L'arsenic empoisonne deux ministères

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Article écrit par Madame Dauphiné Justine


La justice ne pourra en aucun cas se retourner comme une crêpe, sauf à demander au Ministère de la santé, d'assumer les menus autorisés sans ordonnance. Certaines frontières replongent dans l'ombre, le serment d'Hippocrate. La mort d'Emma, peut-elle justifier à elle seule, le laxisme, l'atmosphère du règne de certains laboratoires ou doit-elle conjurer le sort de certaines molécules l'ayant détruite.

Aussi incroyable que nécessaire, j'ai pu sans aucune feinte, aucune, trouver le produit qui aurait pu m'amener à être le calque de son autopsie. Heureuse d'être là encore parmi vous, je vous promets une suite à cet article, qui aurait pu être celui de ma mort.

L'amour nous contraint à oublier certaines réalités. Doit-on pour autant, être la première victime d'une académie aussi grande que celle des sciences.

Vivons notre époque, ces moyens d'investigation doivent lever le doute, le suicide et l'arsenic n'ont jamais fait bon ménage. Fréquenter une élite, lui a été fatal.

Etre volage n'est-il pas la résultante de la suprématie des patients, face à un environnement familial ?

Le crime est déguisé, seul le produit a été accessible, trouver qui  l'a substitué, demande à la justice d'être éclairée, ferme et définitive.

Les lois sont faites pour être digérées, modifiées, mais jamais pour fabriquer des morts. Aux assises, doivent arriver les témoins d'un non suicide. Les facultés de son mari assermenté, nous diront elles, la puissance réelle de ce poison ?

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