L'Espérou-Chap 12

marivaudelle

Dans la lumière du jour qui décline, tu es belle, regarde-moi, j'ai envie de te prendre en photo.
J'aurais dû emporter mon appareil hier, quand nous randonnions en pleine nature.
Je prends tes seins en gros plan… arrête de te dandiner… tu as les seins qui bandent, ma chérie…
Souris… je suis certaine qu'il te regarde…
 
- « A moi de te photographier… Lève-toi, fais quelques pas…
Tu es belle quand tu bouges, tu  es légère, tes mouvements sont fluides, tes petits seins gigotent,
quel bonheur pour toi qu'ils soient menus et pas lourds comme les miens ! »
 
Je me redresse, inconsciemment, debout contre la table que je contourne, tendant exagérément ma croupe,
comme si je voulais séduire toutes celles et toux ceux qui pourraient me regarder, consciente que cela ne sert à rien.
- « Tu es si belle ! Si je ne t'aimais pas tant, je serais jalouse ! 
Lorsque tu te cambres, ça me fait quelque chose, j'imagine que ça doit être pire pour les mâles du coin.
Mais il n'y en a pas beaucoup…»
Tu me fais du bien, ma chérie, tu es un peu fofolle par moment mais ta tendresse est précieuse.
- « Quand tu faisais le tour de la table en te déhanchant, j'imaginais que tu étais toute nue !!!
Bon, d'accord, je sais, ni toi ni moi ne sommes exhibitionnistes ! Juste une envie de te photographier à poil,
Et quand je dis à poil, je parle aussi de la broussaille que tu as entre les cuisses ! »
 
Il broie mes sens de bonheur, j'aime à la folie cette douleur, je sens dans ma poitrine mon cœur exploser…
J'aime ce qu'il m'inflige…sans même s'en douter. Il fait mal à mes envies., Il fait mal à mon sexe…
c'est comme s'il tenait mon sexe dans ses mains… quand je lis ses mots,
je ne me sens plus frémir tellement l'émotion cogne dans mon ventre…
ce jaillissement de mon sexe… 
 
- « et ça y est, te voilà repartie dans tes délires…et tu m'entraînes avec toi, malgré moi. »
 
Il se penche sur moi, attrape la fleur d'un sein entre ses lèvres et la lèche…
Il mouille ses doigts de sa salive et prend l'autre sein entre ses doigts, il le malaxe, il le pince,
il l'étire tout en continuant de sucer l'autre sein… Le résultat ne se fait guère attendre…
Je voudrais m'extraire de ce film, je voudrais échapper à son emprise sensuelle,
Non, je l'aime tant, cette emprise.
Je voudrais le mettre nu, sauvagement, le prendre dans mes mains, le lécher, le lécher encore,
La fellation ne me rebute plus, bien au contraire…
Imagine, ma Cath, je le lèche, je le suce, je l'enfourne, n'aimerais-tu pas me regarder le faire ?
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