Paradis perdu

Marie Benoit

Un soleil rougeoyant se couchant sur la mer.

Des arbres exotiques dont le feuillage est vert.

Du sable brûlant et un ciel rouge sang.

Pas de vent, rien que la brise, tourbillonnant.

Des fruits de mille couleurs, mille saveurs,

Tout comme les champs, pleins de fougères et de fleurs.

Des senteurs enchanteresses, douces et sucrées…

Le Bonheur est là, il suffit de regarder.

De grandes plaines, des montagnes et des vallées.

Des ruisseaux, des lacs, des torrents et l’océan.

Pourquoi ne serait-ce qu’un doux rêve d’enfant ?

Ce Paradis oublié est songe volé.

C’est ma terre perdue, admirez maintenant,

La beauté contenue, jusqu’à la fin des temps.

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