On n’y peut rien.

L'actrice dans ce film Milla Jojovich, (elle doit avoir des parents russes ou ukrainiens, c'est pareil) incarne à la perfection la pucelle d'Orléans qui part en guerre. Pour être honnête, elle est plus à l'aise dans les scènes de guerre, car en tant que pucelle, avec son physique, elle est moins crédible. N'oublions pas, qu'on est au moyen âge, quand même et qu'une fille encore vierge à dix ans ne présageait rien de bon pour lui trouver un mari. Mais que voulez-vous, c'est la réalité historique de l'Histoire, on n'y peut rien.

Donc, la Jeanne pendant qu'elle regarde ses moutons en les gardant, (oui, Jeannette est bergère de profession, c'est plus prestigieux que vachère et mieux pour son image à l'écran) elle entend une voix. (Oui, une seule. Car si elle entendait des voix, elle serait psychotique. Mais une voix, ça passe, elle est normale.)

Alors, la voix lui dit comme ça (on n'entend pas tout à cause du vent), mais en substance, la voix dit qu'il faut qu'elle aille bouter les Anglais hors de France sur-le-champ, de bataille. (Bon, on ne voit pas trop pourquoi les Anglais ne sont pas chez eux, mais on n'y peut rien, c'est l'Histoire qu'est comme ça.)

Ensuite, il y a de la baston sans coup de ceinturon, certes, mais avec de grands coups de casse-têtes dans la gueule, c'est bien aussi. Ça ne plaisante pas !

On achève les blessés pour leur piquer leurs bonnes dents en pièces de rechange. On voit déjà poindre le souci de l'apparence esthétique chez ces guerriers aguerris couturés de partout.

La fin de l'histoire est très triste, elle finit en saucisse sur un barbecue. Mais on n'y peut rien, c'est l'Histoire qu'est comme ça.