Popol a le blues

"Papa et papa, j’ai quelque chose à vous dire... voila je suis hétéro"

La dernière fois, pendant que j’arbitrais une course de lapins, j’ai commencé a réfléchir sur ma prochaine nouvelle (oui la course était bien chiante), je me suis donc décider d'arrêter d’écrire des niaiseries pas possible du genre "Les lapins roses sont plus intelligent que les pingouins albinos" et revenir dans un style un peu plus classique, littéraire, bien emmerdant quoi. C’est donc pourquoi je me tourne exceptionnellement vers un sujet d’actualité, un sujet qui me tient à cœur et que je n’ai pas pu traiter jusqu'à présent "Peut-on tirer des flèches avec l’arch de triomphe ?" Non ça c’est pour déconner, le sujet que je vais tenter de traiter aujourd’hui sans, je l’éspere du moins, déviation ni digréssion, est celui de l’homoparentalité. Ce qui m’a amené a un autre sujet, l’homosexualité, ce même sujet qui en a ramené un autre qui est la sexualité en général, ce qui m’a conduit à autre sujet, sujet que j’ai d’ailleurs oublier car je conduisais (pour de vrai, je veux dire une voiture), ainsi alors que j’évitais un bus au moment précis ou mon délire créatif arrivait à son paroxysme, ben j’ai tout perdu. Alors parlons en de la sexualité, ou plutôt de l’orientation sexuel.

Car oui il faut le dire, choisir c’est dur. Au XV siècles personnes ne connaissait ce problème, ces gens ne savaient pas la chance qu’ils avaient, car Bérengère avait dés l’age de quinze ans épousé le fils du curé du village, sans se poser trop de question, vite fait bien fait, le tout bien emballé et, bientôt, niqué. Bérengère n’a pas eu le temps de comprendre ce qui lui arrivait, ni le temps de commencer à avoir des vues sur Joséphine la fille du vicaire, ou pire sur le cheval de Joséphine ! Dieu merci le massacre fut éviter !

Hétéro, homo, bi, scato... J’en passe et des meilleurs, parce que choix il y a ! Mais que choisir ? Impossible de s’offrir le dernier numéro du Guide du queutard ! Choisir sa preference !  Non, non et non ! Rien de tout cela ! Quel monde tout de même.

Mais comme disait un grand homme "Ce n'est un problème qui si tu as la solution" (par grand homme je veux dire mon père, et par disait je veux dire qu’il vient de me le crier à l’instant, mon erreur ? Lui avoir dit qu’il y avait une fuite dans ma salle de bain...) Alors mes amis ne cédez pas à l’hysterie car solution(s) j’ai ! (Moi Tarzant, toi Jane). Cette solution s’appel l’expérience.

Et oui, c’est con hein ? Et pourtant... Maintenant oui je sais, vous étes sceptique, moi aussi je l’etais, mais essayez d’abord le jeu en vaut la chandelle. Vous n’aimerez pas tout, je ne vous le cache pas, mais au moins vous pourrez trouver votre voix, après que vous ayez découvert que vous n’aimez pas la sodomie (ou peut être que oui), que vous n’aimez pas le fétichisme (ou peut etre que si), que vous n’aimez pas ce truc ou un mec vous étrangle pendant qu’un âne vous chie dessus (si vous aimez, consultez, c’est pour votre bien), et ainsi vous trouverez LA pratique sexuel qui vous convient.

Mais au fond, qu’importe votre sexe, votre sexualité, que vous aimez tremper votre biscotte dans une blonde à forte poitrine, ou que vous préférez emprunter le sentier boueux d’un beau black bien gaulé rencontré sur Meetic, dites-vous qu’au fond on est tous pareils. Sauf moi je suis un peu au dessus... Bisouilles !