo.

Sport : Aïkido pour la philosophie, l'utilisation de la force et de l'agressivité de l'adversaire, le close combat et  le krav maga (ou krav-maga) pour les coups interdits,  tous les Arts martiaux. Esprit Taoïste utiliser la force de l'ennemi pour le déséquilibrer. C’est dans les salles d’arts martiaux qu’on lui a donné le surnom de « Tigresse blanche ».

Rugby amateur, roller derby à l'Arena de Berlin

Club sportif préféré le Stade Français Rugby pour bavarder avec ses ex compatriotes argentins

Signe particulier est  prise de nausée devant tout ce qui ressemble à une scène de torture.

Comportement : ne pas se départir de ses manières de lady. Battement de cils démarche de faon. Jambes croisées coudes pliés à la hauteur de la taille, tifs sexy joliment décoiffés.

Joue au poker pour des raisons professionnelles ( moyen de pression éventuelle par les pertes au jeu). Très douée pour le bluff.

Dress code : Preppy et masculin minimaliste

Son but : faire la liaison avec ses rêves d’enfant, ce qu’elle est devenue en porte toujours la trace. Après une enfance heureuse son univers a basculé elle s’est détestée elle-même alors qu’elle n’était pas responsable du mensonge. Décide de vouer sa vie à une grande cause.

Méthode : Reconquérir son corps afin qu'il soit en harmonie avec la lumière, les ondes, la frontière qui sépare ces deux mondes, la peau, en contact avec le cosmos, avec un chakra à  la naissance des seins,  réseau ténu qui transporte l'énergie, obéissant à la logique du Tao, à son sillage de miel, de poivre sauvage, un tracé d'énergie qui oriente notre chemin vital pour permettre de franchir les frontières. Dans les sports de combat elle développe  son aura  vitale , sa présence est alors toute d'énergie concentrée. 

Ce qu'elle appelle franchir la ligne de la frontière des tigres d'après une ancienne légende de l'Asie. « La voie du Tao c’est : traverser la frontière des tigres. La ligne de la frontière des tigres, aussi appelée ligne Asunaro est un ensemble de fortifications secrètes à la frontière du pavillon de l’Ouest inondé par la lumière de la lune . Celui qui franchit en vainqueur cette ligne de chênes ressemblant à des cyprès est dévoré par une armée de tigres invisibles. Mais il ne s'en aperçoit que bien plus tard.

La tigresse blanche traverse cette ligne en se transformant en un hérisson Taoïste féminin. Asunaro désigne en réalité une espèce de chêne ressemblant par certains aspects au pin, L'origine du mot est « Asu-hinoki-naro », c'est-à-dire « sera-demain-cyprès », l'idéogramme chinois désignant cet arbre se compose d'ailleurs des idéogrammes  « demain » et « cyprès » accolés ». La tigresse blanche dit « Ma robe de soie légèrement dégrafée, découvre mes piquants de hérisson, demain je serai cyprès» . Le Hérisson Taoïste est à la fois Yin et Yang, c'est pourquoi certain(e)s on voulut l'inclure dans le mouvement Gay and Lesbien, en réalité le «Yuan you » désigne les voyages rêvés des chamans leurs randonnées dans une autre dimension aboutissant à une union avec un être divin de l'autre sexe. 

Loisirs : dresse bénévolement des chiens pour aveugles.

Synopsis

Elle appartient au « Service Action » de la Cour pénale internationale,  juridiction permanente chargée de juger les personnes accusées de génocide, de crime contre l’humanité et de crime de guerre. Recrutée par la procureure européenne Cornelia Von Sprekelsen (Danemark), elle a accepté des missions après avoir visionné le discours d’un général pendant la guerre des Balkans, qui recommandait à ses officiers de violer systématiquement les femmes du camp ennemi. Première mission pour le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) : mis en place en 1993 par les résolutions 808 et 827 du Conseil de sécurité en vertu du chapitre VII et s'est établi à La Haye.

Elle est rattachée au Bureau de la Procureure : Le rôle du Procureur est d'ouvrir et de diriger les enquêtes, de proposer l'inculpation des accusés aux chambres et de rassembler des preuves à présenter lors des procès, où il mène l'accusation. Le Bureau de la Procureure est un organe indépendant de la Présidence et du Greffe, et gère en autonomie son budget et son organisation. Le Procureur a un pouvoir discrétionnaire à l'heure d'ouvrir une enquête, et est le seul à pouvoir le faire, de son propre chef ou sur demande du Conseil de sécurité de l'ONU. Le service action doit enquêter sur le terrain et éventuellement procéder à des arrestations parfois en territoire ennemi. Il est appelé à se pencher sur tous les crimes contre l’humanité. Lorsque la CPI fut créée par le traité de Rome en 1998, une attention particulière fut accordée aux crimes sexuels. Ainsi, dans la définition des crimes contre l'humanité qu'elle a pour mission de juger, on retrouve le viol, la mise en esclavage sexuel, la prostitution forcée, la grossesse forcée, la stérilisation forcée, la violence sexuelle et la persécution basée sur le sexe. Lors du conflit lybien elle enquête sur les détournements d'armes stratégiques au profit d'organisations terroristes.

Scène d’action : Cosette Trash sur le route de Bengazi

C’était pendant la violente contre-offensive de l'armée du colonel Kadhafi sur la route bordant le golfe de Syrte. Sur les 340 kilomètres conquis en deux jours par les rebelles depuis que les raids aériens occidentaux leur avait ouvert le verrou de la zone stratégique de la ville d'Ajdadiya, les forces gouvernementales avaient repris 130 km en un jour près de Ras Lanouf. Là un commando  avait été déposé par un hélicoptère. C’étaient des hommes étranges, à quel camp appartenaient-ils ? Ni leurs armes en provenance de dix armées, ni leurs vêtements de sports ne fournissaient d’indications sur ce points. Ils étaient cruels, l’aventure était leur patrie. Un pickup 4X4 Toyota s’arrêta alors des hommes  en descendirent lentement avec le calme féroce des condamnés à mort par contumace, ils ne ressemblaient pas aux chabab (jeunes insurgés). Ceux-ci avaient sauté dans leurs Toyota pour prendre la fuite.  Il y avait trois jours que durait l'attaque des forces de Kadhafi. Les jeunes combattants étaient à bout de nerfs. Les habituels tirs de mortiers étaient remplacés par des tirs de missiles Katioucha, ce qu'a Stalingrad on appelait les orgues de Staline. Le chef du commando Ziad qu’on surnommait simplement Cruel ou Ziad le Cruel s’avança. Il frappa  au visage, lentement sans passion, un des jeune garçon très excité qui voulait prendre la fuite. La brutalité était pour lui machinale, simple réflexe, elle signifiait qu'il tuerait tout ceux qui voudraient s'enfuir. Ils ne furent pas surpris quand il dit d'une voix brève et sèche « j'abattrais sur place tout ceux qui abandonneront leur poste de combat ». Cette entrée en matière lui apparaissait le moyen d’éviter un long discours.  « Tu tueras le premier, mais après ce sera ton tour» répondit un chabab. Cruel eut un sourire de loup affamé sur visage mince  au regard aigu comme une aiguille portée au rouge, regarde, dit-il désignant des snipers qui avaient pris position sa sa gauche et à sa droite, ils couvrent tout le terrain ils peuvent atteindre un cible à mille mètres.

Sa radio se mit à crépiter « ici autorité, rester sur votre position », dit-une voix de femme, « bien reçu autorité» dit Cruel, puis coupant sa radio il rit doucement montrant des dents de chiens d’attaque. Il avait un accent de voyou parisien, personnages de Genet  sorti des bistrots de la rue des Abbesses ou de la centrale de Clairvaux, imposant au -delà des circonstances le parti qu’il avait pris d’être en-dehors, affranchis, avec cette souveraineté qui est le pouvoir de s’élever dans l’indifférence à la mort, au-delà des lois. 

Cependant l'opération qu'il menait était une diversion, un autre agent étant chargé de pénétre dans une villa isolée qui était le quartier général de la branche lybienne d'Al Quaïda.  

Entraîné à pénétrer dans les maisons où il n’était pas invité, l'agent secret  força facilement la serrure et  il entra dans le jardin. Au loin sur le golfe de Syrte les barques de pêcheurs étaient immobiles, un vent de terre venait de se lever.  Pas de lune, l’obscurité était profonde. Tout en essayant de s'accoutumer à ce nouveau paysage nocturne il fit lentement quelques pas méfiants sur une pelouse bordant une allée de graviers. Rien ne bougeait.  Une silhouette en burnous se dressa imprécise ombre dansante sur le fond gris du mur de la maison aux moucharabiehs. Le gardien épaula son fusil il tira une charge de plomb de chasse, l’homme  bondit de coté. Il eut le temps de voir le garde le suivre du bout du canon de son fusil, le chaouch attend cette fois qui il fut immobile pour tirer une balle en caoutchouc qui se trouvait dans le deuxième canon. L’homme visé tomba tout d’une pièce sur le dos dans les broussailles sèches qui craquent. Puis le silence à nouveau. Le silence pesant de la peur, que provoque toute mort subite. Un fenec gémit, au loin dans l’oasis. On eut dit que cet imperceptible bruit redonnait le mouvement à la scène : comme rassuré le gardien s’approcha rapidement de l’endroit où le cambrioleur s’était abattu. Il lui fallut fouiller pendant un instant dans les hautes herbes sèches, avant de trouver sa victime qui avait reçu la balle en caoutchouc dans le thorax. Un autre homme court et trapu en pyjama et pieds nu vient le rejoindre. Le visiteur nocturne était couché sur le dos la tête contre une souche.

Quand il reprit connaissance se fut sous l'effet du froid et de la douleur, il comprit qu'il était suspendu par les poignets les pieds dans le vide, entièrement nu. Un éclairage cru était dispensé par une simple ampoule électrique. Deux solides portiques, sur lequel était fixé quatre chaînes prolongées de larges bracelets de cuir et un carcan, une table une chaise garnissaient la pièce sombre et voutée comme un cave, salle de torture privée.

Le chaouch petit et chauve se dirigea vers le mur  où étaient suspendu quelques instruments et y choisit une cravache en fibres de bois tressé dont il apprécia la souplesse en faisant quelques moulinets en l'air. Le bois tressé claqua sèchement sur la peau de ses fesses, la cravache laissa une marque rouge sur la peau mate. L'homme suspendu tenta de se libérer mes ses mouvements faisaient pénétrer les liens profondément dans sa chair.

Le chaouch releva son bras prolongé de son arme terrible pour un deuxième coup quand soudain une balle de petit calibre propulsée à uen vitesse super-sonique vint arrêter son geste.

Serenella venait de l'abattre d'une seule balle.

- hé bien tu as mis le temps pour me tirer de là dit l'homme suspendu.

-Oui je voulais juste vérifier un truc qu'on n'avait dit sur les garçons.

- Quoi ?

- quand tu as pris le premier coup sur les fesses...

- Humm ?

 - tu as eu une érection formidale...

- je te revaudrais ça détache moi tout  de suite

Scène érotique

Face au Lac Léman, le Casino un soir très tard. Genève..

On ne pouvait manquer de remarquer ses  cuisses fuselées et son ventre extra plat moulés par sa robe du soir. Un port de tête parfait. Elle avait gardé les bases du dress code classique robe noir stricte, talons hauts mais elle avait un chignon savamment retenu par des aiguilles de bois de Geisha et une bouche vermillon incendiaire qui contrastaient avec ses manières de Lady. Elle ne portait qu’une morganite couleur pêche création de Marie-Hélène de Taillac. Cependant elle jouait au poker et elle gagnait. Ce simple fait attirait sur elle tous les regards. Elle jouait sans laisser de place au hasard, absolument concentrée sur la stratégie, la ruse, l’intuition, fruit d’un long apprentissage après de joueurs endurcis payés par son service. Face à elle un type était en train perdre les pédales. Un beau type, beau mec, smoking saumon, beauté virile, haute taille muscle durs, dents mordeuses. « Viens mon chéri, se disait-à elle-même, vient tout perdre », il plantait ses yeux durs dans son regard, tachant de deviner où elle voulait en venir. Elle fit semblant d’être délicieusement troublée, laissant les ondes du plaisir monter de la racine de son sexe vers son cerveau, perdre des sommes énormes l’excitait de plus en plus, il était persuadé qu’il allait reprendre le dessus, renouer avec la chance, dominer cette inconnue ironique aux yeux clairs. Le désir de la posséder physiquement l’envahi soudain comme un moment de panique peut submerger le cerveau d’un naufragé. Cependant elle restait très froide, calculant tout comme un ordinateur, son émotion de façade était parfaitement maîtrisée. Il se jetait à corps perdu dans ce combat perdant la totalité de son entreprise, près de se trouver ruiné. C’est bien là qu’elle voulait en venir obtenir un moyen de pression pour contrôler cette entreprise à l’activité plus que douteuse.

Elle décida brusquement de quitter la table emportant une petite fortune. L’homme sembla reprendre ses esprits en voyant que ses chances de reprendre son argent s’évanouissaient il tenta de protester violemment, mais feignant de ne plus s’apercevoir de son existence, elle disparut soudain. Se mettant brusquement debout il sentit que tout cette séquence d’affrontement psychique et de perte au jeu lui avait donné une violente érection, qu’il ne pouvait supporter, il fallait qu’il la retrouve pour comprendre cette attraction magnétique qui l’avait rendu fou. Une envie de possession et de meurtre l’avait gagné, le remplissant d’une violence animale. Il redevenait le garçon dur et cynique qui avait fait fortune dans le trafic d'armes. Il crevait d’envie de la gifler avec fureur, mais quelque chose lui faisait peur en elle. Il comprit pourquoi quand il se trouva à nouveau en face d’elle. Elle fixait son regard clair dans ses yeux ne manifestant ni peur, ni gêne.

-         Vous êtes partie bien vite après m’avoir plumé

-         C’était dans votre intérêt, vous alliez vous endetter au-delà du raisonnable

-         Mais je suis déjà plus que ruiné.

-         Je n'en pense rien, j'ai joué pour moi, je ne regarde pas les autres à une table de poker ou plus exactement j'observe leur inconscient.

-         Leur inconscient ? La conversation prenait un sens qui lui échappait.

-         Je n'ai pas d'attachement particulier à l'argent vous rendre ce que vous avez perdu ne me chagrinerais nullement.

-         Alors ?

-         Votre inconscient m'indique que vous désirer ne gifler et me frapper, mais quelque chose vous en empêche...

-         Humm..

-         Maintenant nous allons sortir dans le parc nous serons seuls, vous pourrez me frappez autant que vous le voudrez. Elle le prit par la main et l'entraîna avec elle.

-         Alors ?  Dit-elle les sourcils légèrement arqués en bonne Taoïste elle utilisait l'énergie de l'ennemi.

Il sent un frisson lui traverser la nuque, séduit par son insolence et dévoré par la rage de vaincre. Il lance sa main en avant pour la gifler, mais elle esquive le coup d'une rotation du torse et il frappe dans le vide. Très vite il porte un autre coup un uppercut cette fois mais elle virevolte sur les pointes et le poids du corps l'entraîne dans le vide les yeux furieux. Elle saute à côté de lui et presque tendrement lui comprima le larynx pour provoquer une brève asphyxie. A demi inconscient il reprit ses esprits en embrassant sa cheville fine. Il a envie d'avoir une mâchoire de pit-bull pour broyer cette attache fine. Mais cette morsure se transforme en baiser, il remonta doucement le long des chevilles remontant vers le creux des genoux et vers les longues cuisses blanches il releva peu à peu sa longue robe du soir "noir fatal" en soie et tulle drapée, ouverte sur le côté découvrant en frémissant son parfum . Elle l'observait   sans chercher de parade consciente du changement qui s'opérait en lui. Quand il atteint le nid tiède et  secret de son ventre elle murmura « l'ours polaire se dégèle ? », il était perdu entre la révolte et le désir, l'instinct de mort et l'amour. l'attirance physique était le plus forte, il voulait se montrer odieux mais il était trop affamé et avide en proie à une sensation violente. Elle aurait du être terrifiée, mais sa maîtrise de la situation était totale « ne me faites pas de mal murmura-t-elle », mais c'était pure ironie, tendu par le désir il sema les baisers sur son épaule nue qui était douce et chaude comme une pêche sous le soleil.  Une envie irrésistible le hantait s'agenouillant entre ses jambes  il les écarta et plongea son visage dans l'obscurité torride. Elle posa ses mains sur sa nuque qu'elle massa doucement cherchant les points secrets de l'acupuncture. Elle savait qu'elle pouvait le faire sombrer dans l'inconscience d'une pression experte sur les centres nerveux les plus sensibles. Mais son désir de violence était tombé, remplacé par le désir tout court. Sa vulve rose s'offrait sans défense, rivière de feu aux reflets dorés, il en appréciait la délicieuse amertume, le plaisir se déroula en spirales serrées dans le creux de son ventre, elle poussa un cri, murmurant tout bas « si tu m'aimes, tu es foutu... » 

  • Oui, c'est remarquable !
    Bonne chance pour gagner :-)

    · Il y a plus de 13 ans ·
    Photos libres.com orig

    3d0

  • Et bien bravo Eric ! Une contribution très efficace. Je n'ai jamais lu un SAS, je ne sais donc pas ce qui est attendu mais je peux dire que toutes les contraintes dont j'ai pris connaissances me semblent être réalisées dans ton texte. Un gros boulot et une très bonne écriture. M'en vais t'offrir mon premier vote :)

    · Il y a plus de 13 ans ·
     14i3722 orig

    leo

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