Merveilleux...

Intrigante

Une caresse qui en provoquerait d'autres... ma main entre ses cuisses, je prends dans ma paume les bijoux que je souhaite porter.

Les deux joyaux fermes et d'une douceur étonnante tressaillent entre mes doigts.. j'ai comme l'impression qu'il apprécie mon palpé sensuel, il ferme les yeux.

Je pourrais le sucer, et j'aimerais ça sans conteste, mais j'ai envie de sentir sa vigueur m'enfiler.

Je le pousse, il est adorable de se laisser faire, il tombe sur la chaise derrière lui, comme si ma force venait de le terrasser, alors qu'il pourrait me renverser d'un regard... mais là maintenant, son sourire enjôleur m'étourdit et me pousse à lui répondre d'une risette, que j'espère ensorcelante.

Il est assis, beau avec sa chemise ouverte, qui laisse entrevoir sa peau cuivrée, ses tétons nerveux me narguent, bien moins que les miens cependant.

Une musculature toute en finesse, qui révèle la distinction d'un corps harmonieux, l'apparence d'un dieu enlacée à l'intelligence d'un sage.

Son épaule dégagée, lisse et brillante où j'ai envie de poser mes lèvres, et la veine de son cou, gorgée d'un sang mêlé "encore...encore, vas-y, allez !", me dit-elle...

Son pantalon, lui, est toujours là, mais son sexe libre déborde d'une frénésie provoquante, raide et nerveux, comme je l'aime.

J'ai envie de le regarder des heures, mais ma chatte salive d'envie ...il ressemble à un lion qui s'apprête à dévorer sa proie, sans aucune complaisance, ni compassion... calme et inquiétant.

Je me tourne et lui offre ma croupe, mon cul est tenté, mais comme je l'ai dit, ma chatte, elle, est aux abois et donc prioritaire sur le reste.

Son doigt suit la ligne de ma colonne vertébrale... tendue comme un arc, j'attends la flèche qu'il tirerait à l'intérieur de mon corps. J'ai l'impression de recevoir une décharge, je sursaute au moindre frôlement, ce n'est que son doigt après tout, mais quel doigt, il en a visité des parties de mon corps celui-là, et toujours le bienvenu sur ma peau.

Il monte jusqu'à ma nuque, puis redescend, le manège dure un moment, une torture excitante pourtant... ses deux mains attrapent mes hanches, enfin... il me tire plus près de lui, je ne vois rien, mais je sens son souffle sur mes reins, puis ses lèvres qui caressent ma chair, et ses dents maintenant, qui mordillent le haut de mes fesses, puis le creux de mes reins, là où toute la pétulance d'une fougue débordante s'accumule, là où il libère cette folle tension d'un seul coup de langue dévastateur.

Il m'approche encore plus, tout contre lui, j'ai son odeur qui chatouille mes narines, il a une fragrance de mâle excité à chaque fois que nous faisons l'amour, sauvage et enivrante, elle me donne le vertige.

J'ai l'impression de me transformer en reine de la jungle qui hurlerait de rage, impatiente de s'accoupler, trop pressée de se faire tringler.

Il me place, une de ses mains lâche ma peau, je sais qu'il attrape sa queue, quelle chanceuse cette main... il la frotte contre ma chatte qui dégouline d'amour. Je tente de coulisser, j'ai envie de m'assoir carrément sur lui pour sentir sa pine au fond de mon vagin, mais il m'empêche de le faire, ses deux mains à nouveau sur mes hanches..

- Impatiente ma petite pute ce soir...

Impatiente, je le suis toujours, surtout lorsque je vois son sexe gorgé d'une jouissance contenue, et quand il me parle ainsi... j'adore ses mots dont l'excès de tendresse me trouble, mais j'aime aussi qu'il devienne mon salaud enchanteur, vulgaire et sans pitié ... dans sa bouche, ces paroles ont le goût de l'amour

Son gland continu sa visite aux abords de mon intimité, glisse à l'entrée de mon vagin, quelle tentation insupportable.

Ses deux mains se rassemblent sur mon ventre qui tressaille, puis il me pose telle une fleur sur sa queue, qui s'enfile lentement dans les profondeurs de mon être, il voulait faire ça doucement... j'ai l'impression que la descente n'en finit pas, c'est tellement bon qu'il m'arrache un gémissement presque surnaturel.

Je me cambre, pour mieux le placer, je serre ma chatte pour mieux l'envelopper, je veux qu'elle soit semblable à un fourreau qu'il ne voudrait plus jamais quitter.

Mes mains agrippent les accoudoirs du fauteuil, j'ai besoin de me stabiliser, les siennes toujours sur mes hanches, mais plus vigoureuses... la douceur a laissé place à la force.

Il m'empoigne et m'aide à monter... et à descendre... m'impose le rythme... son rythme endiablé. Je me tords, me plante contre lui, plus souple et plus moulante qu'une liane épiphyte... je frisonne, accélère, mais il me ralentit. "Pas encore " me dit-il...

J'arrive à voir son sourire en coin, sans même le regarder... maintenant mes cheveux dans sa main, il approche ainsi mon visage de sa bouche, ma nuque est douloureuse, plus cambrée que mon dos, mais ce serait encore plus pénible de ne pas sentir sa langue caresser la mienne, dans un ballet enivrant.

J'ai les muscles de mes cuisses qui tiraillent, ses bras séquestrent maintenait ma taille... robustes, puissants, mais en même temps si caressants... il me colle fermement contre son torse bouillant, m'arrache un hoquet de surprise, brule mes derniers retranchements, soulage mes jambes, s'enfonce plus profondément, et s'abreuve de mon cri de jouissance dans un dernier mouvement de reins, quand il se libère en moi.

Son souffle fait voler une petite mèche de mes cheveux, qui chatouille mon nez, il a la marque de mes ongles ancrée sur ses avant-bras, rien au monde ne me ferait bouger... il me berce entre ses bras confortables, je me sens comme son bien le plus précieux, je le suis....

Demain je veux l'avoir face à moi, demain je veux voir son regard...demain.... demain sera toujours comme aujourd'hui, demain sera merveilleux

Signaler ce texte