L'EFFET PLACEBO
suemai
plus qu'intéressant la désertion de mes quelques lecteurs concernant mes deux derniers textes. Ça me questionne sur mon "plaisir à écrire". Bien entendu, mon sujet, généralement, noir, tourne plutôt en rond. Pourtant, c'est justement là que j'aimerais des critiques constructives sur votre position, Ex : "ce texte ne me parle pas ou il est à des années lumières de mes engouements, de mon ressenti ou encore, ce texte est fade et sans intérêt etc."
Je crois en la dite critique constructive - celle qui nous permet de progresser. J'ai peut-être un exemple de cette réaction via (Patrick qui me balance des "::)", lorsque qu'il juge le texte inconsistant). Par contre, il ne prend pas le temps de développer : sûrement afin de ne pas me blesser ou rncore par paresse tout simplement^^. Pourtant, j'ai eu droit, lors de la publication d'un texte, ce propos "c'est ton meilleur texte Sophie" de sa part, il s'agissait d'une appréciation pointue, sans réelles explications, mais tenant compte de ce qui précède, d'une conséquente absence de "::)"
Voilà, c'est tout ce que j'ai à dire. Nos bisounours, que je suis la première à utiliser, me conforte dans un égo malsain : "me voilà de nouveau en tête d'affiche face à une écriture qu'on dit généralement fluide." À remarquer que je crois ce commentaire envisageable, mais ne menant nulle part.
Faisons donc de ce site une arène de commentaires qui peuvent être élogieux, mais qui mettent en relief ce qu'on perçoit vraiment. Que la vie serait profitable à notre émancipation!
J'attends, avec fébrilité, vos commentaires vis-à-vis cette réflexion, peut-être légèrement trop acide.
Bonjours (soirs) à tous et À +
À remarquer, que je parle de désertion, ce qui pourrait signifier que les textes sont justement à la dérive. Mais je ne le sais pas.
Je tombe sur ce texte au hasard.
· Il y a presque 4 ans ·Vous avez un talent certain pour l'écriture. N'attendez vous pas trop des lecteurs de ce site ?
Normalement c'est à vous que le texte doit parler en premier.
Et moi qui écrit peu je sens ceux qui ont un plus. Je le sais au moment où je couche les mots.
Je ne pense pas qu il y ait moins de lecteurs, mais la vie reprend son cours et on se connecte moins. Sans compter que ce site fonctionne mal.
Tentez de les faire lire à l extérieur du site également. Vous verrez que c'est très intéressant. Il n y a pas que WLW qui peut vous faire un retour ;)
Les réseaux sociaux ont leur limite malheureusement, mais ça n enlève rien à vos compétences.
Et vu votre niveau pour un retour constructif, c est un cercle littéraire avec lequel il faudrait échanger.
Belle journée a vous.
dentelles-rebelles
alô Dentelles-rebelles, merci pour ce commentaire. Oui, j’ai quelques lecteurs (trices) qui me soutiennent– par contre, je redoute fort de les revoir incessamment^^.
· Il y a presque 4 ans ·Les médias sociaux, ce n’est pas vraiment mon truc. Un comité de lecture… j’ai déjà tenté d’en constituer un, mais c’est peine perdue. Seules les couvertures à la brillantines plaquées du saint sceau portée par des : Flammarion, Grasset, Québec Amérique^^ et autres grands flambeaux de ‘l’allitérature’ – ceux qui flottent dans les rayons de nos bibliothèques persos, près à être "non-Lus", titres demeurant décoratifs sur planches aux boisées de palissandres lustrées – je m'inclus à cette envolée – demeurent enchanteresses.
je ne cours pas après les lecteurs, une seule critique constructive me suffirait. Malheureusement, la quantité l’emporte sur la qualité (entendre ici qualité au sens de ‘critique’). Tu es très gentille de m’apporter ton soutien et crois que j’apprécie toutes ces possibilités dont tu me parles. Bonne soirée à toi et A+
suemai
Je trouve juste que WLW est un des pire réseau social que je connaisse et qu il y a sûrement de meilleur espace pour avoir des retours constructifs. Par constructif, j entends qui parle de la construction et de la formulation.
· Il y a presque 4 ans ·Mais je ne doute en aucun cas que tu es des lecteurs fidèles. Tu as de très belles tournures de phrases et des textes magnifiques..
Il est vrai que quand quelqu'un fait des explications de textes sur nos propres textes c est surprenant et très intéressant. Je comprends ton besoin.
Belle soirée a toi également
dentelles-rebelles
alô Sophie, je crois que tu ne dois pas prendre ombrage de l'absence de commentaires. Il n'existe aucun contrat, ni même moral qui lie l'auteur d'un texte à ses lecteurs.
· Il y a presque 4 ans ·Donc, ne prends pas mal certains mutismes ou non-lectures.
Pour ma part, je me suis inscrite sur ce site avec l'espoir de critiques constructives pour m'aider à progresser dans mon exercice d'écriture. Or, la plupart des adhérents à ce site ne sont pas critiques littéraires. Moi-même, j'aime commenter un texte en fonction de ce qu'il évoque, des affinités "créatrices" avec d'autres personnes. J'apprécie un texte qui n'est peut-être pas très bon sur le plan littéraire, et inversement, je ne sais pas en apprécier un autre qui a une valeur inestimable sur le même plan. J'aime bien la remarque de Maud qui qualifie ce site de "bateau sans attache". Elle a raison. Je trouve que j'ai bien de la chance d'avoir quelques lecteurs, assidus ou pas, et à mon tour, de pouvoir lire et commenter, à ma façon.
Continue à écrire, Sophie. Fais-le aussi pour toi.
J'ai participé activement pendant trois ans à des concours d'écriture aux quatre coins de la France et je me suis aperçue que j'étais naïve sur le fonctionnement de la plupart desdits concours. J'en suis donc revenue, et ce site m'offre la meilleure alternative, en fin de compte. Je remercie au passage tous ceux qui me lisent pour leur bienveillance et leur gentillesse.
Voilà ! Bises, Sophie :)
Sy Lou
alô Lou, promis, je te lirai davantage^^. Ceci étant dit, je retiens un petit bout de commentaire qui me semble intéressant et me permet de te répondre. Critique littéraire - que signifie ce mot ? Il appartient à qui et pourquoi ? Bonne question s’il en est… faut-il suivre un cours ou même se doter d’une maitrise en je-ne-sais-quoi afin de devenir la source « et trop souvent asséchée » non-lieu du bavardage. Madame « je-lis-tout » se pose en juge, engagée par une gentille librairie devenue coqueluche du coin de la rue. Bon, elle critique et ce n’est pas une mauvaise chose. Elle critique comme plusieurs personnes « sans tampons universitaires » qui le font avec un naturelle instinctif. Mais, holà les moteurs, notre madame prend, soudainement, du pouvoir, elle diffuse même sur une chaine locale, ses paroles deviennent alors, les « toutes nouvelles » saintes écritures. Ouaf, le-pied-de-nez qu’on se prend si on ose contredire la reine ou poser sa propre critique…
· Il y a presque 4 ans ·des gourous il en existe des masses, attendant d’être élue au panthéon des Shéhérazade(s). Si elle aime un livre, c’est qu’il se vendra. Alors c’est quoi un navet ? (celui qui a pourtant passé les épreuves d’hercules). Oserais-je dire que l’infaillibilité (telle celle se vouant au christ) domine l’art de la séduction littéraire !!! Je dirai que le « gouroutisme » se meurt lentement. On aime un texte on dit pourquoi. Le critiquer, ce n’est pas un-pied-de-nez, c’est dire à l’auteur que, au monde des perfections, on peut toujours améliorer son écrit. On bâtit, créer sa propre structure « critique » Elle devient nécessaire et justement en opposition aux remarques suggérées : « « Il n'existe aucun contrat, ni même moral qui lie l'auteur d'un texte à ses lecteurs. » »
oups...
je crains que oui. Lorsqu’on publie un texte, il appartient au lecteur et c’est un devoir, si on le lit, d’apporter un avis éclairé, un commentaire qui saura dire tous les petits détails tant positifs que (proactifs). Ce sera mal vu au départ, mais lentement on en deviendra accroc. Huxley n’a pas le monopole du (meilleur des mondes) – tous les commentaires présents sur, mon petit article, parlent ou confirment les mêmes données. C’est utopique de croire qu’une graine puisse devenir une carotte ou bien : une délicieuse glace à la pistache^^? Je crains que le repli des troupes s’anticipe quelque peu. Les bras se baissent avec « finesse », mais se baisse.
on a un droit, une obligation, un devoir lorsqu’on écrit sur ce site. Faire ce que chacun attend de l’autre, un son de cloche retentissant. La vérité d’une perception qui s’enivre de mots qui parfois manque un peu de gaz, une petite poussée, un coup de « pousse » Attention, je ne parle que des textes qu’on lit et non de tous les textes. Et voilà Lou, je ne veux pas te blesser, mais je crois fermement qu’on pourrait se former à l’art de la critique en le pratiquant. Une dernière chose, ce n’est pas pour m’attirer des lecteurs que j’ai rédigé ce quasi-plaidoyer, plutôt, comme je l’écris plus haut et plus bas, comme une réflexion, issue possiblement d’un sentiment d’abandon, mais qui s’est transformé en autre chose et j’espère en une certaine prise de conscience. Cessons de chercher la terre promise, on s’y trouve déjà - Un gros + à toi
p.s. créer son coin de paradis… !
suemai
j'ai des gros problèmes sur le site, et pas de possibilité de publier pour l'instant, ce qui change peu de choses, tant mes lecteurs se compte sur les doigts d'une main.... Tu sais que je te lis toujours, et je le dis quand c'est trop noir pour moi. J'ai quelques petites publications dans des revues multi-auteurs et ça suffit à mon égo... toi aussi tu as des publications dont tu ne parles pas....Je parle de certains contes que je n'ai pas encore lu... Il faut se faire à l'idée que malgré les réseaux dits "sociaux" tout le monde est individualiste, et ne pas attendre des gens beaucoup de reconnaissance... Je regrette l'avant de ce site ou il existait une réelle interaction entre auteurs ou on se répondait de textes en textes... ils ont fait leur route, je les vois ailleurs... ce site est un bateau sans attache et qui dérive un peu... Certains s'évaporent... il est difficile de pourvoir commenter avec les problèmes récurrents de connexion et de publication.. Je t'embrasse fort
· Il y a presque 4 ans ·Maud Garnier
enfin, je peux te répondre, Maud. je crois que tu résumes bien les capacités de ce site. Être satisfait… oui un concept envisageable. Mais il tend à plus, non pas en égo narcissique, mais en écrivain qi a des choses à dire et à redire. L'égo positif existe bien. c'est à chacun de le gérer de bonne manière. Plusieurs y arrivent. Ton envie de publier en solo, de paratager tes idées, tes meurtrissurews, tes désirs, tes peines -+ tout ça fait partie de ta personnalité saNS Q
· Il y a presque 4 ans ·suemai
Alô toi, Revenons à la question technique. Tu as raison nous sommes bloqués par les "bugs" du système. On pourrait pousser cette administration fantôme à augmenter la "bande passante" faisant valoir "la mission de cette entreprise" Tu parles du passé et d'une certaine magie - du moins celle qui semblait t'animer. Pourquoi ne revient-elle pas. À se croiser les bras, on se dilue complètement, on perd la flamme. Donc, vendons-nous au sens bien du terme. Si un site d'écriture correspond au désir de nouveaux membres ou d’actuels membres endormis - bien je crois en une nouvelle mission. Relever le drapeau et offrir une structure qui, sans devenir écrasante, fournie des outils permettant d'y voir plus clair dans ce qu'on écrit. On ne peut s'évaluer - c'est impossible - alors offrons-le et on nous l'offrira par la suite. Une balance juste dans un feedback juste. Naturellement, tout cela suppose une action planifiée. Je crois que, les jalons à gravir afin d’opérer ces changements sont atteignables et à moyen terme. On se forge un univers à nos besoins. Maud, d'en vouloir davantage ne pousse pas à l'alimentation d'égo-négatif, mais à l'inverse je crois. Le pouvoir des mots propulsé par de multiples manières et pourquoi pas : les nouveaux embryons de d’un site, à vocation équilibrée. Voilà possiblement, un véritable conte de fée, une utopie, une démission devant cette action, pcq, nous nous satisfaisons de ce qu’on nous offre au quotidien "désirs en veilleuse" de toucher le monde avec nos mots…. Voilà : c'est là le gros morceau. Au fait, la "non lecture"de mes textes, n'a servie que du point de départ à cette réflexion, et non d'un découragement ou d’une frustration A+ Maud
· Il y a presque 4 ans ·suemai
En lisant un texte, première impression: cela me touche, ou pas. Puis oui, réflexion et relecture. Ou bien simple (et bénéfique) émotion. Le commentaire peut être bref si crée par l'émotion seule: J'aime, j'aime mais... Ou plus étendu, le commentaire, toujours constructif .
· Il y a presque 4 ans ·Je lis beaucoup de textes sur WLW, en essayant de suivre la méthode précitée !
Quand on lit mes mots, bien sûr,ça me touche, et le commentaire compte fort.
Suemai, je lis toujours tes mots, textes et haïkus (forme d'écriture dont je suis très épris), et je les commente selon mes goûts, ressentis , et mon instinct !
"Ouvrir le matin
Ma boite à mots qui s'éveille
Le choix vient du coeur"
astrov
je saisis bien ton propos. Ce qui est suffit et pourquoi chercher autre chose. Mais si on se projette un cran plus haut, ta méthode et celle de tous, que se passe-t-il - sinon de pouvoir se donner une capacité supplémentaire, capacité que tous auront - la capacité d'une sorte d'élévation, une réponse sincère et bien articulée. De ceci émergera un + d'une puissance inimaginable. On lit roman sur roman et on peut cesser de lire, critiquer verbalement le pourquoi de cette position. L'inverse s'avère tout aussi vrai, le roman te séduit et tu demeures admirative, comme un arrière gout de jouissance émotive. Je sais, je vais loin, mais je crois la chose possible. Devenons ce qu'on écrit
· Il y a presque 4 ans ·suemai
Et je veux ajouter en accord avec Daniel, que certains ne lisent pas les textes des autres, à croire que rien ne leur convient sauf ce qu'ils écrivent...
· Il y a presque 4 ans ·Louve
Chuis bien d'accord, Louve ! Certains ne lisent pas. Sans doute ont-ils appris à écrire. Pas à lire. Problème de CM2 peut-être. Belle journée à toi (et ta meute) !
· Il y a presque 4 ans ·astrov
Louve et Astrov, je suis bien d'accord avec vous deux ;-) je vous fais des bisous
· Il y a presque 4 ans ·Maud Garnier
alô Maud, je vais lire ce que tu écris plus haut. J'entends comme une espèce d'écho à mes propos ++
· Il y a presque 4 ans ·suemai
oui Louve, et j'ajoute, lire l'autre devient le plus grand cadeau qu'on puisse s'offrir - que peu s'offrir la communauté. Lire l'autre c'est se lire soi-même, c'est un acte d'une grande force communautaire
· Il y a presque 4 ans ·suemai
Je mets de moins en moins de textes, mais je continue à en lire, à apprécier certains. Lorsqu'un texte me plaît, je fais un commentaire sans m'occuper si l'auteur a déjà lu les miens. Gros becs Sue !!
· Il y a presque 4 ans ·Louve
alô Martine, oui avec Marielesmots, tu es aussi gardienne de ce temple. Mais si on pouvait donner un feedback plus pointue au texte qu'on lit, "ce serait (pour le commenté", d'une grande préciosité. Des mots qui suggèrent et qui motivent. Sans sombrer dans le "pudding" des équarisseur pour tous, le mitoyen me semblerait si motivant, comme une bouffée d'air frais, une envie de s'ajuster. Passer le temps- je n'y crois pas - un texte livre nécessairement un message qu'on doit capter et éventuellement améliorer
· Il y a presque 4 ans ·suemai
Un commentaire n'est qu'un commentaire et peut signifier, j'ai lu, j'ai aimé ou pas. Une critique par contre et en effet, se doit d'être étayée.
· Il y a presque 4 ans ·daniel-m
merci pour cet échange Daniel - ta position est très clair et je la respecte A+
· Il y a presque 4 ans ·suemai
Bonjour. Je suis un piètre auteur et un lecteur pressé je l'avoue ! :o) Mon gout pour l'écriture m'est venu ou revenu après un séjour de 14 années sur un site d'avis de consommateurs aujourd'hui disparu (Ciao.fr) où la qualité de rédaction était un critère important. On y parlait, on décrivait, on critiquait et surtout on y donnait son avis. Sur WLW (qui est un site que je trouve bizarre puisque sa vitrine est visiblement mensongère) j'ai bien compris le côté "je joue avec les mots", "je délire avec mon écriture", "j'en fais une tonne avec le talent que je me concède" etc ... Bref, je comprends, chacun son kiffe, chacun son truc. A chacun aussi de faire du site ce qu'il en veut. Ce qui me sidère, et c'est là que je te rejoins, c'est le pourcentage de gens qui publient leurs élucubrations dans le seul but du "lisez moi !", sans jamais consulter les pages des autres membres. Perso je suis là depuis un petit moment et il y a des auteurs qui me gonflent et que je ne lis plus et puis il en est une poignée d'autres que je me réjouis de lire régulièrement parce que j'aime leur style, leur imagination et puis qu'ils viennent aussi me lire lorsque je publie une bafouille, ce qui devient rare, puisque mon gout pour l'écriture "acrobatique" si je puis dire, m'a totalement quitté. Pour conclure et pour paraphraser notre premier ministre, "les réseaux sociaux ne sont au final, pas très sociaux" ! :o)
· Il y a presque 4 ans ·daniel-m
Avis analogue sinon identique à celui de Daniel-m et pertinences de votre développement ... quant à moi je ne fais que me divertir en couchant ici quelques essais plus ou moins heureux pour le lecteur éventuel, mais toujours heureux pour moi Bonne journée
· Il y a presque 4 ans ·scribleruss
alô Daniel, commentaire bien étoffé. Brillante et concise réflexion. Oui effectivement, ce site nous propose le langage "bisounours" et ça me peine… Par contre, si on arrivait à en faire autre chose qu'un éventail de (je te lis tu me lis -- écrivains-lecteurs), soit, une pléthore de cette course à qui me lira le plus, ce serait génial. Je cite un exemple : prenons « Short Édition », on propose, on affiche et on se bat », à grands coups de votes à conquérir. Voilà. Qu’est-ce que le littéraire je vous le demande? Daniel, tu te positionnes en ce que je nommerais un (écriveux), mais tu écris et peu importe la critique que tu poses ici, à ton égard, et, du coup, à tes lecteurs, pourquoi se questionner, alors que « l’autre-le lecteur » peut accomplir son job et selon une petite grille qui lui permettrait de bien cerner un texte et de le critiquer à sa juste valeur. Critères simples : fond et forme. Il existe des sites du genre, je les nomme des (casse-tout) et c’est difficile de s’y frotter au point de craindre de se faire totalement démolir et de douter de sa valeur. Pas jojo même si au finale on tente le coup. Sans sombrer dans l’excessif, WLW pourrait se distancier de ces « vendeurs de bouts de papier » sous prétexte qu’ils désirent une plus grande affluence et ainsi, augmenter leur cote de lecture. les profits. En terme marketing c’est louable, en terme artistique, c’est une véritable hécatombe, c’est nul. Mais Daniel, que cherche-t-on, que désirons-nous au final : un bec-bisou ou câlin ? Ça me semble peu - pour tant de travail. De plus n’oublions pas que, plusieurs, sinon la totalité d’entre-nous écrivons des textes destinés à des maisons d’éditions dites « sérieuses. » Lorsque vous écrivez un texte sur cette plateforme, vous cliquez sur un petit bouton s’appelant « publier » tout au bas – donc on vous a publié. Alors, vous devenez, du coup, des écrivains et sans conteste.
· Il y a presque 4 ans ·Bien, je vais me centrer sur ma production. Évidemment, j’attendais une plus grande affluence sur mes derniers textes. Je frustrais en silence. Puis, je me suis posée cette question fondamentale : « Qu’est-ce que je recherche ou attends? » Delà ma réflexion en réaction à ma frustration. Voyez, je prends s le risque de perdre ma cote d’écoute. Subitement et dans l’angoisse j’ai eu une révélation : le Christ est parmi nous… « Mais non je blague. » On se demande ce qu’on désire : une courbette n’est révélatrice de quoique ce soit. Je vais republier un ou deux textes datant d’avant ma « période noire » – des textes anciens. Normalement, il y aurait foule pour apprécier. On verra la suite^^. On n’aime pas particulièrement les esprits échauffés, les « ceuses » qui dérangent, qui embrouillent les habitudes enfin tout quoi….
Je te donne un son de cloche constructif et tu me le rends. Voilà qui me semble fort utile, afin d’orienter nos jardins secrets. Bien, je m’éparpille et j’en suis consciente. Je tiens à préciser que, avec quiconque j’ai eu des rapports plus intimes, par exemple par messagerie ou mèl, ce discours ne change en rien tout ce que j’ai pu échanger, penser, éprouver et répondre. Ces confidences me sont très précieuses. Daniel j’espère répondre en parties à ta réflexion. Alors + à tous
suemai
Merci pour cette longue réponse. En fait je me questionne vraiment depuis un moment sur l’intérêt de ce site (WLW). Il n'y a rien qui y fonctionne vraiment, sauf la publication, il n'y a aucune modération, aucune carotte ... ? J'ai été sur Ciao pendant quatorze ans et le site c'est autodétruit par la fraude puisque l'on pouvait y gagner un peu d'argent. Je suis allé voir sur oniris.be, c'était trop prise de tête, je suis allé sur short édition, là bas c'est la guerre (lol), je suis allé sur WLW et le seul truc positif ici c'est que l'on peut publier ce que l'on veut avec comme seul résultat des violons ou des missiles ! En fait, je pense et je l'ai je crois déjà dit dans une de mes bafouilles, Internet est un gros miroir aux alouettes et les réseaux sociaux également. Je pense, mais ce n'est que mon avis, que pour une personne dont la vocation est vraiment l'écriture, elle a tout intérêt à suivre la procédure traditionnelle d'avant l'Internet à savoir, démarcher les éditeurs avec du matos. En ce qui me concerne, je crois que je suis encore là juste par habitude car je termine mes soirées devant l'ordi pour ne pas moisir devant la télé (14 ans de Ciao, ça marque , rire !). mais c'est vrai qu'aujourd'hui mes centres d’intérêts sont vraiment ailleurs. A +++
· Il y a presque 4 ans ·daniel-m