Mon ami, mon fils, mon frère
petisaintleu
Il y a des matins où je me réveille terriblement, désespérément, fatigué. Je laisse tomber mon masque de survie qui me permet de louvoyer par cynisme, par dérision ou par provocation.
Je sais, rassurez-moi, vous n'êtes pas des monstres d'inhumanité, qu'après ces quelques lignes, vous partagerez quelques instants de compassion, de culpabilité ou de tristesse. Ce n'est pas grand-chose, mais c'est toujours ça de pris. Quelques secondes volées à votre précieuse vie, à votre individualisme, à vos ennuis qui, laissez-moi l'espérer, tourneront vos pensées vers la photo de cet enfant larmoyant.
Je suis catholique et, ce qui n'arrange rien, je suis pratiquant. J'ai la foi. Vous n'êtes pas obligé de me croire, vous pouvez ricaner. Ce n'est pas grave. Moi, Je crois que le Christ s'est fait homme et qu'il a été crucifié pour partager notre condition et pour catalyser nos douleurs. Alors, laissez-moi penser qu'au travers de ce petit garçon, il est là, tout aussi innocent, sidéré et désespéré.
Arrêtons ces bondieuseries. Concrètement, de quoi s'agit-il ? Ce bonhomme est un réfugié syrien et il survit à Istanbul. J'ose espérer que, dans une autre vie, une éternité, il y a quatre ou cinq ans, il était heureux. Tout comme nos enfants, il fréquentait l'école, il avait son dessin animé préféré et il se rêvait conducteur de train, pompier ou gendarme. Puis, un jour, tout son petit monde s'est écroulé. La guerre est arrivée. Sa ville a été bombardée, rasée et envahie par la peur, par la faim et par l'odeur de la mort. Avec sa famille, celle qui a survécu aux viols, aux balles perdues et aux exécutions sommaires, il a pris la route vers le nord.
Très vite, il a oublié ce qu'il avait été. La soif, l'absence de toit et l'angoisse de ce que sera fait son lendemain ont vite effacé ses espoirs d'antan. Il s'est alors improvisé marchand de mouchoirs en papier, résonnance de la petite fille aux allumettes :
« Ça serait bon de se réchauffer à la flamme d'une allumette » se dit Karen, la petite marchande d'allumettes qui grelotte de froid sous la neige en cette période de Noël. Réfugiée sous une palissade, alors qu'elle s'est fait rabrouer par des bourgeois pressés qui ne lui ont rien acheté, elle s'endort sous le froid, et elle rêve.
Lui, il a le nez en sang parce qu'il s'est fait tabasser. Il a eu l'indécence de proposer ses ridicules mouchoirs en papier à des bourgeois pressés, occupés à la terrasse d'un café à siroter. Cela ne leur a guère plu et les coups se sont abattus. Sur une autre photo, on le voit allongé. À ses pieds, un sac en plastique éventré d'où s'échappent ses dérisoires mouchoirs en papier. Il lève un bras pour esquiver les coups qui pleuvent. À l'arrière-plan, un adulte lève une chaise, prête à s'abattre.
Quand j'ai découvert la photo, une autre a immédiatement envahi mes souvenirs. Celle extraite du rapport de l'insurrection du ghetto de Varsovie de mai 1943 de Jürgen Stroop pour Heinrich Himmler avec cette légende : « Forcés hors de leur trou ». On y voit un bambin les bras levés, le regard vide qui, dans une autre vie se rêvât sans doute conducteur de train, pompier ou gendarme.
Hier, comme Marcel, je me suis couché de bonne heure. Des madeleines tournoyaient. La photo de cette petite fille prise à Trang Bang le 8 juin 1972, courant nue sur la route, brûlée au napalm. Celles de ces bébés anonymes éthiopiens qui mourraient de faim, par grappes, comme les mouches qui s'agglutinaient sur leurs paupières.
Je me dis que toi, il est peut-être encore possible de te rendre ta dignité, tes espérances et ton sourire. Par le biais de la toile, en un tour de clics, ta photo peut faire le tour du monde et susciter l'émotion. Il suffirait de quelques bonnes volontés pour te retrouver. Tu comprendrais alors que l'humanité n'est pas encore tout à fait pourrie.
Je te le promets. Je te garde près de moi. Tu es mon ami, mon fils, mon frère. Tous les soirs, je penserai à toi et je sécherai tes larmes.
-------------------------------------------------------------------------------
Traduction de Fiona Trickett
My friend, my son, my brother
There are mornings, when I wake up terribly, desperately tired. I let my survival mask fall down, that which allows me to evade the issues through being cynical, showing derision or being provocative. I know, please reassure me, that you are not mountains of inhumanity, that after reading these few lines, you will share a moment of compassion, guilt, or sadness. It's not a lot, but it's at least that much. A few seconds stealed from your precious life, from your individualism, from your troubles that, let me hope, will turn your thoughts to the picture of this tearful boy.
I am Catholic and, what doesn't help, a practising one. I have Faith. You may not believe me, you can snigger. It doesn't matter. I believe that Christ made himself man and was crucified in order to share our condition and catalyze our pains. So let me think that through this little boy, he is there, as innocent, as astonished and as desperate.
Let's stop this religious knick-knack. What am I talking about ? This little fellow is a Syrian refugee and survives in Istanbul. I dare to hope that, in another lifetime, an eternity, four or five years ago, he was happy. Just like our children, he went to school, had a favourite cartoon, and dreamed of himself being a traindriver, a fireman or a policeman.
Then, one day, all his little world crumbled away. War broke into his life. His town was bombed, erased from the map, and invaded by fear, by hunger and by the smell of death. with his family, that had survived raping, lost bullets, and summary executions, he took the road to the North.
Very soon, he had forgotten what he had been. Thirst, the absence of a roof over his head and the anguish of what tomorrow would be quickly erased his old expectations. He then improvised and became a paper tissue seller. An echo of the little girl who sold matches.
“It would feel so good to warm myself at the flame of a match”, thought Karen, the little match seller, shivering with cold in the snow, in this season of Christmas. Having taken refuge under a wooden fence, having been rebuffed by middle-class adults in a hurry, who didn't buy her anything. She falls asleep in the cold, and dreams.
The boy has a bloody nose, because he got beaten up. He had the indecency of offering the middle-class adults to buy his ridiculous paper tissues, whilst they were busy sipping their drinks at the terrace of a café. They didn't like that and they covered him with blows. On another picture, he is lying down on the ground, a torn plastic bag at his feet, from which the paper tissues spill out. He lifts an arm to dodge the blows that are raining down on him. In the background, an adult lifts a chair up and threatens to knock him down with it.
When I discovered the picture, another sprang up immediately from my memories.
The one extracted from the report of the insurrection of the Warsaw ghetto in 1943, made by Jürgen Stroop for Heinrich Himmler, with these words as a legend : “forced out of their hole”. You may see a kid, on the picture, his arms lifted , who certainly dreamt, in another lifetime, of being a traindriver, a fireman or a policeman.
Yesterday, like Marcel, I went to bed early. Madeleines were whirling round in my mind. The picture of that little girl taken in Trang Bang, the 8th of June 1972, running naked on the road, burnt from napalm. This other one of anonymous Ethiopian babies, dying by numbers from starvation, like the flies clinging to their eyelids.
I tell myself that you, it may be still time to give you back your dignity, your hopes and your smile. By the means of the web, with a few clicks, your picture may go round the planet and arouse emotions. Only a few good wills would be needed to find you. You would then understand that humanity is not quite rotten yet.
I promise you. I keep you with me. You are my friend, my son, my brother. Every night I will think of you and dry your tears.
-------------------------------------------------------------------------------
Traduction de Mathias Nobrega
Mi amigo, mi hijo, mi hermano
Hay mañanas en que me despierto terriblemente, desesperadamente cansado. Se me cae la máscara de supervivencia que me permite aprieto por el cinismo, la burla o la provocación.
Lo sé, tranquilizen-se, ustedes no son monstros de inhumanidad y después de estas pocas líneas van a compartir unos momentos de compasión, culpa o tristeza. No es mucho, pero es mejor que nada. Unos segundos robados a su preciosa vida, su individualidad, sus problemas que, le permítan espero, volver sus pensamientos a la imagen de este niño lloroso.
Soy católico y mas soy practicante. Tengo fe. Ustedes no necesitan creerme, pueden reír. No importa. Yo, yo creo que Cristo se hizo hombre y fue crucificado para compartir nuestra condición y para catalizar nuestros dolores. Así que déjame pensar que a través de este pequeño niño, él aun esta ahi, tan inocente, aturdido y desesperado.
Dejemos estas baratijas religiosas. Concretamente, qué es eso? Este tipo es un refugiado sirio y sobrevive en Istambul. Esperemos que, en otra vida, hace una eternidad, hay cuatro o cinco años, estaba feliz. Al igual que nuestros hijos, iba a la escuela, tenía sus dibujos animados preferidos y soñaba conductor de tren, bombero o policía. Un día, su pequeño mundo se derrumbó. La guerra llegó. Su ciudad fue bombardeada, invadida y arrasada por el miedo, por el hambre y por el olor de la muerte. Con su familia, que ha sobrevivido a las violaciónes, las balas perdidas y las ejecuciones sumarias, tomó el camino hacia el norte.
Pronto se olvidó de lo que era. La sed, sin techo y la ansiedad de lo que seria el día siguiente han borrado rápidamente sus antiguas esperanzas. Luego se improvisó mercader de pañuelos de papel, resonancia de la niña de los fósforos:
"Sería bueno recalentarse en la llama de un fósforo", se dice Karen, la pequeña vendedora de cerillas temblando de frío bajo la nieve en este tiempo de Navidad. Refugiada bajo de una cerca mientras era rechazada por los burgueses apresados que no compraron nada, se quedo dormida en el frío, y sueña.
Él, tiene el nariz ensangrentada porque ha sido golpeado. Él tuvo la indecencia de ofrecer a sus pañuelos de papel ridículos a otros burgueses apresados, ocupados a beberse café. No les gusto y los golpes no tardaran a llover. En otra foto, lo vemos acostado. A sus pies, una bolsa de plástico rasgado deja escapar sus pañuelos irrisorios. Levanta un brazo para esquivar los golpes que llueven. En el fondo, un adulto levanta una silla, listo para golpearlo.
Cuando encontré la foto, otra de inmediato invadio mis recuerdos. Esa extraeda del informe de Jürgen Stroop a Heinrich Himmler sobre levantamiento del gueto de Varsovia de maio de 1943 con la leyenda: "forzados a salir de su agujero." Muestra un niño brazos levantados, los ojos en blanco, que en otra vida se soño probablemente conductor de tren, bombero o policía.
Ayer, como Marcel, me fui a la cama temprano. Magdalenas arremolinaban. La imagen de esta niña tomada en Trang Bang, 08 de junio 1972, corriendo desnuda en el camino, quemada por el napalm. Aquellos de estos bebés etíopes anónimos quer morian de hambre, agrupados como la moscas congregado en sus párpados.
Me imagino que usted, todavía puede ser posible devolverle su dignidad, sus esperanzas y su sonrisa. A través de la web, en un turno de clics, tu foto se puede dar la vuelta al mundo y evocar emociones. Bastarían unas buenas voluntades para te encontrar. Usted entiendria entoces que la humanidad aún no está completamente podrida.
Prometo. Te guardo conmigo. Tú eres mi amigo, mi hijo, mi hermano. Cada noche piensaré en ti y secaré sus lágrimas.
Vraiment vous êtes décevante et manquez d'ouverture d'esprit , il y a un adage qui dit " Dans la vie, il y a ceux qui parlent et il y a ceux qui font " je préfère et de loin la deuxième catégorie, ce débat atteignant le niveau du stérile, pour moi il est clos !! bonne continuation et bonnes actions...
· Il y a plus de 9 ans ·marielesmots
De rien, c'est justifié...,
· Il y a plus de 9 ans ·marielesmots
Akhesa, permettez moi d'intervenir dans le débat, sachez que Monsieur Petisaintleu, agit, je sais de quoi je parle, de la façon la plus discrète qui soit, sans jamais sans se vanter de quoi que ce soit, il faut toujours réfléchir un petit peu avant de juger. Ce n'est pas le genre de personnage à faire étalage de ses actions et ce texte est un texte écrit dans l'émotion, ne m'en veuillez pas, c'était juste le moyen de rétablir une certaine forme d'injustice...
· Il y a plus de 9 ans ·marielesmots
Et concrètement, on fait quoi ?
· Il y a plus de 9 ans ·akhesa
Ah, si je le savais !
· Il y a plus de 9 ans ·petisaintleu
ecrire de beaux textes ne suffit pas ! Si un fait jamais "divers" vous émeut au point d'en faire un "papier" virtuel, il faudrait également aller un peu plus dans le concret.
· Il y a plus de 9 ans ·Trop facile de provoquer des larmes chez le lecteur, larmes remplies de compassion et de "bonnes pensées" bien sûr, mais les belles pensées ne suffisent pas à faire bouger l'humanité!
je n'adhère plus à ces propos trop faciles, désolée ...
PS : j'aime vous lire mais j'aimerais encore plus que les mots soient actions ... quand il s'agit d'un fait de société d'une telle importance ..., et alors, j'adhérerai de suite. ne séchez pas les larmes de ce gamin tous les soirs sans lui tendre un vrai mouchoir en tissu qui épongera sa détresse ...
akhesa
Akhesa, connaissez-vous ma vie pour pouvoir préjuger et jouer au donneur de leçon ? Non. Alors, je vous prierez de baisser d'un ton. Si vous voulez plus de détails sur mes engagements personnels, ce sera en message privé. Merci.
· Il y a plus de 9 ans ·petisaintleu
prierai, pardon.
· Il y a plus de 9 ans ·petisaintleu
il est normal de réagir à un écrit, non ? les commentaires sont faits pour cela me semble-t-il ...
· Il y a plus de 9 ans ·Ou alors, précisez que vous n'aimez que ceux qui vous "honorent" et vont dan,s votre sens.....
Et c'était un questionnement général, car partout on lit toutes ces "belles pensées d'humanité" qui ne font rien bouger du tout et rares sont ceux qui agissent véritablement. (je parle "en géréral" puisqu'il faut le préciser ..)
Ceci n'est pas un jugement mais une constatation mais si vous vous sentez "piqué" au vif ... acceptez mes excuses
akhesa
Et vous, akhesa, que proposez-vous concrètement ? Car, juger un texte, émettre des avis, c'est bien. Mais, vous qui êtes si prompte à juger, pardon à constater, quelle action proposez-vous ?
· Il y a plus de 9 ans ·veroniquethery
Merci Marie et Véronique pour votre soutien. Alors, Akhesa, dites-moi, vous faites quoi, vous concrètement ? J'ai deux pistes à vous proposer. Faire suivre mon texte en se disant, on peut toujours rêver, qu'il suscitera des réactions. Sinon, concrètement, je vous invite à me suivre aux Philippines pour vous impliquer dans une association humanitaire comme je l'ai fait durant six mois pour m'occuper d'enfants battus, violés ou trisomiques. Dans l'attente de vous lire pour vous transmettre les coordonnées de l'association Virlanie à Manille.
· Il y a plus de 9 ans ·petisaintleu
mais ce texte initial n'est pas de moi ... demandez donc plutôt à son auteur ce qu'il fait pour son ami, son fils, son frère ...
· Il y a plus de 9 ans ·je ne fais que réagir à un écrit, et c'est bien cela, un commentaire, non ????
akhesa
Vous avez besoin de soutien ??? de soutien virtuel bien sûr ... je ne me suis pas positionnée en tant que soeur, mère, amie comme vous l(avez fait et je n'ai donc aucun compte à vous rendre .. Mais si j'avais les coordonnées de ce gamin, ce n'est pas un texte qur WLW que j'écrirai mais c'est une action réelle que j'entreprendrai(s) .. il est facile de penser le soir à ce gamin si loin ...donnez-moi ses coordonnées et nous agirons au lieu de vous bercer de ces belles pensées humanistes pleines de compassion facile derrière un écran..; ah oui, vous ne les avez pas .. il est donc facile d'écrire, sans agir réellement car le réel ment trop souvent !
· Il y a plus de 9 ans ·akhesa
Vous n'avez pas du me lire :
· Il y a plus de 9 ans ·Merci Marie et Véronique pour votre soutien. Alors, Akhesa, dites-moi, vous faites quoi, vous concrètement ? J'ai deux pistes à vous proposer. Faire suivre mon texte en se disant, on peut toujours rêver, qu'il suscitera des réactions. Sinon, concrètement, je vous invite à me suivre aux Philippines pour vous impliquer dans une association humanitaire comme je l'ai fait durant six mois pour m'occuper d'enfants battus, violés ou trisomiques. Dans l'attente de vous lire pour vous transmettre les coordonnées de l'association Virlanie à Manille.
Alors, VOUS, VOUS FAITES QUOI ????
petisaintleu
En tous cas, à chaque fois que je me servirai d'un mouchoir en papier, je penserai à ce gamin maltraité, maltraité non par ses congénères , mais par ces intouchables derrière leurs écrans virtuels dont la compassion ne franchit aucune frontière si ce n'est leur bonne conscience !!!! J'ai écrit sur ce pauvre gosse, "ahhhh le pôvre" pourvu qu'il trouve de l'aide ...
· Il y a plus de 9 ans ·akhesa
Votre véhémence à vous qui êtes également derrière l'écran pourrait peut-être muter, sans s'emballer, en énergie pour transmettre à d'autres personnes ce texte, appel à faire parler de cet enfant. à ne pas détourner le regard, ce qui est déjà agir, indirectement peut-être, mais agir. Je comprends en lisant ce texte que parfois, il est insupportable de continuer à s'asseoir et ne rien dire devant un geste terrible. Et parfois, seul, on ne peut rien, ou pas assez, et donc on en appelle aux autres pour mieux trouver comment aider, ne vous en déplaise. Et parfois, penser à quelqu'un c'est loin d'être inutile, puisque pour aider, il faut déjà mûrir en soi une réflexion qui se donne les moyens d'aboutir à l'aide désirée.
· Il y a plus de 9 ans ·fionavanessa
Je vous invite à commencer par transmettre ce texte à d'autres via internet, une petite action plus une autre petite action plus une autre. Un début d'action, qui n'en exclut pas d'autres.
· Il y a plus de 9 ans ·fionavanessa
Et je me permets de dire quelque chose, si tout le monde avait la même démarche que Petisaintleu, à savoir aider son prochain et écrire pour réveiller les personnes sur la tristesse et la pauvreté du monde..il y aurait sans doute moins de misère.
· Il y a plus de 9 ans ·Et je trouve honteux que de tels commentaires puissent venir ternir un texte rempli de compassion et d'humanité !!!
ade
Belles pensées empreintes d'humanité, puissent elles faire bouger les choses...
· Il y a plus de 9 ans ·marielesmots
Les belles pensées ne suffisent pas à faire bouger les choses ...
· Il y a plus de 9 ans ·akhesa
Les pensées permettent de faire bouger le monde.
· Il y a plus de 9 ans ·Ecrire un texte qui émeut a une vertu : pouvoir, faire évoluer les pensées et peut-être les mentalités. Cela amène vers le concret.
veroniquethery
Pensées inutiles, agissez !!! vous !!! et vous seule et vous d'autres agiront ;;;
· Il y a plus de 9 ans ·akhesa
Allez, nous vous écoutons, vous qui avez l'air d'avoir une grande gueule. Aidez-nous à agir !!!!
· Il y a plus de 9 ans ·petisaintleu
Attention aux "montres d'inhumanité", qui donnent l'heure d'hiver en été.
· Il y a plus de 9 ans ·:)
Mario Pippo
dans le but de nous trancher la gorge inondée aussi pour nous signifier sur fond noir : "N'oublie pas d'avoir peur"
· Il y a plus de 9 ans ·Apolline
Je n'ai pas compris.
· Il y a plus de 9 ans ·petisaintleu
Tu as écrit "montres" au lieu de "monstres" :)
· Il y a plus de 9 ans ·Mario Pippo
gloup, j'ai corrigé merci !
· Il y a plus de 9 ans ·petisaintleu
Il t'en prie :)
· Il y a plus de 9 ans ·Mario Pippo
Pas de mots....
· Il y a plus de 9 ans ·ade