je te remercie de ta lecture, de ton appréciation, de ta note, et de ton coup de cœur, qui me font un immense plaisir. Mon commentaire à Jean-Baptiste, pourrait s'appliquer au tien, et le poète s'incline. Je te remercie d'être une fidèle lectrice de mes poèmes, et, je te souhaite une bonne fin de journée dominicale, dans la Paix de l'Esprit, le Bonheur du Cœur, et le repos de l'Âme ! je t'embrasse bien amicalement.
Un grand texte qui répond définitivement à la question entêtante de l'épistémologie : est-ce que le Soleil se lèvera demain ? Votre réponse poétique est meilleure que celle des arguments.
Comme vous le précisez avec une telle maestria, entre l'héliocentrisme Copernicien, et la philosophie Platonicienne, il y a fort heureusement, le mythe Orphique Camusien ! Je vous remercie sincèrement pour cet élogieux commentaire qui m'honore tant. Au plaisir de vous lire. Bien amicalement.
Me revoici après quelques péripéties pour me connecter ! Et c'est avec grand plaisir que je relis tes admirables textes. Continues à nous charmer. A bientôt. Bisous
Je suis bien heureux, de te retrouver ici ! C'est toujours avec joie que je lis tes commentaires. Je constate que toi aussi, tu connais la famille péripétie ! ....... ;-) Je te remercie de ta gentille visite et de ton coup de coeur ! Bien amicalement. Bisous.
Ce Seigneur des étoiles, en veillant sur notre âme, est bien le fils aîné de la Nature, et l'âme du monde ! Merci Colette pour ta gentille visite. Au plaisir de te lire. Bien amicalement.
Voici bien là, un intéressant commentaire sur l'art de la prosodie, et je vous en remercie sincèrement. Nous pourrions disserter longuement sur l'art poétique français, et entre autre sur la codification du sonnet, mais bien vite le propos deviendrait fondamental, sérieux, très technique, et avouons-le quelque peu rébarbatif. Comme vous, j'aime cette forme de poème qu'est le sonnet, surtout je crois, pour la nécessaire concision qu'il impose. À l'instar de Théodore de Banville, que vous citez, il me plaît à vagabonder mon âme, entre le romantisme et le parnasse, en essayant d'y trouver un juste compromis, entre la lettre et son esprit;
Votre analyse sur la position du treizième vers est pertinente, mais il m'a paru plus éclatant de finir le quatorzième vers sur une note de lumière, de vie, plutôt que de le terminer par une note plus sombre évoquant la nuit. Mais j'en conviens, la disposition que vous évoquez, est également envisageable.
Quoi qu'il en soit, je vous remercie très sincèrement de l'intérêt que vous avez manifesté, pour ce poème. Au plaisir de vous lire. Bien cordialement.
Bonjour, poète. J'ai plaisir à lire un sonnet. Celui-ci est un peu déroutant à plusieurs titres: d'abord le système des rimes plates que vous avez adopté pour les deux quatrains est très inhabituel, de même que les rimes embrassées des vers 11 à 14, ce qui équivaut à créer, de fait, une sorte de quatrain final constitué de la fin du premier tercet et de tout le second. Ensuite, vous n'allez pas trouver grâce aux dogmatiques qui ont la religion du Sorgel en refusant l'alternance systématique des rimes masculines et féminines. D'autres encore vous reprocheraient une prosodie qu'ils jugeraient hésitante, par exemple aux vers 7 et 8 ou même vous chercheraient noise pour le "e" muet du vers 4. Personnellement, je prends surtout du plaisir à apprécier une nouvelle fois l'usage qui peut encore être fait de cette forme, considérée par certains comme fossilisée et tout juste bonne à faire du "pseudo-Ronsard" ou du pastiche de Leconte de L'isle. Et il est vrai que votre sonnet a quelque chose d'un peu parnassien. Quelques "beaux vers", comme "Il rêve notre nuit, de sa puissante flamme"; on peut d'ailleurs se demander si ce vers, l'avant-dernier, ne pourrait pas être permuté avec le vers 14 pour clore plus en beauté (comme le voulait Banville) votre poème. Cordialement. Marc Laroche
L'art et la manière de rendre un splendide hommage à cet astre. C'est de toute beauté ! Merci Paul , je t'embrasse bien Amicalement
· Il y a plus de 4 ans ·marielesmots
Bonsoir marielesmots,
· Il y a plus de 4 ans ·je te remercie de ta lecture, de ton appréciation, de ta note, et de ton coup de cœur, qui me font un immense plaisir.
Mon commentaire à Jean-Baptiste, pourrait s'appliquer au tien, et le poète s'incline.
Je te remercie d'être une fidèle lectrice de mes poèmes, et, je te souhaite une bonne fin de journée dominicale, dans la Paix de l'Esprit, le Bonheur du Cœur, et le repos de l'Âme !
je t'embrasse bien amicalement.
Paul Stendhal
C.E. le dimanche 14/06/2020
Paul Stendhal
Un grand texte qui répond définitivement à la question entêtante de l'épistémologie : est-ce que le Soleil se lèvera demain ? Votre réponse poétique est meilleure que celle des arguments.
· Il y a plus de 10 ans ·jean-baptiste-machen
Bonsoir Jean-Baptiste,
· Il y a plus de 10 ans ·Comme vous le précisez avec une telle maestria, entre l'héliocentrisme Copernicien, et la philosophie Platonicienne, il y a fort heureusement, le mythe Orphique Camusien !
Je vous remercie sincèrement pour cet élogieux commentaire qui m'honore tant.
Au plaisir de vous lire.
Bien amicalement.
Paul Stendhal
Paul Stendhal
Comme c est beau.
· Il y a environ 11 ans ·Merci
Helene Bartholin
Bonjour à vous Doundoune,
· Il y a environ 11 ans ·Je vous remercie de votre très gentil commentaire.
Au plaisir de vous lire.
Bien cordialement.
Paul Stendhal
Paul Stendhal
Bonsoir Paul,
· Il y a environ 11 ans ·Me revoici après quelques péripéties pour me connecter !
Et c'est avec grand plaisir que je relis tes admirables textes.
Continues à nous charmer.
A bientôt. Bisous
Nicole
nilo
Bonjour Nicole,
· Il y a environ 11 ans ·Je suis bien heureux, de te retrouver ici !
C'est toujours avec joie que je lis tes commentaires.
Je constate que toi aussi, tu connais la famille péripétie ! ....... ;-)
Je te remercie de ta gentille visite et de ton coup de coeur !
Bien amicalement.
Bisous.
Paul Stendhal
Paul Stendhal
Bonsoir Colette,
· Il y a environ 11 ans ·Ce Seigneur des étoiles, en veillant sur notre âme, est bien le fils aîné de la Nature, et l'âme du monde !
Merci Colette pour ta gentille visite.
Au plaisir de te lire.
Bien amicalement.
Paul Stendhal
Paul Stendhal
Cet ange bienveillant qui veille sur notre âme! Merci pour ce beau sonnet!
· Il y a environ 11 ans ·Colette Bonnet Seigue
Bonjour Stephan,
· Il y a environ 11 ans ·Je te remercie de ton gentil commentaire et de tes visites, toujours sympathiques.
À bientôt de te lire.
Bien amicalement.
Paul Stendhal
Paul Stendhal
Bonjour Marc,
· Il y a environ 11 ans ·Voici bien là, un intéressant commentaire sur l'art de la prosodie, et je vous en remercie sincèrement. Nous pourrions disserter longuement sur l'art poétique français, et entre autre sur la codification du sonnet, mais bien vite le propos deviendrait fondamental, sérieux, très technique, et avouons-le quelque peu rébarbatif. Comme vous, j'aime cette forme de poème qu'est le sonnet, surtout je crois, pour la nécessaire concision qu'il impose. À l'instar de Théodore de Banville, que vous citez, il me plaît à vagabonder mon âme, entre le romantisme et le parnasse, en essayant d'y trouver un juste compromis, entre la lettre et son esprit;
"L'âme des voies du coeur,
Dame les voix du choeur,
D'une âme en oraison,
D'un coeur en pâmoison !"
© Paul Stendhal
Votre analyse sur la position du treizième vers est pertinente, mais il m'a paru plus éclatant de finir le quatorzième vers sur une note de lumière, de vie, plutôt que de le terminer par une note plus sombre évoquant la nuit. Mais j'en conviens, la disposition que vous évoquez, est également envisageable.
Quoi qu'il en soit, je vous remercie très sincèrement de l'intérêt que vous avez manifesté, pour ce poème.
Au plaisir de vous lire.
Bien cordialement.
Paul Stendhal
Paul Stendhal
Très joli sonnet dans le style romantique qui te sied à merveille. J'aime
· Il y a environ 11 ans ·Stéphan Mary
Bonjour, poète. J'ai plaisir à lire un sonnet. Celui-ci est un peu déroutant à plusieurs titres: d'abord le système des rimes plates que vous avez adopté pour les deux quatrains est très inhabituel, de même que les rimes embrassées des vers 11 à 14, ce qui équivaut à créer, de fait, une sorte de quatrain final constitué de la fin du premier tercet et de tout le second.
· Il y a environ 11 ans ·Ensuite, vous n'allez pas trouver grâce aux dogmatiques qui ont la religion du Sorgel en refusant l'alternance systématique des rimes masculines et féminines.
D'autres encore vous reprocheraient une prosodie qu'ils jugeraient hésitante, par exemple aux vers 7 et 8 ou même vous chercheraient noise pour le "e" muet du vers 4.
Personnellement, je prends surtout du plaisir à apprécier une nouvelle fois l'usage qui peut encore être fait de cette forme, considérée par certains comme fossilisée et tout juste bonne à faire du "pseudo-Ronsard" ou du pastiche de Leconte de L'isle. Et il est vrai que votre sonnet a quelque chose d'un peu parnassien. Quelques "beaux vers", comme "Il rêve notre nuit, de sa puissante flamme"; on peut d'ailleurs se demander si ce vers, l'avant-dernier, ne pourrait pas être permuté avec le vers 14 pour clore plus en beauté (comme le voulait Banville) votre poème.
Cordialement.
Marc Laroche
Marc Laroche