Cent heures
dechezlouis
Cent heures
Une écharpe au cou.
Leurre de cet or.
Ange de senteurs.
De cent heures à voler.
A voler des tunnels en sous-sol, sol solitaire.
A terre, miné.
Des Ailes dans nos armes,
Des larmes d'étain,
Scelle et sur ce lit,
Libère ce moi.
Du type au jour.
Né de ces verres.
Tige de rancœur.
Rang de cœurs, oublié.
Oublier les nuisances de ces pleurs.
Heurts arrachés.
Page et corps nés.
Des Ailes dans nos armes,
Des larmes d'étain,
Scelle et sur ce lit,
Lis, berce-moi.
Berce-moi les ans,
Nuits d'infortune.
Les ennuis d'un fort,
D'une faible esse qui se plie
Par le poids de nos sons.
Je me, tu t'accroches.
Tu te, jeux d'encoches.
Des Ailes dans nos armes,
Des larmes d'étain,
Scelle et sur ce lit,
Libère ce moi.
Du jeu du A,
Tsar de nos dés,
Ces nids tatoués dans ce drap.
Gonds emportés,
En portée de si,
Las sont les pas.
Senteur à voler…
Tous droits réservés à DechezLouis
Merci (un peu en retard...) pour les commentaires chaleureux. :)
· Il y a plus de 12 ans ·dechezlouis
c'est excellent !!!
· Il y a presque 13 ans ·janteloven-stephane-joye
C'est très musical à lire, chapeau ! cdc
· Il y a presque 13 ans ·Thierry Soria
J'aime beaucoup ce texte, bravo !
· Il y a presque 13 ans ·Eric Varon
Superbe musicalité, bravo à l'auteur et merci pour le partage Pascal
· Il y a presque 13 ans ·jb0
Merci à vous.
· Il y a presque 13 ans ·dechezlouis
Belle mélodie qui vous emporte au fil des mots détourné ! CDC
· Il y a presque 13 ans ·nilo
Des jeux de mots tout en finesse et une belle mélodie "gainsbourgienne"...bravo !!! CDC
· Il y a presque 13 ans ·Pascal Germanaud