Coup de Foudre à l'Indienne

stratos7777

Edmond Ward Elle est partie, c'est fini entre nous, je me sens...libéré.
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Vincent Belmont Qui ça ? Ca va tu tient le coup ?
Il y a 2 heures · J'aime 

Laura Lubella Oh mon chouuu, dis nous tou !
Il y a 2 heures · J'aime 

Edmond Ward On s'est rencontrés à New Delhi, durant l'été indien. Tout de suite, elle m'a adorée et elle me l'a fait comprendre. Je n'ai pas pu résister une seule seconde face à ses avances, son énergie était fabuleuse.

Dans la journée je devais embarquer avec mes compagnons de voyage dans un bus pour un long voyage pour le Cachemire, au nord du pays. Ça ne t'a pas posé un seul problème et sans hésiter, tu m'as suivi. C'était le véritable coup de foudre.Dans l'autobus tu étais avec moi. Sitôt que l'on s'arrêtait dans une aire ou un petit village, on filait aux toilettes publiques, aussi crasseuses soient-elles et on faisait ce qu'on avait à faire. À chaque fois je ressortais, transpirant, pour aller rejoindre mes amis et ils se doutaient que je l'avais fait. Parfois, ils ne pouvaient s'empêcher de rigoler tellement j'avais l'air exténué. Ces 28 heures de voyage en ta compagnie resteront gravées dans ma mémoire à jamais grâce à toi.Cependant, dès lors que nous étions au Cachemire, tu es devenue trop présente. Plus les jours passés et plus tu devenais insupportable à mes yeux. Tu me rendais malade. J'essayais de te faire fuir, de t'éloigner. Mais tu restais. Toujours.Les autres commençaient à s'inquiéter pour moi. J'avais perdu l'appétit, je n'avais plus d'énergie, je n'étais plus moi-même.On continuait pourtant à le faire dans les toilettes de notre minable chambre d'hôtel à 400 roupies mais, je n'avais aucun plaisir. C'était devenu une corvée. Cette situation me faisait chier. Vraiment chier.Un jour, tu es partie. Envolée sans rien laisser derrière toi, si ce n'est un souvenir impérissable.Tout est fini entre nous, j'espère que tu ne reviendras jamais. Malgré tout, je ne pourrais t'oublier. Toi, la tourista.

Dans la journée je devais embarquer avec mes compagnons de voyage dans un bus pour un long voyage pour le Cachemire, au nord du pays. Ça ne lui a pas posé un seul problème et sans hésiter, elle m'a suivi. C'était le véritable coup de foudre.
Dans l'autobus elle était avec moi. Sitôt que l'on s'arrêtait dans une aire ou un petit village, on filait aux toilettes publiques, aussi crasseuses soient-elles et on faisait ce qu'on avait à faire. À chaque fois je ressortais, transpirant, pour aller rejoindre mes amis et ils se doutaient que je l'avais fait. Parfois, ils ne pouvaient s'empêcher de rigoler tellement j'avais l'air exténué. Ces 28 heures de voyage en sa compagnie resteront gravées à jamais dans ma mémoire grâce à elle.
Cependant, dès lors que nous étions au Cachemire, elle est devenue trop présente. Plus les jours passés et plus elle devenait insupportable à mes yeux. Elle me rendait malade. J'essayais de la faire fuir, de l'éloigner. Mais elle restait, s'accrochait. Toujours plus fort. Les autres commençaient à s'inquiéter pour moi. J'avais perdu l'appétit, je n'avais plus d'énergie, je n'étais plus moi-même.
On continuait pourtant à le faire dans les toilettes de notre minable chambre d'hôtel à 250 roupies la nuit mais, je n'avais aucun plaisir. C'était devenu une corvée. Cette situation me faisait chier. Vraiment chier.

Un jour, elle est partie. Envolée sans rien laisser derrière, si ce n'est un souvenir impérissable.
Tout est fini entre nous, j'espère qu'elle ne reviendra jamais. Malgré tout, je ne pourrais l'oublier. La tourista.
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