Nouvelle Expresse.

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CHAPITRE III

Elisabeth était dans une sale position, la pauvre. Très mauvaise, la position, la très pauvre. Son dos lui faisait mal, à cause de la lame d'acier qui tentait de s'enfoncer dans ses côtes premières. Elle était suspendue par des liens qui se distendaient imperceptiblement à chaque mouvement imperceptible de son corps perfectible en poinçonnant irrémédiablement  ses chaires de la lame du couteau positionnée perpendiculairement à son dos, poil au dos. Pour l'instant la peau élastique résistait encore à la pression, mais pour combien de temps encore… eh, on n'a pas toute la nuit à passer là-dessus, non plus, on fait dans les sévices rapides à domicile… bientôt, elle céderait et la lame s'enfoncerait comme dans de la margarine, elle avait oublié de racheter du beurre à la supérette en face de chez elle.

Oui ! Je sais ! Je n'ai pas écrit le Chapitre Deux, il ne s'y passait pas grand-chose, on se faisait franchement chier ! Quant au Chapitre Premier, c'était pire, des descriptions à longueur de feuilles mortes. Cent pages pour décrire un coquelicot dansant dans le vent matinal de nos émotions éphémères à la contemplation des grâces de la Nature. De grâce, pitié ! Je vous ai épargné cela par mansuétude laïque.

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ÉPILOGUE

Roland est mort ! Il l'avait bien cherché aussi, en trompant Roger avec Robert à Roncevaux !

FIN

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Critique de la presse littéraire, libertaire et monarchique.

Le dernier livre de l'auteur dans le vent, décoiffe, comme à son habitude, il nous fait plonger dans ses urines troubles et quelque peu malsaines, mais potables néanmoins, parait-il du moins. Ceci dit, il faut avoir grand soif  pour s'en abreuver à la source !

Nous vous recommandons chaudement l'achat de son dernier Opus. Non, rassurez-vous ! Il n'est pas utile de le lire, l'acheter suffira amplement !

Merci pour lui et sa famille nécessiteuse qui passera ce réveillon de la Saint Felis Silvetris attablée devant une boite de bouffe pour chats.