INCANDESCENCE
mysterieuse
Exaltation des sens que son regard si brun, au contour de mes seins, et cette pertinence pour diriger mes reins.
Il harangue de ses charmes de mâle ténébreux, la moindre des parcelles de mon corps amoureux.
L’espace de ses sourires attachés au mystère de ma féminité, perpétue sans entrave, mes zones érogènes en vagues sismiques et sensuelles.
Autant de mots posés, lorsque je songe à lui, qui a su me trouver, faire œuvre de patience pour mieux me découvrir avant que de m’aimer.
Lui, dont les paumes puissantes savent étreindre mes hanches ou incendier mon ventre
Lui, dont la bouche gourmande sait enflammer mes lèvres ou faire jouir mon antre.
De ce désir vibrant, dont il aime, en douceur et généreuse complicité, éclabousser mon âme, envenimer mes charmes d’impudique charnelle, j’aime lui renvoyer en toute impunité cette fièvre insolente dont il m’a envoutée.
Alors sous l’arche de mes reins creusés par le plaisir, au cœur de mes verts iris s’égarant de trop de jouissance, il pose dans la magie de ces instants uniques, le regard amoureux d’un homme émerveillé par tant de volupté.
Chaque gémissement, chaque cri qu’il m’arrache et ces larmes de plaisir dont je voile la puissance, chacun de ces émois, alors lui appartient.
Mon corps pour expression, je ne suis plus qu’amoureuse déclaration. Oubliant dialectique et plaintes érotiques, jusqu’à perdre connaissance, je lui offre de la femme sa plus belle vertu, l’orgasme incontrôlables, l’extase du plaisir, le vertige affolant du lâcher prise intense.
J’aime la confusion de son esprit conquis par l’abondance d’images qui s’empare de lui, ce silence qui surgit de mes manques de souffle, du sang qui bat aux tempes, de mes cuisses frémissant de spasmes résiduels, de ma peau en alerte de la pudeur de ses tendresses.
Il me traite de diablesse, de sensuelle sorcière ; je ne suis qu’amoureuse, amante passionnée dont il a su trouver les codes érotiques de ses arcanes charnels
Beau texte en effet. Commentaire court, certes, mais réel.
· Il y a plus de 11 ans ·Choupette
Elisabetha , je crois qu'écrire fait partie de moi ...je ne prémédite jamais .le début écrit en vers était destiné, à une poésie ...et puis , et puis , les ouvenirs aidant , naquit incandescence .Merci à vous
· Il y a plus de 11 ans ·Paul, merci beaucoup , d'avoir pris ma défense et vous aussi Archange .vous m'avez donné l'occasion de sourire et de prendre notes de votre érudition linguistique et typographe ...Merci sincèrement à vous deux
mysterieuse
S'il a trouvé la clef de ton plaisir, tu lui offres un trésor qui le rend heureux plus qu'il ne peut l'imaginer.
· Il y a plus de 11 ans ·C'est une chance si rare !
wen
Re-bonjour Archange flippé,
· Il y a plus de 11 ans ·Merci pour cet échange courtois et instructif, et au moins je me coucherai moins ignorant ce soir que je ne l'étais ce matin !
Bien cordialement.
Paul Stendhal
Paul Stendhal
Bonjour Paul Stendhal,
· Il y a plus de 11 ans ·Si j'ai réagi, c'est justement à cause des " recommandations " à Mystérieuse. Je suis amplement d'accord avec vous sur " la critique est aisée... ". Sinon, juste pour le clin d'œil, en typographie " une espace " voire " une espace insécable " est bien du genre féminin. Quant à mon appréciation, le laconique CDC la résumait.
Bien cordialement.
Archange Flippé
Bonjour Archange flippé,
· Il y a plus de 11 ans ·Juste un détail : "espace" est un substantif du genre masculin dans tous les bons dictionnaires ! C'est une boutade, certes, mais comme l'a écrit Philippe Néricault Destouches dans le Glorieux, II, 5 « La critique est aisée et l’art est difficile. C'est là ce qui produit ce peuple de censeurs, et ce qui rétrécit les talents des auteurs.»
De grâce, il y a la lettre, et l'esprit de la lettre !
Un bien long commentaire de commentaire de votre part, mais une bien courte appréciation du texte de l'auteure !
À bientôt de vous lire.
Bien cordialement.
Paul Stendhal
Paul Stendhal
@elisabetha : Magnifique (majuscule en début de phrase) / Seule (remarque) / : (une espace avant, une espace après, pour les signes de ponctuation double) / dû (au lieu de " auriez du " ) / introduire (amener le début) / Ce (majuscule) / gens, (une virgule après " gens " et peut-être que le pluriel serait plus approprié pour " homme ou femme "). Sinon, autant ne pas dévoiler d'emblée la chute.
· Il y a plus de 11 ans ·Dans la partie expérience de votre profil : " créatrice d'une méthode d'initiation à l'écriture appelé méthode ", mieux vaudrait écrire :
" appelée ".
Archange Flippé
Bonsoir Mystérieuse,
· Il y a plus de 11 ans ·Un beau texte tout en pudeur, sur l'Amour et le don de soi au delà du corps !
Merci pour ce sensuel et incandescent partage.
Bien amicalement.
Paul Stendhal
Paul Stendhal
magnifique description de cette intense union. Seul remarque: vous auriez du amener le début. Par une ou deux phrases. ce que vous décrivez n'est pas offert à tout le monde. L'abandon n'est pas facile pour bien des gens homme ou femme.
· Il y a plus de 11 ans ·elisabetha
Une femme harpe CDC
· Il y a plus de 11 ans ·Archange Flippé