Tous nos amis sont morts et toi tu m'abandonnes
Pour aller chevaucher d'impudentes Gorgones
Des vierges impudiques au ventre foisonnant
Et de vieilles putains offertes aux passants
Tous nos amis sont morts et tels les grands faunes
Qui pillent sans vergogne le lit de leur royaume
Tu lutines gaiement d'aimables courtisanes
Et je vais en pleurant tandis que tu te damnes
Tous nos amis sont morts il me reste les livres
Et le pouvoir des mots qui parfois me délivre
Du remords
De n'avoir pas compris que l'étoffe des rêves
N'était que le haillon de cette nuit sans trêve
Qu'on appelle la mort
Très belle plume !
· Il y a plus de 2 ans ·Loxias
Mon Dieu , c'est un texte ancien ! Merci !
· Il y a plus de 2 ans ·Susanne Derève
surement , l'infidélité aussi !
· Il y a plus de 7 ans ·Susanne Derève
La jalousie est le poison de l'amour....
· Il y a plus de 7 ans ·Maud Garnier
Hell ! Très brutal sonnet qui cogne ! J'en aime l'émotion !
· Il y a presque 8 ans ·astrov
Merci de votre lecture ! Vivons passionnément !
· Il y a presque 8 ans ·Susanne Derève
c'est vrai pas un mot d'espoir ..mais l'amour est pardon
· Il y a presque 8 ans ·Susanne Derève
un poème très dur et très étonnant.
· Il y a presque 8 ans ·elisabetha
Merci, lectrice matinale ! Agréable week-end !
· Il y a presque 8 ans ·Susanne Derève
Beau poème, et j'aime beaucoup l'avatar !
· Il y a presque 8 ans ·"L'étoffe des rêves n'est que le haillon de cette nuit sans trêve ...
Louve