Quel beau voyage que celui de la vie, facétie du bonheur, mais aussi des pires atrocités. Vécue au plus profond d'elle-même, notre âme en est à la fois l'acteur et la victime. Quel drôle de long pèlerinage à travers le temps, qui est à la fois trop court et inlassablement interminable. Que de joies peuvent nous apporter les féeries de ce monde, mais combien de cruautés impitoyables nous sanctionnent ! Quelle est donc cette main qui n'en cesse de nous bien châtier ? Pourquoi ce tribunal infernal, qui n'en cesse de frapper ? A quel jeu s'amuse-t'on donc ? Je ne sais guère quelle saveur a la vie, pour en avoir un pied dedans et l'autre je ne sais où. Mais pourquoi chercher à le trouver ? Car après tout, dans cet autre théâtre où il s'est perdu, au plus profond d'un abîme imaginaire, le jugement de la Nature est-il peut-être plus indulgent ; et cet abîme conduit sûrement vers un autre chemin, mais qui finit, qui sait, par aboutir en laissant choir tout espoir, et indéfectiblement, nous remontons sur les planches, car ce cycle infernal qui n'en cesse de tourner, ne laisse point s'égarer ses brebis, qui dans un commun aboutissement, terminent leur périple dans le mystère des temps. Si ce voyage fut long et court à la fois, l'homme dans sa plus fière dignité, passe la ligne d'arrivée empli de désarroi. Mais finalement, on peut se demander avec un soupçon de mélancolie et de suspicion, quel fut le vainqueur, si vainqueur il y a, car après tout n'est-ce pas que rêve et frénésie que tout cela ? Je ne sais plus, car dans un accès furtif, irrémédiablement, la vie me rappelle ; les rideaux se referment sur la scène. Enfin la surprise de découvrir de nouveaux horizons prometteurs, mais prometteurs de quoi ? Quel manège chavirant, quel cercle interminable, quel dédale sans fin. J'en veux sortir, mais, mais oui, je ne rêve plus. Rayonnant au fond de ce décor truqué, dans une lumière blanche éblouissante, j'aperçois le Soleil, symbole de vie, entité ancestrale. Quelle féerie ; c'est simplement si beau la vie. Quelle splendide aventure que celle de l'existence, pour laquelle maintenant je n'hésite plus à faire partie. Au revoir, bon voyage Monsieur… !
Merci de ton pertinent commentaire. Tu as raison, il n'y a que la route, et chacun y choisit son côté, parfois consciemment, parfois sans l'avoir souhaité ! Le choix nous appartient, mais la justice et le bonheur, ont-ils un prix ? Sûrement celui du coeur !
Il n'y a pas de bon et mauvais côté de la route...c'est une illusion. Comme il n'y a pas de pauvres d'esprit mais des simples d'esprit...dans le sens qu'ils n'ont pas l'esprit "tordus". "les premiers seront les derniers, et les derniers seront les premiers !" Mieux que ça...les mauvais seront éliminés et seul les bons resteront...faut il faire un choix?
J'aime bien cette idée que vous exposez, celle des riches de coeur, et pauvres d'esprit, car comme il est dit, les premiers seront les derniers, et les derniers seront les premiers ! Par contre il me tient d'apporter une grande nuance, entre la vie de la Nature sauvage, et la guerre des Hommes, car si les uns tuent pour se nourrir, les autres tuent pour leur pouvoir, celui de l'argent, en instaurant leur hégémonie. Merci de votre commentaire, à mon texte. Au plaisir de vous lire. Amicalement.
une féérie pour ceux qui sont né sur le bon côté de la route, j'ai connu les deux côtés , j'ai eu le temps et la féérie des pauvres fait sortir les caméras des nantis qui viennent visiter... et ça fait de belles images de guerres, tout comme la nature sauvage...
Tout est resume dans votre phrase : "Quelle feerie ; c'est si beau la vie!"La vie c'est celle qu'on vit qu'on reve et celle ou realise ses reves!!!Merci pour ces belles paroles
Bonsoir Enki,
· Il y a presque 13 ans ·Merci de ton pertinent commentaire.
Tu as raison, il n'y a que la route, et chacun y choisit son côté, parfois consciemment, parfois sans l'avoir souhaité !
Le choix nous appartient, mais la justice et le bonheur, ont-ils un prix ?
Sûrement celui du coeur !
Bien amicalement.
Paul Stendhal
Paul Stendhal
Il n'y a pas de bon et mauvais côté de la route...c'est une illusion. Comme il n'y a pas de pauvres d'esprit mais des simples d'esprit...dans le sens qu'ils n'ont pas l'esprit "tordus".
· Il y a presque 13 ans ·"les premiers seront les derniers, et les derniers seront les premiers !" Mieux que ça...les mauvais seront éliminés et seul les bons resteront...faut il faire un choix?
enki
Bonsoir Pawel,
· Il y a presque 13 ans ·Je vous remercie de votre gentil commentaire, qui me touche sincèrement.
Merci à vous, vraiment.
Bien amicalement.
Paul Stendhal
Paul Stendhal
chaque réponse doit être une poésie, ces deux là l'on bien compris ... Le sage? Coyote...
· Il y a presque 13 ans ·Pawel Reklewski
Bonjour Michèle,
· Il y a presque 13 ans ·Quand les rêves fêtent la vie,
Et que la vie, chante les rêves,
Alors ces rêves comblent la vie,
De cette vie, faite de rêves !
Merci à toi de tous ces gentils commentaires, que tu n’oublies jamais de déposer sur mes poèmes.
Tendres bises.
Paul Stendhal
Paul Stendhal
Bonsoir Paul,
· Il y a presque 13 ans ·le rêve reste féériquement plus accessible que la "belle vie".
Et une vie ne peut être belle, si elle n'ouvre pas la porte sur le jardin des rêves.
Un texte qui ramène à l'essentiel sans se poser des questions existentielles, auxquelles toute une vie ne suffirait pas à donner de réponses.
Bises et au plaisir de te lire.
Michele Hardenne
Bonjour Pawel,
· Il y a presque 13 ans ·J'aime bien cette idée que vous exposez, celle des riches de coeur, et pauvres d'esprit, car comme il est dit, les premiers seront les derniers, et les derniers seront les premiers !
Par contre il me tient d'apporter une grande nuance, entre la vie de la Nature sauvage, et la guerre des Hommes, car si les uns tuent pour se nourrir, les autres tuent pour leur pouvoir, celui de l'argent, en instaurant leur hégémonie.
Merci de votre commentaire, à mon texte.
Au plaisir de vous lire.
Amicalement.
Paul Stendhal
Paul Stendhal
une féérie pour ceux qui sont né sur le bon côté de la route, j'ai connu les deux côtés , j'ai eu le temps et la féérie des pauvres fait sortir les caméras des nantis qui viennent visiter... et ça fait de belles images de guerres, tout comme la nature sauvage...
· Il y a presque 13 ans ·Pawel Reklewski
Merci Mystéria, vous êtes vraiment si sympathique, et vos textes, d'une vraie qualité !
· Il y a presque 13 ans ·Bien amicalement.
Paul Stendhal
Paul Stendhal
c'est beau, c'est beau la viiie! moi je dis OUI!
· Il y a presque 13 ans ·Karine Géhin
Bonsoir Sweety, et merci à vous de votre gentil commentaire.
· Il y a presque 13 ans ·Bien amicalement.
Paul Stendhal
Paul Stendhal
Merci à vous, P'tit coeur guéri.
· Il y a presque 13 ans ·Amicalement.
Paul Stendhal
Paul Stendhal
Tout est resume dans votre phrase : "Quelle feerie ; c'est si beau la vie!"La vie c'est celle qu'on vit qu'on reve et celle ou realise ses reves!!!Merci pour ces belles paroles
· Il y a presque 13 ans ·Sweety
Merci la vie. Et merci pour ce voyage.
· Il y a presque 13 ans ·Pseudo Pseudo
Bonsoir Enki,
· Il y a presque 13 ans ·La vie n'est elle pas comme un voile déchiré ?
Merci à vous, de votre commentaire.
Paul Stendhal
Paul Stendhal
La vie est belle...dommage qu'il y soit mis un voile dessus...du rêve à la réalité...de l'illusion à la vérité.
· Il y a presque 13 ans ·enki
Bonsoir Colette Bonnet-Seigue,
· Il y a presque 13 ans ·La vie, est ainsi, et elle est un cadeau !
Alors, il ne tient qu'à nous, de la faire briller.
Merci à vous de votre gentil commentaire.
Paul Stendhal
Paul Stendhal