l'irrationnelle
drimakos
J'ai couru nue longtemps sur des lignes de fuite. Et les hommes se couchaient sous mon corps, prétendants allongés sur le lit du fakir: je leur ai ...
J'ai couru nue longtemps sur des lignes de fuite. Et les hommes se couchaient sous mon corps, prétendants allongés sur le lit du fakir: je leur ai ...
les mots sont nus, toujours. les mots pèsent renversés sur la balance : le poids de la mémoire morte; ils s'effacent, un doigt sali qui les inverse...
remords si retard de faire à l'envers les glaives réunis. j'ai usé allongé à l'arrière affligé à l'ombre des amis. un pas d'ombre, une autre féérie...
A l'aube du quatrième jour, M. se leva; il était temps de partir. Autour de lui, la lumière du dernier jour à naître commençait à salir...
Nous sommes les sans lieu, les premiers témoins d’un avenir de glace, et nous marchons sans fin vers d’hostiles contrées. Nul ne nous connaît vraim...
dans l’organon du temps amoureux chacun petit dévoré par son ombre sous les crêtes d’un corps doux combien de fleurs de signes combien d’orties ...