Bas côtelés sur bas-côté.
Olivier Sun7
Bas côtelés sur bas-côté.
(Extrait de 'Un rouge un peu trop raide - Partie II La parisienne" Roman en finition)
Il paraît que c’est en faisant du stop et à la rapidité à laquelle on est prise que l’on juge le côté bonnasse d’une nana, m’a toujours dit mon crétin de frère…J’en déduis quoi là ? je tombe en panne et le temps d’envoyer se faire foutre la terre entière, de comprendre que si je descends de la voiture, je serai plus au soleil que dans un four, qu’il est temps de tendre le pouce soit quoi … Une minute et me voilà de nouveau en circulation. Là ,franchement je dois être une super bonnasse de bonnet D, mais alors qu’est ce que fait une super bonnasse dans une telle situation ? remarque c’est ça les bonnasses ! c’est toujours avec des gros cons…Si j’avais été une femme classe et bien sous tous rapports… Ça m’a toujours fait marrer cette expression, bien sous tous rapports… Quand tu regardes ceux à qui cela s’adresse, tu n’as pas de difficulté à imaginer qu’ils le sont, vraiment ça saute aux yeux ! Non, l’énigme vient plutôt du mot rapport les concernant... Tu as beau imaginer, tenter de concevoir… Quand ça ne bande pas ça ne bande pas … Bref, de bons rapports et de bonnes manières, j’aurais dit à ce pauvre type « non merci pour votre aide mais avec ma carte Master Gold mon assurance m’envoie un hélicoptère » et j’aurai évité le boulet. Mais non, je suis trop habituellement en taille basse pour être crédible et trop naïve surtout, même si aujourd’hui c’est ma mini-jupe qui me fait sûrement défaut ! et puis merde, non je ne suis pas naïve, je suis juste pleine d’espoir sur les hommes depuis facilement dix ans et ça commence à me gonfler ça ! Remarque avec lui l’espoir a vite cédé place à la prière, je fus convaincue en un sourire. Je ne sais pas si cela venait de ses yeux qui à eux deux formaient à peine un œil terne, d’un bleu des plus délavés avec les cheveux qui vont avec…Les jaunes pisseux qui poussent toujours sur une peau rosâtre et transpirante au parfum de tabac froid que l’on couvre d’une chemise en jeans et d’un 501 serré.
-Excusez-moi j’étais dans mes pensées, vous disiez quoi ?
-Vous ressemblez trop à mon ex !
-Ah ouai !?
Putain mais qu’est ce qu’il me dit ce gros con ! et moi là !!!! je m’énerve de ne jamais savoir quoi répondre à ces gros lourds !
Son ex ! non mais j’hallucine… Genre le gars, il se serait tapé une nana comme moi !… Putain moi je ne pourrais pas …Rien que de penser à le voir à poi…
-Elle était coiffeuse !
-Ah ouai !?
-Et vous vous faites quoi… À part tomber en panne ?
« Bah moi j’ai raté mon C.A.P. de coiffeuse alors j’écarte les cuisses tous les soirs sur la scène d’une boîte à partouze, histoire de lier mon esprit artistique à mon goût pour le fric » jamais j’aurais pu lui dire ça ! c’est fou quand même, je le pense mais ne peux lui dire ... Je ne sais même pas ce que je lui ai dit d’ailleurs. De toute façon je ne suis pas coiffeuse. Mieux vaut dire que je suis pompier, ouai ! C’est bien ça !.
-Ça tombe bien j’aime bien les pompiers.
Regardes-moi ça l’air lubrique qu’il prend ce gros con !!! putain mais d’où je lui sors ça moi aussi. Attends, je n'y crois pas. L’autre, il rajoute un clin d’œil ! mais qu’est-ce qu’il signifie son clin d’œil d’ailleurs ? Je suis conne, faut me signaler la vanne ? ou alors, t’as vu moi aussi je suis un gros porc ma cochonne ?
-Oui bah il y a beaucoup d’homos chez les pompiers, c’est vrai …. Je vous comprends.
Putain je ne l’ai pas raté…Regarde-moi sa gueule là … Il se demande s’il a bien entendu, le crétin…wahou !!!
-Vous me prenez pour un pédé, c’est ça ?
-Non…. Je plaisantais.
-Parce que moi les pédés, je les encule compris ! j’suis pas pédé et t’as de la chance que je ne baise pas les putes de ton genre sinon je te l’aurais montré.
Ça calme ! « les pédés, je les encule » … Putain merde faut pas que je rigole, j’en ai envie bordel, mais putain faut pas !
-Je plaisantais
-Ouai bah pas moi !
D’où il me traite de pute lui d’ailleurs? Putain faut que je me barre, il est ouf ce mec… Orléans : quarante-deux kilomètres…. Quarante bornes à faire sur cette départementale avec ce malade…
-Vous êtes Parisienne ?
-Oui
-Vous les Parisiennes, vous nous prenez pour des cons nous les provinciaux non ?
-Bah non pourquoi ?
-Sisi !
-Ah ?!
-Oui je le vois sur Internet…
-Où ça sur Internet ?
-Sur le « tchatche » !!!
-Je ne vais jamais sur les « tchatches » .
-Vous avez un homme ?
-Oui... enfin non, j’en ai pas…
-Ah bon ?
-Non
Je ne sais pas mentir bordel ! mais pourquoi je lui ai dit non à ce gros con ?
-Vous êtes gouine ?
- Non plus !
-Vous n’aimez pas baiser ?
-Si j’aime bien baiser mais avec des hommes que j’aime et d’ailleurs on ne dit pas bai...
-Vous faites des partouzes ?
-On va changer de sujet là …
-Vous les Parisiennes, vous êtes des salopes putain !
-Parce que l’on baise ?
Mais pourquoi je lui réponds a ce type ? mais ! qu’est ce que je fais là bordel !!!
Je détourne mon regard vers la banquette arrière, je n’ose y croire, il y a là, posé, un numéro du Chasseur Français et pas n’importe lequel, celui remontant à deux mois, celui là même qui le désignait comme le but de mon voyage, la victime… Celui que je devais punir. J’étais persuadé de devoir me rendre jusqu'à Orléans afin de le trouver comme me l’avait indiqué mon rêve ainsi que les signes qui avaient été en ce sens. J’avais donc loué une voiture plutôt que de venir en train afin d’en profiter pour aller me balader ensuite dans la région de Châteaudun, là où j’avais passé une partie de mon enfance chez mes grands parents aujourd’hui disparus. La couverture du magazine en encart publicitaire était à coté d’un article sur Orléans dans un journal que j’avais parcouru il y a quinze jours et pendant lesquels, cette ville m’apparu sous différentes formes, signe indéniable qu’il fallait que je m’y rende car ainsi était faite ma vie. Ma dernière indication venant de cette phrase lu sous une gravure d’un livre d’art montrant Jeanne D’Arc sur le buchet : « La pucelle trahie, brûlera à jamais dans le cœur des hommes ». Alors aux question de savoir pourquoi je lui répondais et ce que je faisais là, il n’y avait qu’une seule réponse : Parce que c’est lui !
Il coupa court à ma vive réflexion pour me répondre :
-oui il y a plein de partouzes à Paris nan ? les clubs échangistes tout ça …
-Comme partout non ?
-Non ! plus a Paris !
-Oui sûrement alors !
-C’est comment dedans ?
-Je ne sais pas comment c’est, je n’y vais pas !
L’autre il n’a pas loin de quarante cinq ans et il ne sait pas ce que c’est qu’un club de cul !!! Le voilà qui marmonne un truc du genre qu’il ne me croit pas …Putain ce qu’il est gros ! je n’aime pas les gros ! puis de toute façon je n’aime plus les mecs ! C’est bon, j’ai donné, je mate mais rien de plus et la c’est circulé il n’y a rien à voir.
-Moi un jour, j’irai …. Pour voir…
-Pas pour baiser ?
-Bah si …. Mais je regarderai avant…
Oui remarque ça peut donner des idées de mater avant de commencer…. J’ai envie de m’amuser…
-Et vous ferez quoi alors là-bas ?
-Bah je baiserai des salopes
-Ah bon ?
-Bah oui, mais vite fait…. Pour tester quoi...
-Oui bien sûr…On arrive bientôt ?
-Encore 20 minutes pour Orléans… Si ça vous dit, on va à l’hôtel, j’en connais un…
-Ah non je ne crois pas là...
-Quoi je ne te plais pas ?
-Si…Enfin non justement, je ne veux pas c’est tout.
-Vous les Parisiennes vous vous la jouez trop quand même hein !
-Ah bon ?
-Oui vous faites les salopes et après il n’y a plus personne…
-C’est peu être parce que l’on n’assume pas …
-Ah bon ?
« Ah bon ? « mais quel crétin ce con !!!
-Faut assumer !!! vous avez voulu la révolution sexuelle et tout ça…
A la réflexion, il ne fallait pas que je perde de temps.
-Tu veux que j’assume ?
Il me regarde d’un seul coup tendrement et lâche un « bah ouai »
- Dès que tu vois un chemin tranquille, tu le prends et tu t’arrêtes !
-Ah ouai ?
-Ouai.
Mais pourquoi ! pourquoi ! pourquoi ! pourquoi je me fous toujours dans des galères comme ça moi !? Pourquoi est ce à moi de faire ce travail ? C’est toujours à ces moments là que je repense a mon père, je ne sais pas si je lui en veux de m’avoir faite si timide que ça avec au centre un caractère de feu… Non bien sûr je ne peux lui en vouloir d’être comme lui, c’est à moi de gérer cela tout comme mon petit corps de bonnasse…
-Je vais prendre par ici !
-C’est toi qui vois…
-Faut que l’on se dépêche car je dois aller chercher ma femme pour faire les courses après.
-Vas-y, dis moi combien de temps nous avons ?
-…De toute façon, qu’elle ne me casse pas les couilles ou je me casse, moi, je ne la supporte plus… Mais bon, faut pas que je sois en retard c’est tout.
-Ouai normal.
Comprendre, analyser, déterminer le point de basculement, anticiper celui de non-retour, trouver le déclencheur…Mais je n’en sais rien moi ! et pourquoi je pense à cela maintenant ?….Pourquoi ?…Parce que je lui ai promis d’y réfléchir… Réfléchir pour guérir ? Mais en ai-je envie ? tout à l’heure j’étais mal, je n’arrivais pas à lui dire un mot, tétanisée et bouffée par une colère intérieure et là, je suis bien… légère, insouciante et sûre de moi, je ne sais pas ce qui va se passer mais peut importe puisque je sais que, comme à chaque fois dans ces états là, il ne se passera que ce que j’ai décidé … Que je vais jouir, jouir d’être bien ! être bien et en jouir…C’est quand même bizarre que lorsque je me sens mal, c’est là que j vais bien… Je suis si bien là…
-Voilà je m’arrête là de toute façon on ne peut pas aller plus loin…
-On va nous voir non ?
-Mais non il n’y a personne à cette heure-ci, ils mangent les gens.
-Je te plais ?
C’est ça les hommes, incapables de donner une réponse cohérente à une question aussi simple…mais pourquoi je pose cette question aussi ? ne m’a-t-il pas assez dégoûtée ce gros con pour que j’en rajoute une couche ? oui c’est ça …J’ai besoin d’une motivation plus forte ... et je la sens venir au moment où sa main se pose sur ma cuisse en guise de réponse…Je suis écoeurée par lui, par l’odeur, par la situation, par moi ; par le temps qui passe, par le chant des oiseaux, par les champs, les vitres qui s’embuent, sa caisse et son sent bon qui pue mais…J’écarte les jambes doucement car cela ne me suffit pas, je le veux à son point d’ébullition maximum. Sa main remonte vers le haut de mes cuisses, vers l’endroit interdit…
-Stop !
-Quoi ? me dit-il de son air de gros con renforçant ma conviction première.
-Faut que j’aille faire pipi… Excuses-moi!
-Vous, les Parisiennes, vous êtes de vraies pisseuses hein !
-Oui mais moi, tu vas adorer regarde…
Il m’arrive souvent d’arrêter le cours de ma vie pour me regarder comme au travers d’une caméra sur un tournage. Je suis alors l’héroïne et le scénariste, le metteur en scène et la spectatrice. Je me vois là m’éloignant de la voiture, vu du siège passager de celle-ci… J’avance donc de dos puis au moment où de plain-pied j’apparais, je me fige … Mes bras se décollent de mes cotés et s’élèvent jusqu’à l’horizontale…Suis-je l’oiseau qui va décoller ? …. Bruce Lee avant sa frappe finale ?… Un moine tibétain au bout d’une corniche face au soleil couchant ? Je suis …. Je suis celle qui… Se retourne pour faire face à mon gros con désabusé ou malgré le volant dans les pognes, il ne contrôle plus rien…Bande t-il ? le sait-il lui-même ? comme dirait Gainsbourg. Je prends mon temps pour contempler mon contre champ où l’amorce de mon épaule semble caler la camera alors que l’ahuri voit sa mâchoire peu à peu se décrocher dans un ralenti somptueux. J’écarte mes jambes le fixant de mes yeux assurés, remonte ma jupe et voilà que je pisse et la peu importe l’axe de la cam où la focale choisie, c’est magnifique. Fin de la scène mais pas de l’acte.
Je m’approche à sa hauteur l’obligeant à baisser sa vitre et toujours en le fixant je lui demande mon sac. Il me le tend en se ressaisissant prêt à parler. Vas-y je suis prête.
-Vous, les Parisiennes, vous n’avez jamais de culotte !?
-Non jamais…. Surtout lorsqu’on a un gros flingue.
Le voilà maintenant dans un rôle abasourdi qu’aurait joué à merveille Villeret avec comme accessoire un Walther 99 sur le front. Il le qualifiera sans doute un jour de flingue énooorme… Mais pour l’instant, c’est sa vie qui défile, une vie de merde qui se liquéfie pour s’inscrire en grandes tâches au fond de son slip. Je lui tends une paire de menottes tout droit sorties du sac et, accessoirement, de l’armoire de ma cousine. Il les passe à ses poignets en ayant eu soin de s’attacher également au volant. Le voilà dans l’impossibilité de bouger, ce qui le prive sûrement de mettre la clim au vue des grosses gouttes de sueurs ruisselantes du haut de son crâne. Je passe à l’arrière, de toute façon j’y étais destinée non ? rangeant mon flingue, je le troque contre un flacon et une petite seringue que je remplis d’un tranquillisant me tranquillisant. Il meugle, déblatère et finit par glapir l’animal !… Le voilà K.O. Je peux enfin exercer mon activité en toute quiétude…
Il est maintenant tard dans ce train de nuit qui me traîne vers la capitale… La capitale… Voici un mot que j’associe toujours à « crime », et oui, j’ai le chic ego de ramener tout à moi. Je repense à ma journée, et me demande où en est mon gros con. Peu importe car il aurait sûrement préféré mourir, je suis bien plus cruelle en tatoueuse. Le voici maintenant à jamais gravé dans le dos à l’encre de chine, pour une ancre à l’échine. Un message laconique d’une conne qu’on ne nique. « A vouloir baiser dans le dos de ma femme me voilà baisé par une femme dans le dos »
C’est beau non ? c’est parisien un peu …
Olivier Legendre dépôt SACD.
Ah, comme ça fait du bien de lire de temps à autre des textes qui tiennent la route. 5toutefois, relisez-vous. J'ai noté 2 petites fautes).
· Il y a environ 9 ans ·petisaintleu
Merci bien. Signalez moi les fautes alors car je ne suis pas doué.
· Il y a environ 9 ans ·Olivier Sun7
J'adore !
· Il y a environ 9 ans ·veroniquethery
Hummmmm .... pas étonné en te lisant.
· Il y a environ 9 ans ·Olivier Sun7
Pas mal du tout ! Bon, tu as un problème avec le Chasseur français (cf. Le 16 réunion 1...) mais j'aime vraiment le ton, le rythme et l'histoire.
· Il y a presque 12 ans ·Le ton et le rythme du texte servent vraiment l'histoire et les personnages. Ça marche bien.
A part ça, je n'en rajoute pas sur la nécessité de se relire (ou de se faire relire), d'autres l'ont déjà dit, on en est tous là ou à peu près.
Au plaisir'
wen
Merci pour votre commentaire Pascale.
· Il y a presque 12 ans ·Je n'ai que les capacités à inventer des histoires pour ce qui est de l'écrit et par conséquent je sais d'or et déjà que je m'en remettrai à un et sûrement plusieurs correcteurs pour ce qui est de la mise en forme qui sera forcement ainsi immaculé de toutes fautes, erreur grammatical et de style. Vous n'aimez pas autant que d'autres aiment, rien de surprenant à cela puisque c'est le lot de tout écrit.
Je vous remercie sincèrement de ne pas m'encourager en ce sens, en effet j'ai toujours eu à coeur et à corps de fuir les gens qui tiraient les autres vers le bas. Rien de tel que pour les fuir, d'aller dans le sens inverse de leurs conseils non ?
Je vous laisse donc à votre naturel qui semble si bien vous ravir afin de me consacrer au mien qui lui me porte.
Olivier Sun7
Oui, ça me semble mieux !
· Il y a presque 12 ans ·Bravo, et bonne continuation sur cette voie !
Mathieu Jaegert
j'aime en générale les nouvelles courtes, vives, tranchantes!!! me voici à la fin de la dernière page et me voilà en vouloir encore... les femmes et les guns je kiff, les femmes que l'on prend pour de simple femme et qui ont autre chose que leur peau belle!!! moi aussi j'en ai killé des guys!!!
· Il y a presque 12 ans ·l'animelle
lanimelle
Merci, voilà que j'ai rectifié par "Il paraît que..." mais ce dont je suis certain c'est que pour moi la langue française est loin d'être acquise bien qu'elle me soit maternelle.
· Il y a presque 12 ans ·Olivier Sun7
Je partage l'avis de Célestin ! Sur la qualité du récit point de vue rythme, et sur la négligence de certaines tournures.
· Il y a presque 12 ans ·Dès le départ. "Paraît-il que" ne me semble pas correct.
Mises à part les fautes d'orthographe et de construction, rien à dire sur l'histoire.
Mathieu Jaegert
Merci encore Célestin. Pour tout te dire, lorsque je vois des gens comme toi qui prennent du temps, avec passion, pour m'encourager ainsi, cela ne donne pas envie de lâcher l'affaire, bien au contraire.
· Il y a presque 12 ans ·Oui, tu as raison, moi aussi j'ai trouvé une petite faute dans ce que tu viens de m'écrire, comme quoi ! Donc juste sur la dernière phrase, regarde, à "vachement"... Il manque les cornes.
Olivier Sun7
Je vais faire en sorte mais je ne vous cache pas que ce n'est pas mon fort.... J'ai un ami qui est un excellent décorateur d'intérieur mais il ne sait pas peindre ni poser du papier, pour cela il fait appel à des spécialistes, je pense faire de même ce sera plus efficace.
· Il y a presque 12 ans ·Merci Célestin et bien le bonjour à Vichy. :)
Olivier Sun7
Parisien, un peu oui
· Il y a presque 12 ans ·sadnezz